Monthly Archives: February 2016
L’éditorial du calame : Si les gens savaient…
Devant les difficultés qui s’amoncellent, le ras-le-bol, général, face à la hausse de prix des denrées de première nécessité, le refus obstiné du pouvoir de baisser celui des hydrocarbures, la crise politique qui perdure, la dévaluation rampante de l’ouguiya, les scandales financiers qui se répètent, Ould Abdel Aziz – « en plein désarroi », selon « Jeune Afrique » – n’a pas trouvé mieux, pour divertir l’opinion, que de lui offrir un énième remaniement ministériel. Où un tribalisme de bas étage a trouvé toute sa consécration. Jamais, même au temps de Maaouya où cette tare établit ses lettres de noblesse, on s’est autant engouffré dans la mouise. Un « dosage » qu’on pourrait qualifier de tout, sauf de savant, a prévalu lors du choix des remplaçants des cinq hommes débarqués du gouvernement. Dont personne ne sait ni pourquoi ils furent choisis, ni pour quels motifs ils ont quitté l’équipe gouvernementale. Non pas qu’on ne puisse imaginer les raisons qui ont présidé au choix des entrants. Il est une constante, dans tous les régimes peu – ou prou – démocratiques : choisir les hommes selon des critères subjectifs, les pressurer jusqu’à la moelle et s’en débarrasser à la première occasion. Depuis près de quarante ans, c’est la règle en Mauritanie où la fonction ministérielle a été tellement dévalorisée que tout un chacun, sensé ou non, peut y prétendre. La valse des ministres est devenue le sport-roi de nos dirigeants qui y trouvent, à chaque fois, l’occasion de divertir un peuple qui vit de ragots, de médisances et de rumeurs. Et la dernière tempête dans un verre d’eau n’a pas dérogé à la règle. Le peuple a eu quelque chose à se mettre sous la dent, pendant quelques jours. Mais avant qu’il ne revienne sur la terre et à ses soucis, on lui a, aussi sec, servi un autre plat : le refus du Conseil constitutionnel de valider le projet de loi organique du gouvernement, prévoyant de renouveler, maintenant, deux tiers du Sénat et le dernier tiers dans deux ans. Réveillé subitement d’un long sommeil qui frôlait l’hibernation, ledit Conseil a recalé le projet de loi, au motif que tout le Sénat est périmé et qu’il faut donc le renouveler en entier. Rebelote donc !
Un nouveau projet de loi sera approuvé en Conseil des ministres, avant de passer par le Parlement, pour revenir, devant le Conseil constitutionnel, et nous voici reparti pour au moins deux ans de statu quo ! D’ici là, beaucoup d’eau aura coulé sous les ponts. Qui ne connaît pas ce Conseil peut, aisément, imaginer que celui-ci a normalement rempli sa fonction mais, ceux, nombreux, sans aucun doute sur son inféodation à l’Exécutif, douteront que sa décision ait été bâtie sur le Droit et rien que le Droit. D’autant qu’entre le Droit et le Non-droit, il y a le courbe, la courbette, le louvoiement, le zigzag, j’en passe et de plus louches encore…
Autre pâture jetée à l’opinion : la promotion de six nouveaux colonels au grade de général. On en est, désormais, à dix-sept étoilés. Une inflation dont notre armée peut bien se passer. Au Sénégal voisin, par exemple et pour rester dans une logique chère à nos gouvernants qui veut toujours nous comparer aux pays frontaliers, seuls sept colonels – quatre de l’Armée et trois de la Gendarmerie – en vingt-cinq ans, entre Senghor et Diouf, atteignirent ce firmament. L’armée sénégalaise est pourtant plus nombreuse que la nôtre et ses chefs beaucoup mieux formés. Autre différence de taille avec ce voisin, démocratique s’il en est : Au Sénégal, le pays a son armée, républicaine, alors qu’en Mauritanie, c’est l’armée qui a son pays : elle en fait ce qu’elle veut. En se donnant de grands airs. Je veux dire : des airs de grands. Forts. Puissants. Mais si les gens ouvraient, tout simplement, les yeux, ils ne tarderaient pas à comprendre « par quels petits hommes ils sont gouvernés ». Et « se révolteraient vite », ainsi que le prédisait Talleyrand, voici plus de deux cent cinquante ans. Mais, avec des si et des mais, ne mettrait-on pas, dans une même bouteille, Nouakchott, la Mauritanie entière et… toutes ses autruches, la tête obstinément plantée dans nos sables chéris, aussi piètrement dosés soient-ils ?
Ahmed Ould Cheikh
Affaire Macina: l’opposition demande son implication dans l’enquête
Le président en exercice du FNDU, Forum National pour la Démocratie et l’Unité, Mohamed Salem Ould Bouhoubeini, a demandé l’implication de l’opposition dans l’enquête sur les accusations de corruption autour d’un contrat liant le Ministère mauritanien de l’Intérieur et la société britannique Smith & Ouzman Limited (“S&O”).
Selon Ould Bouhoubeini, qui était en conférence de presse mardi, «il s’agit d’une entente suspecte et non justifiée entre le Ministère la société britannique qui a produit pour la Mauritanie des bulletins de vote, ces dernières années. C’est une affaire d’élection qui concerne donc l’opposition».
« Cette affaire renforce la thèse des partis d’opposition qui ont accusé le régime de fraudes électorales», a ajouté le président en exercice du FNDU, le plus grand rassemblement de l’opposition mauritanienne.
La sécurité mauritanienne a interpelé depuis quelques jours, le secrétaire général du Ministère de l’intérieur, Mohamed Hady Macina, après l’inculpation de la société Smith & Ouzman Limited (“S&O”), par la justice britannique, pour corruption en Mauritanie et au Kenyan.
alakhbar
Réforme constitutionnelle : L’intégralité du discours de Macky Sall
Sénégalaises, Sénégalais,
Mes chers compatriotes,
Dans mon message du 31 décembre 2015, je vous avais entretenu du projet de révision de la constitution que je compte soumettre au référendum.
Conformément à l’article 51 de la constitution, j’ai saisi pour avis, le Président de l’Assemblée nationale et le Conseil constitutionnel.
À la suite de l’avis du Président de l’Assemblée nationale transmis par lettre en date du 18 janvier 2016, le Conseil constitutionnel vient de me notifier la Décision n° 1/C/2016 du 12 février 2016 portant sur le projet de révision constitutionnelle.
Mes chers compatriotes,
Je me dois de rappeler ici l’objet et la finalité de la réforme que je vous soumettrai.
Il s’agit de moderniser et de stabiliser nos institutions, de consolider notre démocratie et la forme républicaine de l’État, de renforcer l’État de droit et d’améliorer la gouvernance des affaires publiques.
Dans le projet de révision que j’ai soumis à l’examen du Conseil constitutionnel, j’ai tenu à réaffirmer mon engagement pour la restauration du quinquennat de manière irréversible.
Cet engagement traduit ma conviction profonde qu’ il est bon et sain que le peuple puisse faire entendre sa voix dans des délais raisonnables, en élisant le Président de la République tous les cinq ans. De plus, le quinquennat est plus conforme aux standards internationaux en matière électorale pour une démocratie qui se veut majeure et moderne comme la nôtre.
J’ai donc proposé dans la réforme une disposition transitoire à l’article 27 de la constitution prévoyant que la durée de cinq ans du mandat du Président de la République s’applique au mandat en cours.
Ayant, par-dessus toute considération, le souci de respecter et de faire respecter la constitution et les lois de notre pays et, en tant que gardien de la constitution et garant du fonctionnement régulier des institutions, j’ai demandé au Conseil constitutionnel de m’indiquer si l’ensemble du projet de révision de la constitution était conforme à l’esprit général de la constitution du 22 janvier 2001 et aux principes généraux du droit.
Le Conseil, dans sa Décision précitée, a conclu à la régularité de la procédure de révision.
Il a également estimé que le contenu de la révision est conforme à l’esprit général de la constitution et aux principes généraux du droit, sous réserve des observations qu’il a formulées. Ainsi, sur l’application de la réduction au mandat en cours du Président de la République, le Conseil constitutionnel considère que cette disposition doit être supprimée, au motif qu’elle n’est conforme ni à l’esprit de la constitution ni à la pratique constitutionnelle.
Se fondant sur l’histoire constitutionnelle de notre pays et l’expérience d’autres États partageant la même tradition juridique, le Conseil constitutionnel considère que le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, dont la durée, préalablement fixée dans le temps, et par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle.
S’agissant des dispositions non susceptibles de révision, le Conseil juge nécessaire de réduire la liste des matières concernées.
J’en ai pris bonne note. Je ne proposerai donc comme dispositions non susceptibles de révision dans le texte final à soumettre au peuple, que la forme républicaine de l’État, disposition déjà consacrée par la constitution, le mode d’élection du Président de la République, le quinquennat, ainsi que le nombre de mandats présidentiels consécutifs limité à deux.
Enfin, concernant l’augmentation du nombre des membres du Conseil constitutionnel, la haute juridiction estime que la rédaction de l’article 89 nouveau de la constitution doit être revue pour tenir compte de cette augmentation.
J’entends me conformer à la Décision du Conseil constitutionnel.
En conséquence de quoi, le mandat en cours du Président de la République connaitra son terme en 2019.
Au demeurant, l’article 92 de la constitution m’y oblige, en ce sens qu’il prescrit que, je cite : « Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d’aucune voie de recours. Elles s’imposent aux pouvoirs publics et à toutes les autorités administratives et juridictionnelles » fin de citation.
Je ne saurais déroger à cette règle, sachant que c’est l’autorité attachée aux délibérations de notre système juridictionnel qui donne force et crédibilité à nos institutions, condition sine qua non d’une démocratie majeure et apaisée et d’un État de droit vigoureux et durable.
Je veillerai donc à ce que tous les aspects de la révision constitutionnelle soient conformes à la Décision du Conseil constitutionnel.
Mes chers compatriotes,
À la lumière de ce qui précède je convoquerai le référendum le dimanche 20 mars 2016.
Si j’ai préféré cette voie, en lieu et place de la voie parlementaire, c’est parce que le référendum reste le meilleur gage d’une appropriation populaire de la réforme.
Je considère, en effet, que parmi les formes de gouvernance établies entre les hommes, la démocratie veut que le dernier mot revienne toujours au peuple, comme fondement et source de légitimité du pouvoir.
Seule donc, en définitive, votre voix compte, parce que seul le peuple est souverain.
En nous rendant au référendum du 20 mars, après ceux de 1963, 1970 et 2001, nous ferons ainsi revivre, pour la quatrième fois depuis notre accession à la souveraineté internationale, une vieille tradition démocratique de notre pays.
Le 20 mars, mes chers compatriotes, chacun de nous aura donc son mot à dire dans la décision que nous prendrons ensemble sur la voie de notre destin commun.
Ce destin nous engage.
Ce destin, je le vois grand, comme est grande l’ambition que nous nourrissons tous pour notre démocratie.
C’est pourquoi je souhaite que nous nous mobilisions tous ensemble pour voter Oui au projet de révision constitutionnelle.
Oui, pour un État de droit renforcé ;
Oui, pour un nouveau souffle démocratique, adapté au rythme de notre temps ;
Oui, enfin, pour des institutions fortes, crédibles et stables.
Voilà, mes chers compatriotes, ce que je vous propose au référendum du 20 mars pour conforter nos idéaux partagés, pour consolider notre démocratie, et pour qu’ensemble nous continuions notre marche ferme et résolue vers notre destin commun.
Vive la République !
Vive le Sénégal !
Auteur: seneweb News – Seneweb.com
Le PLEJ, pris en otage par le Président Ba Mamadou Alassane –
Au lendemain de la déroute du Président Ba Mamadou Alassane, à la présidentielle du 11 Mars 2007, bon nombre de militants avaient demandé qu’un seul et même thème, relatif à la reforme du PLEJ soit débattu au sein du parti. Malheureusement, neuf ans après, on constate aucune volonté de la part Bâ Mamadou Alassane, afin de redynamiser le PLEJ, ne s’est manifesté.
En effet, au lieu d’observer une pause avec l’ensemble de ses camarades pour mieux examiner et analyser à fond les principaux problèmes qui assaillent le PLEJ et les défis que tout le monde sans exception doit relever, le Président Bâ Mamadou Alassane a choisi la dictature pour instaurer le désordre et le chaos au sein du Parti :
Il a créé un système dénommé système Bâ Mamadou Alassane où tout part de lui et tout revient à lui. Il est au début et à la fin de tout. Il est l’alpha et l’oméga de la prise de toutes les décisions. Il est « omniprésent », « omnipotent », et touche-à- tout. Il ne délégué aucun pouvoir, il ne fait que prêter ; selon ses humeurs, il reprend sans qu’on n’y prenne garde.
Il a créé au saint du Parti, des clans, des haines et il combat tous ceux qui s’opposent démocratiquement à ses idées.
violation flagrante des textes du parti par son refus d’accepter tous les 4 ans la tenue du Congrès ordinaire.
Confiscation des informations destinées au Parti.
Prise des décisions individuelles et erronées au nom du Parti ou des membres de Comité Exécutifs.
Organisation hors du siège du Parti des réunions secrètes et illégales au nom du Comité Exécutif.
Son hostilité à l’adhésion des cadres au Parti.
En outre depuis la campagne présidentielle de 2009, Bâ Mamadou Alassane a plongé le PLEJ totalement dans la léthargie :
Sa décision unilatérale sans le consentement des organes du parti de siéger à la CENI pour des raisons purement pécuniaire.
Sa volonté affichée de faire ombre à tous les membres du Parti : Il na pas voulu qu’un membre du parti accompagne le candidat du FNDD ( Messaoud O/ Boulkhaire) que le PLEJ avait soutenu en 2009, durant ses déplacement à l’intérieur du Pays.
Aucun meeting tenu et aucune conférence de presse faite de 2009 jusqu’à nos jours.
Peut de déclarations faites entre 2009 et 2016 sans importances.
Tenue irrégulière des assemblées Générales.
Anéantissement du rôle de L’Assemblée Général.
Depuis bientôt un moi et plus, un sujet sensible non débattu démocratiquement au sein Parti menace son unité :
Relativement au sujet évoqué, 33 camarades lui ont adressé le 04 février 2016 une Lettre interne dont il a ignorée.
Par ailleurs, il est bon de rappeler, que le PLEJ créé le 24 nombre 1991, n’a jamais organisé un congrès et par conséquent, nous, membres du PLEJ favorables à l’adhésion au Parti des compatriotes précités et regroupés au sein d’une structure dénommée comité pour la réorganisation du Plej :
Déclarons que le Président Bâ Mamadou Alassane est malgré son âge très avancé (80ans) est considéré à partir de ce Lundi 15 février 2016 comme Président du PLEJ par Intérim et ce jusqu’à la tenue du premier congrès ordinaire du Parti.
Exigeons une réponse immédiate et écrite à la lettre du 4 février 2016.
Exigeons la cessation de travailler dans l’informelle et en non conformité avec le règlement intérieur du Parti.
Condamnons l’organisation des réunions en de hors du siège du Parti.
Condamnons énergiquement la tenue des réunions secrètes et illégales à l’insu du plusieurs membres du Comité Exécutif, à son Domicile.
Exigeons la cessation immédiate de ces réunions secrètes et illégales.
jugeons nulles et non avenues toutes les décisions prises pendant ces réunions secrètes et illégales.
Exigeons la tenue d’une réunion du Comité Exécutif et une Assemblée Générale au cours de l’année 2016, pour pouvoir fixer la date du premier congrès ordinaire du Parti, passé ce délai, le Comité pour la Réorganisions du PLEJ prendra toutes ses responsabilisées.
Nous lançons un appel à tous ceux qui adhèrent à cette cause de se joindre au Comité pour la Réorganisation du PLEJ (C.R.PLEJ).
Nouakchott le 15 Février 2016
Pour le Comité de la Réorganisation du PLEJ.
Ampliations :
-Ministère de l’Intérieur.
-FNDU.
-MPR.
-Arc en Ciel.
Ci jouint : La listes des Signataires et des soutiens
La liste des signataires : 1. Abdoulaye Djibril Deh , membre du Comité Central et du Comité Exécutif ,Tél : 46806237.
2. Ousmane Amadou Dia membre du Comité Central et du Comité Exécutif, Tél : 26757164
3. Mamadou Samba Thiam , membre du Comité Central et du Comité Exécutif,Tél :44451662
4. Djibi Ba, membre,Tél : 46745191
5. Ismael Sow, membre du Comité Central et du Comité Exécutif , Tél : 46039235
6 Abou Amadou Thiam , membre du Comité Central,Tél :
7. Sylla Ibrahima : President section Bababe: 46875205 8. Djibril Abdoul Sall: 47167909 9. Hamdou Abou Gaye: 46072213 10. S all Adama Amadou: 47529668
11Mohamed Abderrahmane Sall : 46913121
12. Yaya Ba, membre.
13 Mamoudou Baba Diallo , membre.
14.Teddy Sow , membre fondateur.
15.Mamadou Silèye Sow , membre.
16. Birama Bâ , membre.
17. Abdoulaye Mamadou Ba , Professeur , membre.
18. Abou Aly Sow , Cadre , membre.
La liste des soutiens :
19.Aissata Hamadi Diallo membre.
20. Aminata Mamadou Barry , membre.
21. Aminata Hamadi Sow , membre.
22. Ibrahima Ousmane Barry , Professeur , membre.
23 Mamoudou Demba Diallo , Etudiant , membre.
24.Oumou Oumar Diallo , Etudiante , membre.
25. Djeinaba Harouna Diallo , Professeur , membre.
26. Aboubakri Demba , Cadre de la SNIM , membre.
27. Yero Demba Sow membre.
28.Moussa Gorel sow membre .
29. Mariem samba Dia menbre.
30. Kardjetou Samba Dia membre.
31.Soulé Ba membre.
32. Amadou Demba Barry membre.
Parti pour la Liberté, l’Egalité et la Justice والعدالة والمساواث الحرىة حزب
P.L.E.J
Siège Social : Sebkha
Tél : 46806237 ; 44451662 ; 26757164
e-mail :corplej@gmail.com
Le pouvoir se dirige vers la dissolution du parlement et la tenue d’élections anticipées
28novembre – Les pouvoirs publics comptent changer officiellement de cap et s’engager dans une nouvelle piste politique, au lendemain de la décision faite par le Conseil Constitutionnel, relative à l’illégitimité de l’actuel Sénat mauritanien en activité.
Les autorités envisagent ainsi de dissoudre le parlement et d’organiser des élections anticipées, pour remédier à cette irrégularité constitutionnelle, rapportent des sources concordantes.
Les concertations sur ce sujet ont déjà commencé au niveau de la pyramide de l’Etat et des décisions cruciales sont très attendues au cours des prochaines semaines.
De l’avis des sources précitées, il est fort probable que les futures élections législatives se déroulent au cours du mois d’octobre prochain
Traduit de l’Arabe par Cridem