Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Daily Archives: 10/10/2014

FLAMNET-AGORA: LA MAURITANIE, AUTREFOIS UN RÊVE…Par Amadou Alpha BA

altLe nouveau mandat autoproclamé de Aziz est bien inauguré. Le village de Niabina a été choisi pour les festivités commémoratives. Toute une tribu, appuyée par les services d’ordre de l’état, a infligé une punition collective à ce village, comme pour rappeler aux populations meurtries de la vallée que 1989 n’est pas encore dans les oubliettes de la politique. Punir toute une communauté pour le forfait commis par un individu s’appelle de l’injustice. Mais punir toute une collectivité sur la base d’accusations fallacieuses non fondées, tout simplement parce que l’accusation est bleue et que l’accusé est vert, j’en perds mon pulaar. N’en parlez pas. Aziz a prêté serment. Son discours a éclairci Niabina. Ceux qui oseront s’attaquer au racisme, ceux qui indexeront la discrimination raciale, ceux qui accuseront les esclavagistes, ceux qui indexeront les corrupteurs et les corrompus, ceux qui dénonceront le népotisme et le favoritisme, ceux-là seront les diviseurs du peuple. Ceux-là seront sévèrement châtiés. La preuve, il la donna. Il nomma un chef de gouvernement. Un chef qui a déjà fait ses preuves en la matière. Un chef qui ne peut recevoir de conseils d’un noir. Un chef qui ne peut avoir de noir comme chargé de mission. Il nomma un ministre, un spécialiste de la légitimation du droit de cuissage. Celui-là sera notre imam en chef. Il luttera contre les séquelles du droit de cuissage. Et pour couronner le tout, le manipulateur des faux dialogues morts nés est nommé chef des applaudisseurs de l’UPR. En gagnant ses galons, il ne manipulera plus non seulement l’opposition, mais le peuple en entier pour lui faire avaler sans douleurs les couleuvres du Chef suprême. Désormais, il faudra avaler sans bruits les expropriations foncières, avaler le génocide biométrique, avaler le négationnisme de l’esclavage. Il faut accepter et légitimer le droit des gouvernants à bouffer l’argent du peuple. Il faut applaudir la corruption et le népotisme, ces « malheurs fondamentaux de notre peuple » qui font la force et la fierté de nos chefs. 


Et pourtant, les signaux sont plus qu’alarmistes. Le pouvoir se radicalise dans son extrémisme au moment où le peuple, ou du moins les ethnicismes crient leurs ras-le-bol. Le pouvoir est honni et les politiques décrédibilisés. 
Le Manifeste des Haratines, l’appel des wolofs, le cri de cœur des soninkés, les znagas, les « guerriers maures », tout le monde de son côté crie son désespoir, et chacun pleure sa détresse. Des tribus qui confectionnent les listes électorales des partis politiques. Des chefs de tribus qui présentent plusieurs listes dites concurrentes dans des partis dits opposés. Depuis toujours, nous assistons, osons nous l’avouer, à un reniement des fondamentaux de la démocratie, sans pourtant oser, ne serait-ce que franchir le pas de la dénonciation. Cela s’appelle lâcheté démocratique. Quand la démocratie est prise en otage par les tenants d’un système voué aux gémonies, quand la démocratie ne rime plus avec les préoccupations fondamentales d’un peuple asservie par des lobbies politico-affairistes, alors la voie politique perd le nord, et les voix des politiques ne seront plus que cris dans le désert.
Et pourtant. Il y a des dizaines d’années, le manifeste dit des 19 tirait la sonnette d’alarme. Il y a des dizaines d’années, El Hor lançait le cri du désespoir des damnés du désert. Depuis des dizaines d’années les victimes ne cessent de crier. La lutte continue, comme aiment à le dire les Flamistes. Mais le système s’arcboute. Les assassinats d’opposants sont passés par là. Le massacre des innocents est passé par là. Les déportations et leurs séquelles sont passées par pertes et profits dans les oubliettes de la démagogie. L’esclavagiste fait la loi. L’esclavagiste est juge et geôlier. La discrimination est légitimée aussi bien par le plus fort que par la victime. Nul n’a de droit. Il n’existe que des privilèges et des passe-droits. Le droit ne se prend pas. Il se mendie. A une exception près, le seul droit non négociable, le seul respecté par tous et toutes, c’est le droit à la corruption. Même le mendiant de la rue est corrompu. Même le chef est corrupteur. Fiers de leur consensus moribond, ils sont les seuls bénis par nos oulémas. Ces oulémas gardiens du statut quo, qui légitiment l’esclavage et le droit de cuissage, qui bénissent l’expropriation foncière à leur propre profit. 


Une année de 1992, l’acte fondant la démocratie est signé. Les mouvements qui ne s’inscrivent pas dans la ligne sont voués aux gémonies. El Hor se meurt à petits feux. Le nationalisme noir diabolisé. La lutte continue.

La lutte est reprise par le système. Elle devient policée et polie. Elle légitime la corruption et accepte les passe-droits. Elle n’exige plus de droits, elle mendie le droit. L’esclavage n’existe plus, les séquelles sont négociables. Le mot racisme est tabou. La discrimination absente du vocabulaire. L’exclusion sociale se négocie par la part du gâteau. Et ça ne s’appelle pas corruption. Ceux qui devaient être les premiers élèves des cours d’alphabétisation sont nos instituteurs. Et malhonnêtement, nous continuons à nous poser les questions sur ce qui ne va pas dans notre Ecole. Ceux qui devaient dormir en prison pour vol, corruption, népotisme et toute sorte de trafics d’influence sont nos policiers enquêteurs, ils sont nos juges, nos procureurs. Et la toute nouvelle trouvaille de promotion de ces serviteurs dévoués du système, ils seront chargés de l’Agence de suivi de la lutte contre la corruption ! Et nous avons déjà leur feuille de route, car n’y seront promus que les grands spécialistes du maquillage et du blanchiment des gros forfaits des chefs. 
Le peuple observe. La victime ne comprend plus. On ne sait plus où donner de la tête. Chez les politiques, tout le monde a raison. Et pourtant tout le monde est pourri. Ils sont tous minables. Alors le peuple, disons l’ethnie, la tribu, prend sa plume et crie au complot. 


Le gouvernement, les partis, la société civile, voilà le trio désormais voué aux gémonies. On ne s’exprimera plus par les idées. On ne luttera plus par la conviction sur le sens. Les identités raciale, tribale, féodale, et clanique deviennent les lieux d’expression des sentiments et ressentiments. L’ethnie comme la tribu, devient l’outil par excellence de la lutte contre la mendicité des droits. Au choc des idées se substituera le combat des nationalités, à la réflexion la passion, et à la lutte la bagarre. 
Quand la dictature est têtue et que la démocratie est corrompue, la politique échoue. Les politiques sont voués aux gémonies. Le peuple se disloque. Le pays devient lambeaux. On commence à parier sur sa viabilité, sur son existence.
Pauvre Mauritanie. Autrefois un rêve, aujourd’hui le lit de nos malheurs. 

Amadou Alpha BA.

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FLAMNET-RÉTRO: Lettre ouverte des détenus politiques négro-africains Flamistes de la prison civile de Nouakchott aux militaires du CMSN. (octobre 1987)

A Messieurs le président et les membres du comité militaire de salut national à Nouakchott.

 

Le 22 septembre 1987, des militants arabo-altberbères du mouvement baath, d’obédience irakienne, ont été libérés à la faveur d’un verdict clément, rendu par la cour criminelle de Nouakchott. Les uns ont été condamnés à 6 mois de prison avec sursis, les autres purement et simplement relaxés.

Arrêtés en flagrant délit à la fin du mois d’août, ils ont été accusés «d’appartenir à une organisation de malfaiteurs», «d avoir participer à des réunions non autorisées, avec «séquestrations» et «détournement de mineurs».

On se rappelle qu’il y a un an nous avions été arrêtés et condamnés pour «appartenance à une organisation illégale», «participation à des réunions non autorisées»,«élaboration et distribution de tracts»,«propagande à caractère raciste».

Les peines maximales, allant de six(6) mois à cinq(5) ans de prison ferme nous furent alors infligées avec un cortège de dispositions toutes privatives de droits (bannissements, amendes lourdes, pertes de droits civiques) que confirmeront les cours d’appel et de cassation.

Si les militants du Baath ont pu bénéficier de conditions optimales pour leur défense, notre procès fut, quant à lui, une véritable parodie. En effet, leurs avocats ont pu régulièrement les rencontrer et accéder librement à leurs dossiers. Ce ne fut pas le cas des nôtres qui eurent toutes les difficultés à la fois pour nous rencontrer et pour prendre connaissance à temps, des rapports de police, lors de la première audience. Le tribunal s’étant opposé à leur demande de report de la dite audience, nos avocats se virent dans l’impossibilité » de remplir leur mission et quittèrent la salle.

Malgré ce vice de procédure, l’absence de nos avocats, et notre refus de parler, sans eux, le tribunal prononça tout de même, sa condamnation. Ajouté à tout cela, le parquet n’a pu justifier d’aucune preuve patente si ce ne sont les aveux obtenus dans les locaux de la police sous la torture la plus sauvage et les pressions psychologiques et morales. Comble de l’ignominie, une des détenues fut violée par un officier de police, à ce jour impuni.

Ni l’audition des accusés, ni le dépouillement des dossiers n’ont pu justifier cette condamnation, pas la moindre mention de flagrant délit.

Contrairement aux Baathistes trouvés en pleine réunion, nous avons été tous arrêtés à domicile, au bureau, au cours de voyage. Mieux, à l’appel le ministère public déclaré d’avoir rien à retenir contre certains d’enter nous dont les peines furent, tout de même confirmées. Que dire alors de ce verdict à l’endroit de ces militants arabo-berbères dont l’extrême clémence contraste avec le réquisitoire l’avocat général qui demandait contre eux la réclusion à perpétuité?

Ces procès révèlent, on le voit bien un traitement discriminatoire qui devaient se perpétuer jusque dans nos conditions de détentions; celles-ci, d’une extrême sévérité se traduisent pour nous depuis plus d’an par toutes sortes d’interdictions. Interdiction de communiquer avec nos familles, délogées depuis notre condamnations et dont certaines avaient été prises en otage par la police, interdiction à tout moment donné, de recevoir d’elles ou d’acheter du matériel nécessaire à la condition de vie quotidienne (vêtements, savons, bougies, sucre etc., nos familles nous prenant en charge totalement pour la nourriture et les médicaments), refus d’examens et de soins médicaux spécialisés(cf. diverses maladies oculaires, dentaires, accident au retour du procès ayant entrainé fractures et luxations etc. .,,,) , interdiction e nous mouvoir à l’intérieur de la prison, réclusion et surveillance permanente par un poste de garde en faction devant nos cellules verrouillées, sans compter la promiscuité due à l’exigüité et à l’insalubrité des locaux. Nous vous faisons grâce de la scène de la mitraille sur la nuque en nous rendant aux commodités et de la vindicte de certains agents de surveillance qui confondent leur prise de position politique ou affective avec la législation pénitentiaire.

Telles sont nos conditions de détention, conditions que reprouvent et l’esprit et la lettre de la déclaration universelle des droits de l’Homme (O.N.U), de la charte africaine des droits de l’Homme et des Peuples (OUA) dont notre pays est signataire et que par ailleurs, aucune disposition de la sentence qui nous frappe ne justifie.

Les neuf correspondances adressées par nous aux différentes autorités : régisseur, commandant du GR9 (l’officier de la garde chargé de la prison), gouverneur, procureur de la République, Délégué du gouvernement, Ministres de l’intérieur et de la justice(lettres des 17/11/86, 14/12/86, 14/2/87, 25/3/87, 29/3/87,19/5/87, 8/6/87 et 9/6/87) sont restées sans suite.

Cependant, dès l’arrivée des Baathistes qui furent emprisonnés dans les mêmes que nous, avant d’être jugés, les conditions s’améliorent, comme par miracle. Ainsi la porte qui demeurait toujours close est ouverte, la circulation à l’intérieur de la prison est autorisée. Mieux, on leur aménage les entrevues clandestines avec leurs familles, ce qui nous est toujours refusée.

Deux médecins sont réquisitionnés, sur la demande de leur avocats, pour les consulter permettant ainsi à certains d’entre nous d’en profiter.

Curieusement, dès leur relaxe, nous fûmes remis dans nos cellules de réclusions initiales

Il apparait clairement, clairement à travers ces procès et ces conditions de détention, une politique de deux poids deux mesures.

Nous tenons ici à lever toute équivoque : nous ne serons cautionner une justice qui, pour réparer des tords commis contre nous, condamnerait les Baathistes(ou tout autre) s’ils se révèlent innocents ; Bathistes avec lesquels, du reste, nous avons vécu en parfaite harmonie durant leur brève détention. En second lieu, nous sommes opposés à toute détention pour délit d’opinion. Car si nous sommes en prison, transformés arbitrairement en détenus de droit commun, c’est pour avoir ouvertement exprimé nos opinions politiques. Si le «Manifeste du négro-Mauritanien opprimé» publié en avril 1986 mettait à nu l’existence de l’oppression raciale dans notre pays, il dénonçait également le chauvinisme érigé en système de puis l’indépendance , plaçant le négro mauritanien dans une situation de dominé. Toute la situation décrite ci-dessus ne fait que confirmer la justesse de nos vues sur la question nationale.

Pour toutes réponses aux propositions avancées on a choisi la répression pour esquiver la question, au lieu de chercher des solutions de fond. En effet, tous ceux qui nous avaient soutenus matériellement ou moralement et ceux qui avaient refusé de cautionner notre arrestation furent soit demis de leur fonction, soit emprisonnés dans diverses localités du pays notamment à Nouakchott, Kaedi, Selibaly, Rosso, Diowol, Noudhibout, ou Zouerate. Les autres, pour échapper à la répression durent s’exiler. Une psychose est créée et entretenue pour décourager toute velléité de résistance.

Cette vaste répression a eu lieu durant la réimplantation syndicale et à la veille à la campagne pour les élections municipales , pour lesquelles du reste, le recensement de la populations noire n’a pas été correctement fait. Une telle attitude répressive qui n ‘est pas nouvelle ne fait que conduire, à terme, à l’impasse. Seule la solution correcte de la question nationale pourrait permettre à toutes nationalités de profiter de l’expérience démocratique amorcée et du programme d’alphabétisation en cours.

Nous tenons à réaffirmer ici notre attachement à la construction et à l’unité nationale qui présuppose l’égalité de toutes nos composantes nationales. Nous sommes convaincus que…*ne peuvent résoudre à eux seuls ce grave et délicat problème.

Ils pourraient, tout au plus créer les conditions favorables à un débat national ou le peuple, tout entier, débarrassé de ses complexes, se prononcera sur la question afin de la régler définitivement.

Nous osons espérer que instance saisira l’opportunité qui lui est offerte pour écrire positivement son mon dans l’histoire nationale.

 

 

Prison civile de Nouakchott

le 03 octobre 1987

 

Les signataires :

Fara BA Professeur

Idrisa Ba Agent d’élevage Syndicaliste.

Ibrahima Kassoum BA, Contrôleur des douanes.

Mamadou Bocar BAProfesseur, inspecteur enseignement secondaire.

Mamadou Sidi BA Professeur, adjt technique de santé.

Oumar Moussa BA Professeur, conseiller pédagogique.

Abdoulaye BARRY Conseiller des affaires étrangères.

El Hadj DIA Électricien.

Amadou Tidiane DIA Étudiant.

Aboubacry DIALLO Inspecteur sanitaire

Tafsirou DJIGO Ingénieur agronome.

Oumar Mamadou GUEYE Agent de banque – syndicaliste

Mamadou Yero KANE Ingénieur – économiste

Abdoul Aziz KANEIngénieur – Météorologue.

Saidou KANE (Sr) Professeur chercheur, Inspecteur du secondaire.

Saidou KANE (Jr) Étudiant.

Chouaibou LY Réalisateur TV

Djibril Hamet LY Inspecteur enseignement fondamental.

Ibrahima Abou SALL Professeur d’Histoire.

Ibrahima SARR Écrivain – Journaliste.

Amadou Moctar SOW Ingénieur Génie Civil.

Mamadou Oumar SY Homme d’affaires.

Mamadou youssouf SY Inspecteur du trésor.

Samba THIAM Inspecteur enseignement fondamental.

 

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L’économie chinoise est officiellement devenue la plus grande du monde

Léconomie chinoise est officiellement devenue la plus grande du mondeIRIB-Le PIB de la Chine en termes de parité de pouvoir d’achat (PPA)

est de 17,632 trillions de dollars, dépassant le même indice des États-Unis qui représente un montant de 17,416 trillions de dollars.

Selon le Fonds monétaire international (FMI), ainsi, l’économie de la Chine a dépassé l’économie américaine pour la première fois. Dans l’avenir, cet écart ne fera qu’augmenter, prédit le FMI. Le PIB de la Chine en termes de PPA serait de 19,23 trillions de dollars vs 18,286 trillions de dollars des États-Unis.

La parité de pouvoir d’achat est une parité des monnaies de différents pays, établie selon leur pouvoir d’achat par rapport à un ensemble de biens et de services.

Au Mali, la Minusma accusée d’immobilisme

Des soldats chinois en poste à Gao au sein de la Minusma. RFI/David BachéAu Mali, à la suite des récentes attaques contre les convois de la Minusma, contre le camp de la force onusienne à Kidal, l’armée française est critiquée, accusée notamment d’avoir mis fin à l’opération Serval et d’être moins active dans le nord du pays. Malgré cette recrudescence des actions jihadistes, l’armée française se défend.

À Kidal, la Minusma a renforcé les check-points du camp, amélioré les miradors, bref, revu les mesures de sécurité de proximité. « Nous gardons le moral, car nous avons évité le pire, nous restons dans le camp », explique un soldat de la force onusienne. « Leur base a été attaquée, mais ils ne réagissent pas, on ne comprend pas », raconte un commerçant de Kidal.

À Paris, l’état-major fait une analyse quasi similaire : « il y a 40 soldats français à Kidal, les casques bleus sont 1 200, faites le rapport », explique un cadre de l’armée française qui poursuit « pour sécuriser cette zone, il n’y a pas le choix, il faut multiplier les patrouilles, quadriller le terrain. De notre point de vue c’est la mission de la force de l’ONU ». À la suite de l’attaque du camp à la roquette, l’armée française a envoyé des hélicoptères pour survoler la zone, trouver les points de départ de tirs.

Ces derniers temps, la Minusma a également mis en avant les problèmes de matériel pour expliquer le peu de missions. Selon nos informations, des blindés, des véhicules antimines et des pick-up puissants sont disponibles dans le camp de Kidal. Une habitante de Kidal conclut : « ils s’appellent les soldats de la paix, mais on ne les voit même pas en ville et ils ont sans doute peur d’aller en brousse ».

Source: RFI