Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Monthly Archives: May 2011

Poullori, le promeneur solitaire et l’aveugle par Kodda Ba

altLes conseils que je te donne viennent de mon intime conviction car je crois dur comme fer au combat que nous menons. Kodda BA c’est mon prénom familier pour les intimes. Vas sur facebook, tu verras ma photo. Tous les webmasters de nos sites me connaissent sous ce pseudo. Si tu n’es pas convaincu de ma photo tu peux demander à votre ami Ousmane Sarr qui je suis et il vous le dira.
Mais votre problème c’est que vous avez des yeux rivés sur Sall Ibirahiima et Kaaw Touré comme si deux individus peuvent faire une organisation comme les FLAM. Leurs forces c’est qu’ils prennent énormément de coups et malgré tout ils continuent de rester militants de cette organisation. Les autres que tu encenses dans tes postings qui claquent la porte dès qu’ils sont contrariés par quelqu’un ou quelque chose ne feront pas long feu ni à l’AJD ni ailleurs. La ténacité est indispensable pour un homme politique malheureusement tes amis n’ont pas ça.

Sinon les questions que tu me poses, je les ai répondu dans mon dernier article sur FLAMNET. La suspension d’Oumar Moussa BA était une conséquence des tensions au sein des FLAM pendant le congrès de Cincinnati. J’ai bien dit que c’était un dégât collatéral de ce congrès.

Cher Poullori Kodda Woya Waabe yara kossam tura kerngol c’est moi mi wona BewDo sabu ALLAH ne rokkimi Yondikinaare.

Je suis un militant convaincu depuis que j’ai mis mes pieds en FRANCE en provenance d’Algérie où j’ai terminé mon cursus universitaire pendant 5 longues années universitaires. Il n’y a pas que ceux qui étaient à Dakar dans les années 90 qui ont fait des choses pour les FLAM.

Je suis loin d’être aveugle ou borgne, j’ai toujours su là ou je pose mes pieds, Dieu merci, jusqu’à ce jour je ne regrette pas.

Je connais la problématique politique de nos ainés qui ont dû mal à bosser ensemble ou se faire confiance et la solution passe par les sages.

Les jeunes que tu essaies de nous vendre «génération nouvelle mentalité nouvelle » ce n’est pas le moment pour eux de prendre la présidence du mouvement. Car ils n’ont pas encore fait suffisamment de preuve dans leur engagement politique.

Je pense t’avoir convaincu que Kodda BA ce n’est pas Kaaw Tuure. J’écris sous ce seul pseudo depuis des années et cela ne changera jamais.

La lutte continue !

Kodda BA

Réponse à l’entêtement de notre Procureur par Kodda Ba

altJe vois que notre procureur Mr Pulloori ne tient pas comptes des conseils que je lui ai donnés dans ma précédente réaction. Tu t’obstines à t’acharner contre les FLAM et les piliers de cette organisation sur lesquels tu sortiras ‘des notes malgré leurs défauts’. 

T’en as cure de leur qualité et leur dévouement au combat contre le racisme d’état et l’esclavage en Mauritanie mais ton obsession principal c’est d’affaiblir les FLAM pour donner des ailes à une autre organisation concurrente qui malheureusement s’est retrouvée dans la majorité présidentielle soutenant de fait le système de dominations des maures sur les noirs de Mauritanie.

Je ne vois pas comment peut –on combattre un système abject de domination raciale en soutenant le parti de la majorité présidentielle qui incarne ce système? Je pense que si tu veux que les FLAM travaillent avec ceux que tu appelles ses partenaires naturels tu dois d’abord trouver une réponse à cette question au lieu de continuer à divertir la galerie.

Les FLAM travaillent, discutent et soutiennent certains partis et mouvements politiques dans leur combat quotidien à l’intérieur du pays et c´est du concret.

Dans ton dernier article tu as bien soulevé les dossiers saillants de l’heure en Mauritanie (Les heurts entre étudiants négro-africains et étudiant maures, le recensement omission des noirs, l’expropriation de nos terre, l’esclavage avec des cas de dénonciation qui ne finissent pas et le racisme d’état avec les nominations qui se suivent et se ressemblent : toujours les maures aux postes de responsabilité)  que j’avais moi même soulevé dans mon précédent article mais c’était pour t’amener à faire le bilan  de la situation des noirs en Mauritanie depuis la scission à ce jour afin que tu comprennes qu’il n’y a que dans l’unité qu’on peut réussir le combat. La scission c’était une folie et un avantage pour notre adversaire.

Au lieu d’écouter les conseils qu’on te donne  tu nous sors que le débat est impossible. La voie que t’as choisi pour rapprocher les uns et les autres est sans issue et j’insiste pour que tu empruntes la voie que je t’ai proposée précédemment.

Si tu étais un chevalier blanc professant la bonne foi, tu aurais décliné ton identité et demander le dialogue avec les instances des FLAM pour X raisons tout simplement et il n’y a aucun mal à ça.

Tu es et seras le seul responsable des attaques personnelles et atteinte à la vie privée de ceux que tu appelles ‘les hommes qui auraient pu compter’. Par ce que tu penses bien qu’en peignant certains d’entre eux comme des hommes propres bien beaux sans aucun défaut ayant porté très haut la lutte et dépeignant les autres Flamistes comme responsables des malheurs du monde entier cela ne peut rester sans réactions de vrais flamistes de cœur comme Funeere  Puloori ou de quelqu’un d’autre. Encenser les uns et noircir les autres n’est pas une bonne manière de présenter les choses.

Je rappelle à nos honorables lecteurs qu’il est impossible d’exclure un militant des FLAM par une quelconque personnalité de cette organisation fut-il le président si ce militant ou militante ne faillit pas à ses obligations.

A la question : Ouverture aux autres

A la question d’ouverture vers les autres qu’on nous ressasse souvent, je pense que les FLAM n’ont jamais fermé les portes à ceux qui veulent y entrer et n’ont jamais poussé  à la sortie qui que ce soit.

Maintenant concernant les démarches déployées en vue du  rapprochement des FLAM avec l’AJD-MR de Ibrahima Sarr car c’est de lui qu’il s’agit,  à ma connaissance les FLAM ne s’opposent pas  du tout à ce rapprochement et d’ailleurs Ibirahima Diallo dit Baabayel a rencontré Ibrahiima Sarr en 2007, Ibrahima Sall avait rencontré en 2009 à Nouakchott des partisans de Ibirahiima Sarr qui lui avaient demandé s’il était prêt à rencontré ce dernier il avait dit oui.  Mais à cette période Ibirahiima Sarr était parti au pèlerinage à la Mecque, me semble-il et malheureusement cette rencontre n’a pas eu lieu entre ces deux amis d’enfance. Je suis sûr aussi qu’Ibirahiima Sall avait donné son accord à Djeinaba Ndiaye (nièce de Mr SARR) de le rencontrer lors de son périple en 2008 à Paris qu’il a refusé.

Quand le président de l’AJD-MR est parti aux USA la plupart des cadres de notre organisation sont allés le voir et le saluer. Le Président des FLAM l´a invité à un diner qu´il a décliné. Je vous renvoie à l´interview du Président des FLAM au site Flamnet du 02 août 2009.

Et la dernière en date en janvier 2011 c’est le camarade El Hadj BA membre du bureau de notre section Europe de l’Ouest en mission des FLAM au pays qui est allé le voir chez lui à Nouakchott. Donc pour nous Ibirahiima Sarr est une personnalité que nous respectons sans applaudir forcément tous ses choix politiques. Elle est là la nuance !

Tout le monde se souvient aussi du communiqué laconique envoyé par la direction de l’AJD-MR en Mauritanie contre le rapprochement de notre section avec celle de l’AJD-MR en Europe.

Donc BanndiraaBe Kaalden goonga, s’il y’a un empêchement de rapprochement entre nos différentes organisations, je ne crois pas que cela soit de la faute des FLAM.

Nous sommes aussi quelques jeunes cadres au sein des FLAM qui envisageaient de rendre une visite de courtoisie à Mr BA Oumar Moussa à Rouen afin de rapprocher les uns et les autres. Je souligne au passage que sa suspension (et non une exclusion) des FLAM est un dégât collatéral des âpres débats que j’avais décrit précédemment au congrès de Cincinnati.

Le voyage d’autres personnalités des FLAM en Mauritanie est dans un autre contexte politique très lointain du congrès de Cincinnati mais surtout qu´ils étaient en mission ou avec l´aval du mouvement ce qui est différent d´un fait accompli. Mamadou Bocar Ba, Ousmane Bocar Diagana, Chérif Ba  et Boubacar Tidiane Diagana étaient aussi en Mauritanie lorsqu´ils étaient responsables au sein de l´Organisation mais n´ont jamais été exclus il faut demander pourquoi ?Il ne s´agit d´aucune discrimnation mais de la discipline et du respect de la forme et des régles au sein du mouvement.

C’est pourquoi je redis qu’il faudrait explorer d’autres voies de sagesse pour que toutes les organisations noires mauritaniennes puissent travailler main dans la main afin de mettre fin à ce système de domination raciale en Mauritanie et la souffrance quotidienne de nos populations.

Nous sommes nombreux à penser que ces divisions nous retardent mais en restant militants disciplinés au sein des FLAM et aussi en travaillant en douce pour apaiser les tensions entre les uns et les autre et ramener la sérénité dans le combat que nous menons.

La lutte continue !

Kodda BA

 

 

L´Édito du Calame : De l’eau dans le zrig, vite!

altLe paysage politique mauritanien serait-il en pleine recomposition? La traditionnelle dualité pouvoir/opposition cédera-t-elle la place à un nouveau mode de confrontation où les jeunes des deux camps seront aux premières loges? La vieille garde, qu’Ould Abdel Aziz voulait enterrer, aura-t-elle, encore, son mot à dire? Elle se démène, en tout cas. Ainsi, plusieurs membres fondateurs d’ADIL, le parti porté sur les fonts baptismaux par l’ancien président, Sidi Ould Cheikh Abdallahi, parmi ceux qui ont rejoint la majorité présidentielle il n’y pas longtemps, ont décidé de geler leur participation à cette formation politique. Ils reprochent, à l’UPR, le parti/Etat, de n’avoir toujours pas mis en pratique l’accord d’entente qu’ils avaient signé avec lui et, à Ould Waghef, son empressement à courir derrière une majorité qui ne veut, pourtant pas, de lui. Tout le monde a encore en mémoire la rapidité avec laquelle Ould Abdel Aziz l’avait jeté en prison, pour avoir autorisé, lorsqu’il était Premier ministre, l’achat, par le commissariat à la Sécurité alimentaire, d’un «riz avarié» et proposé, lors d’un meeting à Rosso, de le libérer, s’il en mangeait une petite quantité. Quelques mois de mitard et un honneur jeté aux chiens n’ont, apparemment pas, dissuadé Ould Waghef de suivre celui qui lui fit tant de mal. Si bien qu’il aura été l’un des plus farouches défenseurs du ralliement d’ADIL à la majorité présidentielle, même sans accord formel. Et quel qu’en soit le prix, pour son parti qui a, de fait, volé en éclats, suite à cette adhésion. Le groupe qui l’avait accompagné, dans cette voie, vient de se rendre compte, à son tour, qu’elle est sans issue. Ould Abdel Aziz, disent-ils, démontre, jour après jour, qu’il n’a besoin de personne et n’accorde aucune importance aux nouveaux ralliés à sa cause.
Voilà comment ces hommes, qui comptent parmi les plus «politiques» du pays, ont entrepris une large concertation, avec les formations de la coordination de l’opposition et d’autres de la majorité (RD, Hatem, El Vadhila) ainsi qu’avec des personnalités indépendantes, notamment l’ancien président Ely Ould Mohamed Vall qui se serait dit «prêt à s’engager ouvertement», dans l’arène politique. Et il n’est pas exclu que des sensibilités de l’UPR même rejoignent un mouvement dont les contours ne sont, pourtant pas, encore bien définis. A quoi cela va-t-il aboutir? Une coordination? Un front uni contre Ould Abdel Aziz? Ou fera-t-il long feu, comme tant d’initiatives visant à fédérer l’opposition?
En tout cas, il existe au moins un facteur d’union, entre ces partis et ces hommes: la volonté d’en finir avec le président actuel, dont le moins qu’on puisse dire est qu’il ne fait pas l’unanimité, même dans son propre camp. Son parti connaît de sérieuses frictions et les satellites qui gravitent autour passent pour des figurants, sinon des potiches. Deux d’entre eux ont déjà claqué la porte et d’autres suivront.
Ould Abdel Aziz a-t-il, pour autant, des raisons de s’inquiéter? Il y a, en tout cas, de quoi – du moins si l’on ne veut pas jouer au casse-cou: la jeunesse qui entreprend de bouger; le front social qui commence à donner des signes guère plus encourageants, l’arène politique sans plus aucun répit envers le pouvoir. Si l’on ajoute, à ce cocktail, la situation économique plus que difficile, la morosité ambiante et le sentiment, général, que quelque chose ne tourne pas rond, le voilà carrément explosif. Et les explosions, comme on l’a vu récemment, on en sort difficilement indemne. Il y a de l’eau dans le gaz, monsieur le président : mettez-la, plutôt, dans votre zrig et vite…


Ahmed Ould Cheikh-LE CALAME

Est ce la bonne manière de procéder pour réconcilier?par Kodda BA.

altDésolé camarade Salah, ma réponse était pour Mr Poulori…. Ba qui menaçait de faire des révélations qui risqueraient de faire tomber le ciel sur les FLAM. En fait je lui dis chiche ! Qu’il le fasse. Qu’il révèle ce qu’il a à révéler davantage contre les FLAM. Rien et de rien ne se passera.

Et la lutte continuera pour nous  les militants tout le temps et n’importe quand jusqu’à la victoire finale. C’est pourquoi je dis que celui qui se cache dans son coin pour donner des coups aux FLAM risquerait de finir comme ceux qui étaient dans la résidence d’Abbottabad au Pakistan. En restant caché on ne peut rien construire encore moins détruire. Un texte n’a de poids que s’il porte l’image ou la signature connue de la personne qui l’a écrit. Autrement ko haala tan.

Le dernier congrès de Cincinnati, j’y étais contrairement à funeere Pullori et à Pulloori. J’ai vu l’agressivité, la violence et la pugnacité des gens dans les débats. Tout ce qui a été dit je l’ai textuellement noté dans mon carnet. Le président Samba Thiam, un homme courageux et déterminé avait dit à chacun de vider son sac. Ah là,  ceux qui en avaient quelque chose dans les trippes ont sorti tout ce qu’il y’avait dans leurs ventres, y’en avaient même qui ont eu la honte du siècle et des pleurs en suite…Ouuuh c’était serré !

L’après congrès de Cincinati, nous la connaissons et beaucoup de gens ne veulent même pas y repenser tellement les débats étaient âpres, houleux et difficiles pour tous les hommes et femmes présents pendant ce congrès et ayant participé à la construction de ce joli mouvement de libération que sont les FLAM. J’en ai souffert de cette scission et les FLAM aussi. Bassel avait souhaité bon vent aux dissidents, aujourd’hui ce vent s’est transformé en tourbillon (duleendu) au sein des partis de la majorité présidentielle mais les FLAM sont toujours là vivantes et vivaces et pour preuve cette passion pour tout ce qui concerne ce mouvement ! Et le racisme d’état, l’esclavage, expropriation de nos terre, les déportés qu’en sont devenus ces dossiers 5 ans après la scission? Nous devons réfléchir sur ce que nous faisons et les actes que nous posons si nous voulons gagner du temps dans le combat. Les intellectuels si nous en avons doivent nous aider en s’engageant à aller vers l’idéal pour découvrir le réel et non s’autosuffir de l’accomplissement de leur égo.

Je voudrais dire tout simplement à Pouloori que ce débat fictif sur ceux qui peuvent compter ou pas compter à la présidence des FLAM n’est pas une bonne façon de faire pour ramener ceux qui sont partis à la maison mère.

Nous sommes avant d’être des politiciens un peuple civilisé qui regorgent d’hommes et de femmes sages capables d’adoucir et d’atténuer la tension entre les uns et les autres. Je pense qu’il est plus sage d’explorer cette voie si tu veux réconcilier les gens et créer une union sacrée autour du combat que nous menons si toutefois tu y tiens mais votre méthode, celle qui consiste à vouer aux gémonies les gardiens du temple et d´encenser ceux qui ont quitté le bateau dès les premiers coups nous rend perplexes et douteux de votre bonne foi.

Les FLAM sont une organisation politique qui a des textes qui s’appliquent à ses propres militants qui ont des droits et des devoirs. Ceux qui ne sont pas militants n’ont aucun droit dans nos instances.

 

La lutte continue chaque jour avec plus de motivation.

 

Kodda BA

Une armée d’esprits malfaisants par Babayel Diallo

alt« Vade retro satanas ! » Sors de ce corps, j’ordonne ! Et Satan sortit confus, honteux, défait, envieux et encore plus obsédé,… ». Maa o taw am ɗoo”.

Une armée d’esprits malfaisants (seytaneeve), d’encagoulés flamo-compulsifs est à l’œuvre depuis un certain temps contre les Forces de libération africaines de Mauritanie, en vue de déstabiliser la préparation du Congrès à venir. Leur puérile obsession : s’incruster, s’inoculer dans cette Organisation pour l’imploser. Mais, je rappelle à leur démoniaque dessein, que beaucoup s’y sont essayé et ont perdu de leurs duveteuses plumes, et que leur Engagé ne réussira pas. Je suggère à la recrue avant de se faire harakiri, de demander à la fausse obsession victimaire, le fol homme luge du B2, le cerbère « ce gros affreux chien à plusieurs têtes de la mythologie grecque qui garde les portes de l’enfer ». Ce dernier, si dés-éthéré, lui répondra que sa petite ambition est vouée à l’échec. Qu’il regarde ce qui reste des «liquidateurs Tchernobyliens de Cincinnati », les “Hell’s Angel ‘; “ces anciens soldats de l’armée nazie vaincue et qui vivent en marge des sociétés occidentales “, il comprendra que ses petits muscles lui seront plus utiles une fois que je l’aurais désenvouté. Mes attaques au dessus de la ceinture s’arrêtent là, et je descends un peu plus bas, en deçà.
Plus que tout c’est son acharnement pour distiller la haine, qui habite son cœur qui me révulse.

J’ai regardé et laissé faire l’esprit malfaisant qui l’habite opposer Kaaw Tuure, Abdaramaan Woon, Abdulaay Conngaan, mes camarades, et je n’ai rien dit, croyant qu’il se ressaisirait.

Plus que l’insulte suprême de la mémoire de TUURE Jakariya, de SOW Ama, de Jiggo Tabsiiru, BAH Alasan Umar,…, de ceux et celles, qui matin et soir, travaillent pour rapprocher les cœurs, c’est la haine et la zizanie qu’il propage avec la dernière colonne qui m’étrangle de peine. Qu’il est veule et répugnant!
Je l’ai regardé ; obsessionnellement ridicule, s’en prendre effrontément à Son Excellence, Monsieur le Président Sammba Caam, quand il a voulu l’opposer à Ibiraahiimo Miifo, Kaaw Tuure et à leurs camarades Gardiens du temple (de Paris). Je m’étais écrié ; Oh mon Dieu, l’effronté ridicule, qu’est-ce petit marrant c’ui là.

Et mêmes les Morts n’y échappent ! Honte à lui, le satanique,

Quand, j’ai lu et vu faire opposer feus Saydu KAN-Mustafa Booli, Mammadu Sammba JOOb et Ibiraahiima Abu SAL, Oh, le « satanesque » obséquieux, Oh me dis-je, le mal esprit, n’a-t-il pas dépassé toutes les bornes ?( Morr oo Ibliis ), ne pouvait pas mieux faire.

Et, une avant dernière chose, et là, je m’adresse à Satan, sache qu’entre Baabayel Umar JALLO et Bookar Umar BAH, (Ko ɓaleeri e ndaneeri yitere). Gaño heɓataa ɗoon aawdi. Bookar Umar Yaŋuuba Ko o sehilam, ko funeere am, ko giƴam. Mi sikkitaakimo, mi sikkaani so omo sikkitoomi. Hay so a wontii njuɗu aljanna (Barbecue, Méchoui), cahhu wisaangu biiri jamjam (Caaf, firiir), miin Ibirahiima JALLO lollirzo Baabayel , Demmba Dikel JALLO a dañataa e am sago maa. Mor makko o dendinoowo wuurɓe e maayɓe.

Enfin, quant au congrès des F.l.a.m, (suka dendinoowo [bwuurɓe e maayɓe oo]b), je vais éclairer ta haineuse gouverne : Il faut remplir toutes les obligations d’un membre structuré et discipliné de cette Organisation pour être délégué et/ou pour avoir l’HONNEUR d’être invité. On n’est pas nombreux à savoir et pouvoir l’être par les temps qui courrent. C’en est fini du ari oyyo depuis 2005. Alors zouuuuuuuuuuuuu ! Vas te plaindre !

Falaam hannde ko needi, ko yarlitaare mawnde, ko sarziiji teddirzi Golle puuyze hannki.
Qu’il ne se fasse surtout pas le porteur de mes salutations cordiales, fraternelles et chaleureuses auprès de : Umar Muusa BAH, mawzo korsiin zomi mo korsiin mi haa e yeeso Geno, de mawniraave am Usmaan Bookar Bijja JAGANA et Buubakar Tijaani JAGANA. Je m’en chargerais, Monsieur l’ex futur président de la stratégie politique et de l’Unité des Forces de libération africaines de Mauritanie. Je te laisse ton dernier candidat à l’ex-futur présidence des Forces de libération africaines de Mauritanie.

Hare koko jokki

Ibrahima DIALLO
Guyancourt France