Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Viol collectif (inspiré d’une autre histoire)

altC’est décidé, je vais porter plainte. Cette femme de ménage d’un hôtel de Manhattan qui a porté plainte contre DSK le numéro un du FMI, m’a donné assez de courage pour le faire. 

Je vais porter plainte contre les dénommés Mohamed Ould Abdelaziz, la Coordination de l’Opposition Démocratique, la Majorité parlementaire et leurs amis qui n’existent que sur les registres du Ministère de l’Intérieur, et tous leurs potes civils et militaires, qui depuis plus de vingt ans violent matin, midi et soir une femme de ménage connue sous le pseudonyme de Chaab (le peuple), dans plusieurs chambres de l’hôtel “Mauritanie”. Un viol collectif est commis quotidiennement dans cet hôtel, sur la dénommée Chaab (Peuple).

 Le 10 juillet 1978, une employée de l’hôtel “Mauritanie”, de sexe féminin, connue sous le nom de Chaab (Peuple), avise la police qu’elle a été victime d’une agression sexuelle. L’agression se serait déroulée dans la chambre 1978 de l’hôtel situé rue du 28 novembre 1960.

 Un groupe, constitué de hauts officiers supérieurs, relayés par leurs associés civils tantôt Kadihine, tantôt islamistes, tantôt progressistes, tantôt baâthistes, tantôt nasséristes, tantôt opportunistes, organise des orgies forcées avec la malheureuse depuis 1978.

 Le groupe de malfaiteurs, une fois sa salle besogne finie, et son détestable besoin animal assouvi, s’attaque sans vergogne aux objets de famille de la victime, ses petites économies sont confisquées, son bidon de mazout, et ses lopins de terres sont vendus à des receleurs. 

 l’histoire de la misérable Chaab a été profanée, son honneur souillé et sa dignité bafouée.Traitée sans dignité, elle est ramenée au stade de la pauvreté extrême.

 A l’heure ou ces lignes sont écrites, Chaab (Peuple), subit encore et toujours, les assauts de cette horde sauvage.

 Les enfants (illégitimes évidemment me dira-t-on) de Chaab doivent se soulever et “poignarder” leurs géniteurs de gauche comme de droite, civils et militaires. Ils doivent les mettre au pilori. Arrêtons ce viol collectif qui a duré des décennies.

Cheikh Ould Jiddou

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