Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Daily Archives: 03/08/2015

Dernière-minute : Le Ministère de l’Intérieur rejette la demande de reconniassance des FPC (ex-Flam) dirigé par Samba Thiam

Dernière-minute : Le Ministère de l'Intérieur rejette la demande de reconniassance des FPC (ex-Flam) dirigé par Samba ThiamLe Rénovateur Quotidien – Selon une source officielle, les Forces Progressistes du Changement (FPC) ont reçu une notification les informant de la non-reconnaissance par le Ministère de l’Intérieur et de la Décentralisation de leur demande de constitution en parti politique.

Les Forces Progressistes du Changement (FPC) avaient déposé un dossier en vue d’une reconnaissance de leur parti.

Le délai légal ayant pourtant été largement dépassé et par conséquent, cette formation devait jouir les droits de mener ses activités politiques.

On se rappelle d’ailleurs que ces derniers jours les FPC avaient décidé de commencer une série d’activités dont un meeting programmé ce dimanche 2 août et qui avait été annulé à cause des pluies qui ont inondé le stade de Sebkha où devait se dérouler le rassemblement politique.

L´armée Camerounaise intercepte un Hélicoptère Français livrant des armes a Boko haram

image« Nous devons dire aux citoyens Camerounais qu’on va reprendre le dessus sur cette nouvelle forme de terrorisme. Ils ne doivent pas prendre peur car nous sommes plus forts que ca, en plus quand vous connaissez les méthodes de votre ennemi vous êtes plus forts.
Vous savez aussi qu’il y a deux terroristes Français qui ont été arrêtés à la Briqueterie avec des explosifs. Et eux aussi sont en train d’être exploités et c’est très encourageant. Un autre élément, c’est qu’un hélicoptère a été intercepté au Nord Cameroun déposant des armes, des munitions et des dollars.

Les populations sont très vite arrivées et se sont servies sur les dollars, ensuite ils ont fuit leur village car ayant peur des représailles de Boko Haram qui devaient arriver prendre leur butin déposé par cet hélicoptère.

Enfin un container d’armes a été intercepté au port de Douala avec les armes de guerre en complicité avec les officiels camerounais » – Banda KANI – Africa Media « On se souvient qu´en 2010 et en 2011 pour faire tomber le président élu Laurent Gbagbo les rebelles et les armes du tandem criminel Soro-Ouattara étaient héliportés pas les soldats français de force licorne et la force licorne stationnées en Cote d´Ivoire.

Le peuple camerounais sortira vainqueur de ces barbares islamistes de Boko A Rats et leurs alliés occidentaux. »

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Source : http://lepouvoirmondial.net

Dix soldats maliens tués par des inconnus à l’ouest de Gao

Dix soldats maliens tués par des inconnus à l’ouest de GaoDes hommes armés non-identifiés ont tué, lundi, au moins 10 soldats maliens sur une base militaire située à l’est de Tombouctou. Des sources militaires attribuent l’attaque à Ansar Dine, l’un des groupes jihadistes qui a contrôlé le nord du Mali.

Un camp de l’armée malienne à Gourma Rharous, dans la région de Tombouctou (nord du Mali), a été attaqué, lundi 3 août, par des “terroristes”, qui ont tué au moins dix soldats, ont indiqué à l’AFP deux sources militaires maliennes. Selon l’une de ces sources, l’attaque a eu lieu “aux environs de 05H30” (locales et GMT). Des militaires ont été dépêchés sur les lieux, à environ 140 km à l’est de Tombouctou.

Une autre source militaire, un responsable dans l’armée joint à Bamako, a confirmé l’assaut, qui a ciblé “une unité de la Garde nationale” basée à Gourma Rharous. “Une dizaine de nos hommes ont été tués [par] des éléments jihadistes liés à Ansar Dine“, a ajouté ce responsable, indiquant être dans l’attente de rapports complémentaires du terrain.

Cette attaque survient deux jours après une embuscade contre l’armée vers Nampala (centre) qui, selon un communiqué du gouvernement, a fait, samedi 1er août, deux morts et quatre blessés parmi les soldats maliens. “C’était une embuscade. Ils ont posé des explosifs sur la route pour arrêter le convoi, puis ont ouvert le feu sur les hommes”, avait déclaré le lendemain une source militaire.

Des zones encore hors de contrôle

Longtemps concentrées dans la partie nord du Mali, l’Azawad, les attaques jihadistes se sont étendues depuis le début de l’année vers le centre, puis à partir de juin dans le sud, près des frontières ivoirienne et burkinabè.

Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda après la déroute de l’armée face à la rébellion, d’abord alliée à ces groupes qui l’ont ensuite évincée.

Bien que les jihadistes aient été dispersés et en grande partie chassés de cette vaste région à la suite du lancement en janvier 2013, à l’initiative de la France, d’une intervention militaire internationale, des zones entières échappent encore au contrôle des autorités maliennes comme des forces étrangères.

Les violences se poursuivent sur le terrain en dépit d’un accord de paix signé le 15 mai par le camp gouvernemental, puis le 20 juin par la rébellion.

 

franc24.fr

Mauritanie : boudez le dialogue, on agira à la Nkurunziza

Mauritanie : boudez le dialogue, on agira à la NkurunzizaJ’ai lu à la loupe le discours prononcé par Me Sidi Mohamed Ould Maham, président de l’Union pour la République (UPR) devant des centaines de cadres et de militants de la formation au pouvoir en Mauritanie, à l’occasion de l’ultime « iftar » (rupture du jeûne) dans une moughataa de la périphérie de Nouakchott.

Comme il sait si bien le faire, Ould Maham a encore démonté l’opposition. Ou plutôt les oppositions. Car cette fois, celle qu’on appelle communément « l’opposition dialoguiste » ou « modérée » (la Coalition pour l’unité et l’alternance démocratique) n’a pas été épargnée. Elle a été rangée dans le même sac des « vêtements usagés » que le FNDU (Front national pour la démocratie et l’unité) par un Ould Maham très en verve, mâcha Allah, malgré une fin de ramadan harassante et préoccupante, même pour les « pauvres » de l’UPR.

Pour Ould Maham donc, c’est l’opposition qui refuse le dialogue, car elle craint de se faire « massacrer ». Ce n’est pas là une nouveauté. C’est un refrain qu’on entend depuis 2009. Aller une énième fois aux élections. Un autre refrain.

Ould Maham a peut-être raison. L’opposition d’aujourd’hui n’est plus celle de 2006. Ou de 2009. Ou, pour remonter le temps, de 2003, 2001, 1997 ou 1992. Des dates qui correspondent à autant d’élections ou l’opposition a toujours joué et perdu contre un pouvoir qui a tous les atouts en main. Comme aujourd’hui.

La principale force du président Aziz est d’avoir toujours misé sur le temps. Il sait que l’ennemi numéro un de toute opposition est l’usure. La force d’un Messaoud Ould Boulkheir, d’un Ahmed Ould Daddah ou d’un Mohamed Ould Maouloud était en 2007 ou en 2009. Comme en 92 face à Maawiya. A l’époque, ce trio de choc symbolisait,réellement, le changement. Quand l’opposition était encore l’opposition. Une question de principe non de positionnement dicté par des considérations bassement matérielles.

Aziz qui a cotoyé Taya deux décennies durant sait très bien que l’élite intellectuelle de ce pays est au service de celui qui gouverne. Et qui a le soutien de l’armée. Le peuple lui n’est qu’un instrument entre les mains de cette élite qui le vend (ou le loue) au plus offrant.

C’est pourquoi l’opposition se trompe encore, une nouvelle fois, en misant sur un changement des mentalités qui s’opérera par « sauts » réguliers, mais pas de manière brusque. Fort de cette constante, le pouvoir a le temps qu’il faut pour peaufiner sa stratégie et se maintenir au-delà de 2019. L’appel à la tenue d’élections pour le renouvellement des deux tiers du Sénat n’est qu’un premier pas sur cette voie.

Le seul risque pour lui est de voir la crise économique, réelle celle-là, accentuer les difficultés financières qui font que l’Etat ne vit (survit) qu’en accentuant la pression fiscale sur les principaux opérateurs économiques nationaux du secteur des banques, de l’import-export, de la distribution alimentaire et du transport. Le ralentissement de la marche des affaires et le manque criant de liquidités (manque d’argent, dit le Mauritanien lambda) est le pire ennemi pour le troisième mandat d’Aziz. S’il arrive à trouver la solution à ce problème et aux difficultés économiques qui commencent à surgir de toutes parts, le rais peut se permettre de refuser un dialogue dont la finalité n’est pas de trouver un consensus national sur les questions qui fâchent, mais de permettre à l’opposition de revenir dans le jeu. A moindre frais.

source:http://www.elhourriya.net