Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Daily Archives: 24/05/2011

Yimre: FLAM ko lannda ma! Kaaw Tuure

altFLAM ko miijo, FLAM ko ngenndi.

FLAM ko daande ma, FLAM ko wonnki ma.

FLAM ko ɓernde ma, FLAM ko gilli ma

FLAM ko yarlitaare, ndeke FLAM ko yaakaare.

FLAM ko weliitaare ndeke FLAM ko ƴellitaare 

FLAM ko sunna ma, FLAM ko hujja ma.

FLAM ko Fiɓnde ma, Flam ko konngol ma.

FLAM ko Olel, FLAM ko jaalal;

FLAM ko leelawal, ndeke FLAM ko pinal;

FLAM ko palal, ndeke  FLAM ko malal;

Yo wuur dental men haa duuɓi dutal;

Yo Geno semmbin fedde momti gonɗi haa ummital;

Yaa barke sahodinɓe walaata, Jereyda haa Inaal.

Kaaw Tokosel Tuure mo Jowol.

Souvenez-vous, commandant Hanena ?

altIl y a des propos qui rappellent toujours leurs auteurs soient-ils glorieux ou non.Et le sujet en question est à son heure. Le plus grave ne serait pas de dire quelque chose mais de ne pas avoir le courage de l’assumer.Avec le recul cela devient encore plus intéressant.C’est l’occasion de remettre au goût du jour les propos courageux que le commandant Salah Ould Hannena avait prononcés lors du procès des cavaliers du changement en novembre et décembre 2004 à Ould Naga et nous parlons bien sous son contrôle sans intention aucune de déformer.

L’homme qui avait défrayé la chronique avait lors de son audition, nié en bloc toute implication dans l’assassinat du chef d’état-major feu Ould N’diayane. Le cerveau du putsch contre Taya qui s’est soldé par la mort de 16 personnes et la blessure de plus 60 s’était longuement étalé sur le passif humanitaire et avait déclaré que la communauté négro-africaine était victime d’injustice dans les recrutements militaires et qu’en tant que militaire à l’époque il a été témoin d’atrocités très graves. Hannena avait parlé de fosses communes dont il pouvait montrer les lieux. A l’époque de tels propos avaient jeté un pavé dans la mer d’un procès marathon et suscité des interrogations sur l’opportunité que le cavalier du changement avait de mettre le doigt sur un dossier considéré comme la bête noire de Taya. Des analystes avaient mis cette sortie « Hananiyenne » sur le compte d’une tactique d’intimidation adressée à Taya. L’actuel leader de Hatem avait beaucoup séduit par ses déclarations au sujet d’une question à l’époque tabou. Si ses souvenirs sont bons voudrait –il donner son avis en tant qu’homme politique qu’il est devenu , sur le projet de marquage des sépultures notamment des militaires négro -mauritaniens et du passif humanitaire de façon plus globale ? Même si aujourd’hui notre cavalier est sur une autre monture …

Amadou Diaara-le Rénovateur

Viol collectif (inspiré d’une autre histoire)

altC’est décidé, je vais porter plainte. Cette femme de ménage d’un hôtel de Manhattan qui a porté plainte contre DSK le numéro un du FMI, m’a donné assez de courage pour le faire. 

Je vais porter plainte contre les dénommés Mohamed Ould Abdelaziz, la Coordination de l’Opposition Démocratique, la Majorité parlementaire et leurs amis qui n’existent que sur les registres du Ministère de l’Intérieur, et tous leurs potes civils et militaires, qui depuis plus de vingt ans violent matin, midi et soir une femme de ménage connue sous le pseudonyme de Chaab (le peuple), dans plusieurs chambres de l’hôtel “Mauritanie”. Un viol collectif est commis quotidiennement dans cet hôtel, sur la dénommée Chaab (Peuple).

 Le 10 juillet 1978, une employée de l’hôtel “Mauritanie”, de sexe féminin, connue sous le nom de Chaab (Peuple), avise la police qu’elle a été victime d’une agression sexuelle. L’agression se serait déroulée dans la chambre 1978 de l’hôtel situé rue du 28 novembre 1960.

 Un groupe, constitué de hauts officiers supérieurs, relayés par leurs associés civils tantôt Kadihine, tantôt islamistes, tantôt progressistes, tantôt baâthistes, tantôt nasséristes, tantôt opportunistes, organise des orgies forcées avec la malheureuse depuis 1978.

 Le groupe de malfaiteurs, une fois sa salle besogne finie, et son détestable besoin animal assouvi, s’attaque sans vergogne aux objets de famille de la victime, ses petites économies sont confisquées, son bidon de mazout, et ses lopins de terres sont vendus à des receleurs. 

 l’histoire de la misérable Chaab a été profanée, son honneur souillé et sa dignité bafouée.Traitée sans dignité, elle est ramenée au stade de la pauvreté extrême.

 A l’heure ou ces lignes sont écrites, Chaab (Peuple), subit encore et toujours, les assauts de cette horde sauvage.

 Les enfants (illégitimes évidemment me dira-t-on) de Chaab doivent se soulever et “poignarder” leurs géniteurs de gauche comme de droite, civils et militaires. Ils doivent les mettre au pilori. Arrêtons ce viol collectif qui a duré des décennies.

Cheikh Ould Jiddou