Chers concitoyens, habitants de Nouakchott,

L’arrivée à terme, au trente et un décembre deux mille treize, de mon mandat à la tête de la Communauté Urbaine de Nouakchott m’offre l’agréable opportunité de m’adresser, une nouvelle fois, et par voie de presse, à vous, pour vous exprimer, tout d’abord, mes plus sincères remerciements pour la confiance que vous avez bien voulu placer en moi en m’élisant au poste de premier magistrat de votre capitale politique , la ville la plus importante et la plus peuplée du pays. Ce choix dont je suis hautement fier et très honoré a constitué, pour moi, une grande source d’inspiration et d’encouragement dans l’accomplissement de ma délicate et noble mission. Ce que j’ai tenté de faire contre vents et marées et en dépit des nombreux écueils qui ont émaillé cette entreprise. Tout en me comportant comme républicain et élu de tous les Nouakchottois, toutes tendances politiques confondues, j’ai toujours été animé de la plus ferme volonté et de la plus grande ambition d’assurer aux citoyens de la ville de Nouakchott les meilleures conditions de vie possibles et de faire de leur cité une véritable vitrine du pays et un espace où il fait bon de vivre.

Des résultats probants ont, certes, été enregistrés dans ce domaine, mais, hélas, ils restent très en-deçà de ce que j’aurais voulu et souhaité réaliser.

En effet, j’avais l’ambition de mieux faire et de faire plus que je ne l’avais fait, ce à quoi vous vous attendiez de ma part et vous en avez le droit. Malheureusement, des contraintes indépendantes de ma volonté et de la vôtre, et que je ne voudrai pas détailler ici, m’en ont empêché. Je le regrette fort et m’en excuse auprès de vous chers citoyens, consolé, toutefois en cela, par le fait que, vous et moi, n’avons ménagé aucun effort pour atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés ensemble pour notre ville.

D’ailleurs, vous serez, ultérieurement, après la passation de service, édifiés sur mon bilan que vous pourrez juger par vous-même.

Il y a lieu de préciser, ici, que j’ai été, tout d’abord, élu Maire de Tevragh Zeina où je suis resté moins d’un mois, puis élu Président de la CUN et, par la suite, Président de l’Association des Maires de Mauritanie.

Le mandat de Président de la CUN n’a pas été de tout repos pour moi. Sept ans durant je n’ai pas pris de congé et j’ai eu à subir quelques fois toutes sortes de pressions et   d’humiliations, dans l’exercice de ma charge. J’ai été aussi souvent mal compris. A certains moments, il fallait choisir entre rendre ma démission et changer de bord politique. Je ne l’ai pas fait parce que, le mandat appartient aux citoyens, à mon Parti et à la Coordination de l’Opposition Démocratique (COD) qui m’ont coopté, même si, tout le monde sait, que beaucoup de citoyens de la majorité ont voté pour moi. Qu’ils en soient remerciés ici. Je suis donc resté républicain jusqu’à la fin malgré les difficultés et certains coups bas.  

Aussila gestion de la ville de Nouakchott est-elle, particulièrement, complexe et ne répond-t-elle   pas aux standards normaux.

En effet, Nouakchott est composé de neuf communes toutes autonomes avec, chacune son Maire, son Conseil municipal et son budget propres. La CUN n’a aucun droit de regard sur la gestion de ces communes qui ne dépendent pas d’elle. Mais, l’inverse est vrai : les neuf communes sont représentées au Conseil Communautaire de la ville et sont, de ce fait, acteurs de la CUN. Les Maires et Conseillers, membres de cette dernière et représentant ces neuf communes sont donc comptables, chacun en ce qui le concerne, des résultats de leur propre Mairie mais, également, et collectivement de ceux de la CUN.

Cette complexité de gestion atypique est, pour beaucoup, dans les disfonctionnements multiples qui peuvent être constatés ça et là. C’est pourquoi, Nouakchott, à l’instar des grandes villes du monde, devrait avoir une seule mairie centrale, unique et responsable de tous ses démembrements. Une réforme dans ce sens est, depuis cinq ans, en veilleuse au niveau du Ministère de l’Intérieur dont je recommande vivement la mise en œuvre pour la bonne marche des affaires de la ville de Nouakchott.

J’avais la sincère envie de continuer, avec vous, ce n’est pas un secret que je vous dévoile ici, l’œuvre d’épanouissement et de développement de notre capitale, en sollicitant un nouveau mandat municipal. Mais les circonstances en ont décidé autrement. En effet, j’appartiens au Parti Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD), membre fondateur de la COD qui a décidé de boycotter le scrutin du 23 novembre 2013. Militant discipliné, je ne pouvais que me plier à la volonté de mon Parti. Ce qui me permettra, et j’en avais grand besoin, de m’occuper de mes affaires que je n’ai que trop délaissées.

Toutefois, je nourris l’espoir de pouvoir, prochainement, vous retrouver dans le cadre d’un autre mandat politique, pour qu’ensemble nous poursuivions nos efforts de modernisation et de développement de notre chère capitale.

Je vous en donne l’assurance et vous promets que ce n’est que partie remise. C’est tout simplement, un répit de combattant.

Elu ou pas, je continuerai mon combat pour la préservation de l’Unité Nationale et des libertés fondamentales et pour l’épanouissement de la jeunesse.

Permettez-moi, à la fin de ce mot d’adieu, chers concitoyens, de vous réitérer, individuellement et collectivement et du fond du cœur, mes remercîments les plus sincères pour le précieux soutien que chacun de vous, à sa manière et selon ses moyens, m’a apporté dans l’exercice de mes fonctions de Président de la CUN.

Quoi qu’il advienne, je resterai l’un des fidèles fils de votre ville, la mienne.

Je ne ménagerai aucun effort pour apporter ma modeste contribution, à ma manière et selon les règles de la démocratie, à son développement.

Je ne terminerai pas sans demander pardon à tous ceux à qui j’ai fait, certes sans le vouloir un quelconque tort mais, également, à ceux qui, peut-être m’ont mal compris. Tout comme j’accorde un pardon sincère à tous   ceux qui m’ont porté préjudice, d’une manière ou d’une autre, durant mon mandat à la tête de la CUN, conformément à l’esprit du verset Coranique : «… Mais si vous [les]excusez, passez sur [leurs] fautes et [leur] pardonnez, sachet qu’Allah est Pardonneur, Très Miséricordieux.» Sorat : At-Tagabun verset N°14

Je saisis cette occasion   pour remercier en votre nom chers concitoyens et au nom des élus de la ville, nos partenaires au développement. Je citerai, notamment, l’Agence Française de Développement(AFD), l’Union Européenne,   la Banque Mondiale à travers le PDU, la Coopération Française, Cities alliances, le GRET , le Fonds Mondial   pour le Développement des villes (FMDV), la Coopération Espagnol…

Mes remerciements vont également aux villes amies et institutions des villes qui nous ont beaucoup aidé dans le cadre de la coopération décentralisée.

Il s’agit de :

-La Région –Ile –De France à travers son Conseil, son Président Jean   Paul   Huchon et son Vice Président, chargé des relations internationales   Roberto Romero et le Conseiller Ali Soumaré ;

-L’Association Internationale des Maires Francophones (AIMF) à travers son Président Bertrand Delanoë, Maire de Paris, de son Secrétaire Permanent,   Pierre   Baillet et de tout son bureau ;

– La ville de Lausanne, son syndic et ses élus   et les villes suisses pour les financements des   projets « Eau et Assainissement de Nouakchott » ;

-La ville d’Evry, son Conseil et son ancien Président, le Ministre Manuel Valls ;

– Cités et Gouvernements locaux Unis d’Afrique (CGLUA), son Président Khalifa Ababacar Sall, son Secrétaire Général Jean-Pierre ELONG M’BASSI et les Membres du Bureau ;

-Des Maires de certaines villes Jumelées avec Nouakchott, notamment, Brazzaville, Dakar, Bamako, Rabat, Casablanca, Kinshasa, Evry, RIF, Praia, T unis, Sans oublier Ouagadougou, Saint Louis et Marrakech.    

Mes remerciements vont également aux membres de la diaspora mauritanienne, pour leur solidarité avec la ville, à travers les médias et les réseaux sociaux.

Je ne saurais terminer ce mot sans remercier de tout mon cœur les immigrés résidant à Nouakchott pour leur contribution au développement de la ville et leur dit qu’ils sont chez eux en Mauritanie.

Mes remerciements vont aussi, au Conseil Communautaire qui, dans sa diversité politique (Opposition et Majorité), m’a épaulé sans faille durant tout mon mandat et à tous mes collaborateurs à la CUN pour le travail accompli.

Je saisis l’opportunité pour adresser mes félicitations au président et aux membres du prochain Conseil urbain et leur souhaite bonne réussite dans leur mission.

Enfin, meilleurs vœux pour tous à l’occasion du nouvel an, et j’implore Allah, le Tout Puissant, que 2014 soit une année de dialogue, de paix et de développement pour notre pays .

Mille mercis à tous.

Source: le calame

Tout à leur a eu lieu une conférence de presse, organisée par les signataires du communiqué du mouvement Touche Pas à Ma Nationalité du communiqué ayant parue hier, Samedi 21/12/2013, annonçant la réunification du TPMN après une scission qui a fait coulé beaucoup d’encre de salive, au cours de cette conférence ayant eu lieu à proximité de l’Immeuble Almamy au niveau du siège de la “Plateforme des ONG”, le voile a été en quelque sorte levée, sur beaucoup de zones d’hommes et réponses trouvées à beaucoup de questions…..

” Nous les délégués authentiques du TPMN, les premiers à être sur le terrain, ceux qui faisaient face aux forces forces de l’ordre, en compagnie des membres fondateurs du mouvement, qui avaient délégués Wane Abdoul Birane à la coordination du TPMN après plusieurs tentatives de médiation bloqués par ce dernier, qui refuse catégoriquement la mise en place de textes (STATUTS & RÈGLEMENTS INTÉRIEUR), ce depuis plus d’une année sans succès…….

Ayant constaté la sourde oreille que faisait Wane, et sa prise en otage du TPMN.

Nous avons alors décidé de contacter le deuxième groupe qui a accepté nos exigences, à savoir la mise en place de textes qui régiront le mouvement, ce de manière consensuelle et durable, pour aboutir à cette décision prise de réunifier le Mouvement et de continuer le combat. Désormais il n’y a plus qu’un seul TPMN et ceux qui ont peur des textes et qui travaillent dans l’anarchie ont tord……

Voila pourquoi, nous avons donc décidé,hier de le démettre Wane Abdoul Birane de son poste de coordinateur et de sceller la réunification de TPMN en rejoignant le bureau dirigé par le Dr Alassane Dia qui est désormais l’unique instance représentative de TPMN”.

Rappelons que ce mouvement avait pour principal but de lutter contre le génocide biométrique, le recensement discriminatoire en 2011, petit à petit son champs d’action s’est élargie, ne se limitant plus à combattre se recensement, mais de dénoncer toute forme d’injustice….!

Babiraguel Sy

Source: http://gonguiyanke.over-blog.com

Boolumbal

Le parti islamiste mauritanien Tewassoul a dénoncé dimanche d'”énormes irrégularités” dans les élections législatives et municipales, qui lui ont néanmoins permis, affirme-t-il, de devenir le deuxième parti du pays.

Les résultats officiels du scrutin, boycotté par une partie de l’opposition, n’ont pas encore été dévoilés mais sont attendus dimanche ou lundi, selon la Commission électorale.

Ces élections “n’apporteront aucune solution à la crise” politique en Mauritanie, à cause des “énormes irrégularités qui les ont marqués” et du boycott d’une partie de l’opposition, a déclaré dimanche à la presse le président de Tewassoul, Jemil Ould Mansour.

Ce dernier a affirmé que son parti, qui avait obtenu 12 députés au premier tour du 23 novembre, en a obtenu quatre autres au second tour de samedi, portant à 16 le nombre de ses députés à l’Assemblée nationale. Ce score, s’il était confirmé officiellement, ferait de Tewassoul le deuxième parti du pays et la première force de l’opposition au Parlement.

Tewassoul est l’unique formation des 11 partis d’opposition de la Coordination de l’opposition démocratique (COD) à avoir participé aux scrutins, boycottés par les autres membres de cette coalition.

Fort de ses résultats, le président du parti islamiste a appelé dimanche à un “dialogue urgent” pour résoudre la crise politique. J’en appelle à un dialogue urgent pour résoudre cette crise qui dure depuis le coup d’Etat de 2008″, a déclaré à la presse Jemil Ould Mansour.

Le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, ancien général dans l’armée, est arrivé au pouvoir en août 2008 après avoir renversé Cheikh Sidi Ould Abdallahi, premier chef d’Etat démocratiquement élu de Mauritanie.

Un accord conclu à Dakar en 2009 avait permis l’organisation d’une élection présidentielle, remportée en juillet de la même année par le président Aziz dans des conditions critiquées par l’opposition.

Moins d’un million d’électeurs étaient appelés à voter au second tour, contre 1,2 million au premier, pour renouveler 30 des 147 sièges que compte l’Assemblée nationale et les conseils municipaux de 119 communes sur les 218 du pays.

Au premier tour le 23 novembre, le parti du président Mohamed Ould Abdel Aziz, l’Union pour la République (UPR), était arrivé en tête avec 52 députés élus.

Avec ses alliés, l’UPR avait obtenu 86 sièges, soit la majorité. 117 députés ayant alors été élus au premier tour, 30 sièges restaient à pourvoir.

Aux municipales, l’UPR l’avait emporté dans 81 des 218 communes.

Source: Jeune Afrique

La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) a rendu public un communiquérelatif à la proclamation des résultats du second tour de l’élection des députés à l’Assemblée nationale et des conseillers municipaux, tenue le 21 décembre 2013, lu par son président, Dr. Abdallahi Ould Soueid’Ahmed.
Voici le texte intégral du document:
Chers citoyens,
Au nom du Comité directeur de la Commission électorale nationale indépendante, j’ai l’honneur de procéder à l’annonce des résultats du second tour de l’élection des députés à l’Assemblée nationale et des conseillers municipaux, tenu le 21 décembre 2013 Je voudrais réitérer la satisfaction de la CENI pour la participation active du peuple mauritanien à ce second tour dans le calme et la sérénité, prouvant ainsi, une nouvelle fois, son niveau de conscience par rapport aux exigences de la situation politique actuelle et son attachement à la démocratie, comme choix de modernité et de civisme pour l’alternance pacifique du pouvoir et comme moyen unique pour l’instauration de la paix sociale et le développement économique escompté.
A cette occasion, j’adresse mes remerciements à tous nos partenaires dans le processus électoral, qu’ils soient acteurs politiques, candidats, électeurs observateurs internationaux ou nationaux, journalistes de tous les médias publics ou privés, pour leur contribution appréciable et l’accompagnement qu’ils nous ont assurés durant ce processus électoral.
Nous nous engageons devant eux à prendre en considération toutes les remarques et recommandations qu’ils ont énoncées et les orientations qu’ils ont présentées, de manière à améliorer notre efficience à l’avenir.
Je ne peux qu’exprimer, au nom de la CENI, notre reconnaissance aux autorités civiles et militaires qui se sont acquittées convenablement de leurs lourdes responsabilités, en vue d’assurer la sécurité des différentes étapes du processus électoral sur toute l’étendue du territoire national.
Je voudrais porter à votre connaissance que la CENI a reçu jusqu’ici du Conseil constitutionnel et de la Cour suprême des jugements dont certains ont eu pour effet l’annulation ou la modification de certains résultats du premier tour des élections.
Ainsi, le Conseil constitutionnel a pris la décision d’annuler l’élection législative dans la Moughataa d’Atar et le volet relatif au scrutin dans la commune de Ain Savra dans la Moughataa de Chinguitti; de même, la Cour suprême a décidé d’annuler l’élection municipale dans la circonscription électorale de Kaédi. Conformément aux dispositions de la loi, la CENI dispose d’un délai maximum de trois mois pour l’organisation du scrutin dans les circonscriptions, objets des recours. La CENI prendra les mesures nécessaires pour l’organisation de ces élections dans les délais fixés par la loi. Chers citoyens,
J’en viens maintenant à la proclamation des résultats.
– Conformément aux textes législatifs et réglementaires se rapportant à l’élection des députés à l’Assemblée Nationale et des Conseillers municipaux;
– A la lumière de la délibération de la CENI, en date du 03 décembre 2013, relative à l’annonce des résultats des élections législatives et municipales du 23 novembre 2013 ;
– En application du décret portant convocation du Collège électoral pour le second tour de l’élection des Députés à l’Assemblée nationale et des Conseillers municipaux; La Commission électorale nationale indépendante a procédé à l’organisation du second tour le 21 décembre 2013, sur la base des données qui suivent: Premièrement: pour l’élection des députés à l’Assemblée nationale Les élections législatives ont été organisées dans quinze (15) circonscriptions électorales, avec la participation de huit (8) partis politiques et deux (2) coalitions de partis pour vingt-huit (28) sièges. Deuxièmement: pour l’élection des Conseillers municipaux
Le scrutin a été organisé dans cent dix-neuf(119) communes, réparties sur l’ensemble du territoire national et a vu la participation de seize (16) partis, en compétition pour deux mille cent onze (2111) sièges
. Troisièmement: résultats des élections
Les résultats que nous annonçons aujourd’hui sont extraits des procès-verbaux des opérations électorales organisées dans mille neuf cent quarante (1940) bureaux de vote, répartis sur toute l’étendue du territoire national.
A présent, je passe la parole à Monsieur le Directeur des opérations électorales et de la logistique à la CENI, pour vous présenter en détail les résultats du second tour, selon chaque circonscription électorale, et je vous remercie”.
Après la déclaration du Président de la CENI, les résultats ont été présenté en détail par le le Directeur des opérations électorales et de la logistique à la CENI.

Source: AMI

La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) a annoncé dimanche les résultats du second tour des élections municipales et législatives dans les circonscriptions électorales suivantes:
– Commune de N’Teichett (Boutilimitt, Trarza): l’UPR a obtenu 10 conseillers contre 7 pour Tewassoul;
– Commune de Oum Avnadech: (Néma, Hodh Charghi) l’UPR a obtenu 8 conseillers contre 11 pour le Harak (Sursaut des jeunes);
– Commune d’Atar (Adrar): 14 conseillers pour l’UPR et 7 pour l’Alliance Populaire Progressiste (APP);
– Kouroudjel (Kiffa, Assaba): l’UPR a obtenu 7 conseillers et le parti El Wiam 7;
– Commune de Riyadh (Nouakchott): l’UPR emporte 12 sièges de conseillers contre 9 à l’APP.
– Commune de Teyarett (Nouakchott) 12 conseillers pour l’UPR contre 9 à Tewassoul;
– Commune du Ksar (Nouakchott): 14 à l’UPR contre 7 à Tewassoul;
– Commune de Arafat (Nouakchott): Tawassoul arrache 11 conseillers contre 10 à l’UPR;
– Commune de Néré Waloo (Gorgol): 9 conseillers pour l’UPR contre 8 pour l’UDP;
– Commune de Ould M’Bonny (Guidimagha): l’UDP obtient 9 sièges contre 8 pour l’APP;
– Commune de Jreif (Néma, Hodh Charghi): l’UPR obtient 8 sièges de conseillers contre 7 pour le PRDR;
– Terguent Ahel Moulaye Ely, M’Bout, Gorgol): le parti El Wiam obtient 9 sièges contre 8 pour l’UDP.

– Commune de Jantang Maghama, Gorgol): l’UPR a obtenu 9 sièges de conseillers contre 8 à l’UDP;
– Commune de Gouraye (Sélibaby, Guidimagha): l’UDP a obtenu 10 conseillers contre 9 à l’UPR;
– Commune de Melzem Teichett (Monguel, Gorgol): l’UPR a ontenu 10 conseillers contre 7 pour le parti “El vadhila”;
– Commune de Doueiraré (Aioun, Hodh El Gharbi): l’UPR a obtenu 9 conseillers contre 8 pour El Wiam;
– Commune de Tintane (Hodh El Gharbi): l’UPR a obtenu 11 conseillers contre 6 à Tewassoul;

– Commune de N’Savenny (Aioun, Hodh El Gharbi): le parti Tewassoul a arraché 9 sièges de conseillers contre 8 à l’UPR;
– Commune de Touil (Timbédra, Hodh El Gharbi): l’Union pour le centre démocratique (UCD) a obtenu 10 conseillers contre 9 à l’UPR;
– Commune de Bennemane 2 (Aioun, Hodh El Gharbi): UPR: 9 conseillers et le Harak(Sursaut) 6;

– Commune de Néma (Hodh Charghi): Tewassoul: 10 conseillers et l’UPR 9;
– Commune d’Akjoujt (Inchiri): l’UPR: 11 conseillers et l’UDP 6;
– Commune de Maadene (Aoujeft, Adrar): l’UPR: 7 et El Wiam 10;
– Commune de Méderdra (Trarza): l’UPR: 7 conseillers et le Harak(Sursaut) 10;
– Boulenouar (Dakhlet Nouadhibou): l’UPR a obtenu 6 sièges de conseillers contre 5 à l’UDP;
– Commune de Tevragh Zeina (Nouakchott): l’UPR aobtenu 13 conseillers contre 8 à Tewassoul;
– Commune de Chinguitty (Adrar): l’UPR a obtenu 8 conseillers contre 7 pour le parti du peuple démocratique (PPD);
– Commune de Kankossa (Assaba): l’UPR obtient 9 conseillers et le Harak des jeunes 10;
– Commune de Maghama (Gorgol): le PRDR a obtenu 11 conseillers contre 8.

Commune Voum Gleita (M’Bout- Gorgol) : nombre de conseillers 19
– L’Union Pour la République a obtenu 7 conseillers
– Le Sursaut de la jeunesse pour la nation a obtenu 12 conseillers
Commune El Mina à Nouakchott: nombre de conseillers 21
– L’Union Pour la République a obtenu 9 conseillers
– L’Alliance Populaire Progressiste a obtenu 12 conseillers
Commune Ain Varba (Tintane Hodh Gharbi): nombre de conseillers 17
– L’Union Pour la République a obtenu 9 conseillers
– Le parti Karama a obtenu 8 conseillers
Commune Leghlig (Kobeni- Hodh Gharbi): nombre de conseillers 17
– L’Union Pour la République a obtenu 8 conseillers
– Le Sursaut de la jeunesse pour la nation a obtenu 9 conseillers
Commune de Ouad Naga (Trarza): nombre de conseillers 19
– L’Union Pour la République a obtenu 9 conseillers
– Le Rassemblement National pour la Réforme et le Développement (Tawassoul) a obtenu 10 conseillers
Commune Agharghar (Tintane Hodh Gharbi): nombre de conseillers 17
– L’Union Pour la République a obtenu 7 conseillers
– Le Rassemblement National pour la Réforme et le Développement (Tawassoul) a obtenu 10 conseillers

Commune Aiounatt Zbel (Djigueni Hodh Charghi ) : nombre de conseillers 17
– L’Union Pour la République a obtenu 7 conseillers

– Le Rassemblement National pour la Réforme et le Développement (Tawassoul) a obtenu 10 conseillers
Législatives:
Moughataa de Rosso (Trarza): nombre de sièges 2 remportés par le parti El Wiam

Commune N’Beika (Moudjeria-Tagant): nombre de conseillers 19;
– L’Union Pour la République a obtenu 8 conseillers;
– Le Parti du Rassemblement pour la Démocratie et le Renouveau 11 conseillers;
Commune de Tiguent (Mederdra-Trarza): nombre de conseillers 19;
– L’Union Pour la République a obtenu 10 conseillers;
– Le Rassemblement National pour la Réforme et le Développement a obtenu 9 conseillers;
Commune de Dar Naim (Nouakchott): nombre de conseillers 21
– Le Rassemblement National pour la Réforme et le Développement a obtenu 12 conseillers
– L’Alliance Populaire Progressiste a obtenu 9 conseillers;
Commune de Oualata (Hodh Charghi): nombre de conseillers 19;
– L’Union Pour la République a obtenu 10 conseillers;
– Le Parti El Wiam a obtenu 9 conseillers;
Commune Bougadoum (Amourj-Hodh Charghi): nombre de conseillers 21;
– L’Union Pour la République a obtenu 12 conseillers;
– Le parti pour l’Unité et le Développement a obtenu 9 conseillers;
Commune Djigueni (Hodh Charghi): nombre de conseillers 19;
– L’Union Pour la République a obtenu 9 conseillers;
– Le Rassemblement National pour la Réforme et le Développement a obtenu 10 conseillers;
Commune de Woumpou (Selibabi-Guidimakha): nombre de conseillers 17;
– L’Union Pour la République a obtenu 8 conseillers;
– Le Parti du Rassemblement pour la Démocratie et le Renouveau a obtenu 9 conseillers;
Commune de Monguel (Gorgol): nombre de conseillers 15;
– L’Union Pour la République a obtenu 8 conseillers;
– Le Sursaut de la Jeunesse pour la Nation a obtenu 7 conseillers;
Commune de Soudoud (Achram Moudjéria-Tagant ): nombre de conseillers 19;
– L’Union Pour la République a obtenu 10 conseillers;
– Le Sursaut de la Jeunesse pour la Nation a obtenu 9 conseillers.

Commune de Zouerate (Tiris Zemmour): nombre de conseillers 21;
– L’Union Pour la République a obtenu 13 conseillers;
– Le Sursaut de la Jeunesse pour la Nation a obtenu 8 conseillers;
Commune de Tikobra (M’Bout -Gorgol): nombre de conseillers 17;
– L’Union Pour la République a obtenu 9 conseillers;
– Le parti de l’Union pour la Démocratie et le Progrès a obtenu 8 conseillers;
Commune de Souva (M’Bout- Gorgol): nombre de conseillers 17;
 – L’Union Pour la République a obtenu 9 conseillers
– Le parti de l’Union pour la Démocratie et le Progrès a obtenu 7 conseillers;
Commune de Ghlig Ehl Bih (Djigueni -Hodh Charghi): nombre de conseillers 15
– L’Union Pour la République a obtenu 7 conseillers
– Le Sursaut de la Jeunesse pour la Nation a obtenu 6 conseillers
Commune de Baijam (Selibabi): nombre de conseillers 17;
– Le parti de l’Union pour la Démocratie et le Progrès a obtenu 9 conseillers;
– L’Union Pour la République a obtenu 8 conseillers; 
Commune de M’Bagne (Brakna): nombre de conseillers 17;
– Le Sursaut de la Jeunesse pour la Nation a obtenu 9 conseillers;
– L’Union Pour la République a obtenu 8 conseillers.

– Commune de Jantang Maghama, Gorgol): l’UPR a obtenu 9 sièges de conseillers contre 8 à l’UDP;
– Commune de Gouraye (Sélibaby, Guidimagha): l’UDP a obtenu 10 conseillers contre 9 à l’UPR;
– Commune de Melzem Teichett (Monguel, Gorgol): l’UPR a ontenu 10 conseillers contre 7 pour le parti “El vadhila”;
– Commune de Doueiraré (Aioun, Hodh El Gharbi): l’UPR a obtenu 9 conseillers contre 8 pour El Wiam;
– Commune de Tintane (Hodh El Gharbi): l’UPR a obtenu 11 conseillers contre 6 à Tewassoul;
– Commune de N’Savenny (Aioun, Hodh El Gharbi): le parti Tewassoul a arraché 9 sièges de conseillers contre 8 à l’UPR;
– Commune de Touil (Timbédra, Hodh El Gharbi): l’Union pour le centre démocratique (UCD) a obtenu 10 conseillers contre 9 à l’UPR;
– Commune de Bennemane 2 (Aioun, Hodh El Gharbi): UPR: 9 conseillers et le Harak(Sursaut) 6;

– Commune de Néma (Hodh Charghi): Tewassoul: 10 conseillers et l’UPR 9;
– Commune d’Akjoujt (Inchiri): l’UPR: 11 conseillers et l’UDP 6;
– Commune de Maadene (Aoujeft, Adrar): l’UPR: 7 et El Wiam 10;
– Commune de Méderdra (Trarza): l’UPR: 7 conseillers et le Harak(Sursaut) 10;
– Boulenouar (Dakhlet Nouadhibou): l’UPR a obtenu 6 sièges de conseillers contre 5 à l’UDP;
– Commune de Tevragh Zeina (Nouakchott): l’UPR aobtenu 13 conseillers contre 8 à Tewassoul;
– Commune de Chinguitty (Adrar): l’UPR a obtenu 8 conseillers contre 7 pour le parti du peuple démocratique (PPD);
– Commune de Kankossa (Assaba): l’UPR obtient 9 conseillers et le Harak des jeunes 10;
– Commune de Maghama (Gorgol): le PRDR a obtenu 11 conseillers contre 8.
– Commune de N’Teichett (Boutilimitt, Trarza): l’UPR a obtenu 10 conseillers contre 7 pour Tewassoul;
– Commune de Oum Avnadech: (Néma, Hodh Charghi) l’UPR a obtenu 8 conseillers contre 11 pour le Harak (Sursaut des jeunes);
– Commune d’Atar (Adrar): 14 conseillers pour l’UPR et 7 pour l’Alliance Populaire Progressiste (APP);
– Kouroudjel (Kiffa, Assaba): l’UPR a obtenu 7 conseillers et le parti El Wiam 7;
– Commune de Riyadh (Nouakchott): l’UPR emporte 12 sièges de conseillers contre 9 à l’APP.
– Commune de Teyarett (Nouakchott) 12 conseillers pour l’UPR contre 9 à Tewassoul;
– Commune du Ksar (Nouakchott): 14 à l’UPR contre 7 à Tewassoul;
– Commune de Arafat (Nouakchott): Tawassoul arrache 11 conseillers contre 10 à l’UPR;
– Commune de Néré Waloo (Gorgol): 9 conseillers pour l’UPR contre 8 pour l’UDP;

– Commune de Ould M’Bonny (Guidimagha): l’UDP obtient 9 sièges contre 8 pour l’APP;
– Commune de Jreif (Néma, Hodh Charghi): l’UPR obtient 8 sièges de conseillers contre 7 pour le PRDR;
– Terguent Ahel Moulaye Ely, M’Bout, Gorgol): le parti El Wiam obtient 9 sièges contre 8 pour l’UDP.
le parti de l’Union pour la République (UPR) l’a emporté dans la commune de Chinguitty (Adrar) en obtenant 8 conseillers tandis que le parti du peuple démocratique en a obtenu 7.
Dans la commune de Tevragh Zeina (Nouakchott), l’UPR l’a emporté avec 13 conseillers alors que le regroupement national pour la réforme et le développement (Tawassoul) a obtenu 7 conseillers.
Dans la commune de Kankossa, le parti Harak (Sursaut des jeunes pour la patrie) a gagné 10 sièges de conseillers tandis que l’UPR en a obtenu 9.
A Maghama (Gorgol), le parti républicain pour la démocratie et le renouveau (PRDR) l’a emporté avec 11 conseillers municipaux contre 8 pour l’UPR.
A Boulenouar (Nouadhibou), l’UPR a acquis de justesse la majorité des sièges soit 6 conseillers contre 5 pour l’Union pour la démocratie et le progrès (UDP).

Source: AMI