Daily Archives: 30/07/2017
Compte rendu de l’assemblée générale des FPC Amérique du Nord
La fédération FPC/Amérique du Nord a tenu ce Samedi 29 Juillet 2017 à Cincinnati son assemblée générale de fin de mandat en présence de militants venus de différents Etats des Etats Unis.
La journée a commencé par la cérémonie d’ouverture présidée par le camarade Ibrahima Mifo Sow vice président des FPC. Dans son allocution, le camarade vice- président a transmis un message de félicitation et d’encouragement du BEN, avant de faire état de la situation du parti; notamment les acquis engrangées depuis le retour, les défis auxquels nous faisons face à l’intérieur du pays. Il a conclu son propos avec le constat suivant: grâce au travail sans relâche de sa direction et avec le soutien inconditionnel de ses militants, les FPC son en train de devenir une force politique en Mauritanie.
Cette intervention du camarade Ibrahima Mifo sow fut suivie par celle des représentants des comités de base qui tour a tour ont dressé le bilan de leurs activités durant le mandat écoulé.
Cette partie de la journée fut conclue par le rapport moral du camarade secrétaire général sortant Abou Hamidou SY qui a dressé le bilan des activités de la fédération ces deux dernières années, ainsi que les difficultés rencontrées et les perspectives qui s’offrent à nous. Il ressort de son rapport que la fédération FPC/ Amérique du Nord est une structure dynamique grâce à ses militants qu’il a chaleureusement félicités et à son bureau. Le propos du camarade secretaire général sortant fut suivi par un débat fructueux avec au finish l’élection du bureau suivant:
Secrétaire général : Abou Hamidou SY
Secrétaire aux finances : Alassane Aly Dia
Secrétaire à l’animation et à la formation politique idéologique: Houleye Thiam
Adjoint au secrétaire à l’animation et à la formation politique et idéologique : Hamidou Diallo
Secrétaire à la communication : Amadou Mody Thiam
Adjoint au secrétaire à la communication : Amadou Ba
Secrétaire aux affaires sociales et humanitaires : Amadou Sadio Sow
Adjoint au secrétaire aux affaires sociales et humanitaires : Ibrahima Dia
Secrétaire à l’administration : Mamadou SALL
Adjoint au Secrétaire à l’administration : Amadou Diallo
Secrétaire à la culture et à la jeunesse : Ibrahima Guisse
Adjoint au secrétaire à la culture et à la jeunesse : Houleye Sall
Commissaire aux comptes : Houleye Ba.
Une fois installé, le nouveau bureau a procédé à la décoration des sages de la fédération du diplôme << Life Time Achiement Award >> en reconnaissance de leur engagement sans faille à la cause. Des sages qui malgré leur âge continuent de participer à toutes les activités de la fédération et faire bénéficier de leur expérience la jeune génération.
Ainsi les camarades suivants ont été décorés:
- Mamadou Singhe SY
-
Abou Hamath Sall
-
Oumar Galo Ba
-
Thierno Alassane Dème à titre posthume.
-
Moctar Aly Sy
-
Abdoulaye Malickel Sy
Ces camarades ont été décorés en présence des invites venus représentés leurs organisations politiques et des personnalités politiques indépendantes. Ces invités ont magnifié le rôle joué par les FPC sur la scène politique depuis leur retour en Mauritanie.
L’assemblée générale fut conclue par une cérémonie d’adhésions de nouveaux militants venus de Cincinnati et de ses environs.
L’assemblée générale.
La lutte continue !
Assemblée Générale des FPC-Amérique du NORD, un nouveau bureau à la tête de la section.
L´assemblée générale de la Fédération FPC-Amérique du Nord dédiée au grand combattant et soutien de notre lutte, feu Thierno Alassane Dème rappelé à Dieu , s’est déroulée à Cincinnati ce samedi 29 Juillet 2017 dans de bonnes conditions.
Le nouveau bureau élu de la section se compose ainsi qu’il suit:
Secrétaire général : Abou Hamidou SY
Secrétaire aux finances : Alassane Aly Dia
Secrétaire à l’animation et à la formation politique et idéologique : Houleye Thiam
Adjoint au secrétaire à l’animation et à la formation politique et ideologique : Hamidou Diallo
Secrétaire à la communication : Amadou Mody Thiam
Adjoint au secrétaire à la communication : Amadou Ba
Secrétaire aux affaires sociales et humanitaires : Amadou Sadio Sow
Adjoint au secrétaire aux affaires sociales et humanitaires : Ibrahima Dia
Secrétaire à l’administration : Mamadou SALL
Adjoint au Secrétaire à l’administration : Amadou Diallo
Secrétaire à la culture et à la jeunesse : Ibrahima Guisse
Adjoint au secrétaire à la culture et à la jeunesse : Houleye Sall
Commissaire aux comptes : Houleye Ba.
La lutte continue!
l’assemblee generale
INTERVIEW DE KAAW TOURÉ PORTE PAROLE DES FPC AVEC LE JOURNALISTE BAKALA KANE
“L’unité des forces démocratiques en Mauritanie est une préoccupation majeure des FPC”
La diaspora à l’instar des citoyens à Nouakchott et à l’intérieur du pays était dans la rue à Paris le 17 juillet dernier pour donner de la voix contre le référendum du 5 août prochain à l’appel du Front uni de l’opposition démocratique.Parmi les manifestants Kaaw Bilbassi Toure porte parole des FPC et le premier plus jeune prisonnier politique sous le régime de Ould Taya en 1986 suite à la publication du manifeste du négro-mauritanien opprimé.Il s’est confié au journaliste et collaborateur du site Kassataya pour revenir sur le sens et la portée de la mobilisation de Paris, les relations entre FLAM et FPC, le dialogue politique entre la majorité et l’opposition dialoguiste en 2016 auquel son parti a participé et enfin l’importance et la nécessité de l’union des forces démocratiques en Mauritanie.
Question : Quel regard portez-vous après ce sit-in devant l’ambassade de Mauritanie à Paris?
Kaaw Touré: C´est un sentiment de satisfaction totale pour moi et pour tous les organisateurs de ce rassemblement à savoir le Collectif des Mauritaniens de France qui regroupe plus d´une quinzaine d´associations politiques, droits hommistes et syndicalistes de la diaspora. L´objectif a été largement atteint et la mobilisation fut à son comble et le message transmis à qui de droit. Ce rassemblement visait surtout à dénoncer la poursuite de l´enrôlement discriminatoire et surtout pour dire à vive et intelligible voix non au référendum putschiste du Général-président Mohamed Ould Abdel Aziz.
Question : Pensez-vous que ces mobilisations internationales peuvent faire reculer le président Ould Aziz pour annuler le référendum?
Ce sit in rentrait dans le cadre d´une stratégie globale de l´opposition interne et externe afin d´organiser des marches simultanées partout aussi bien à Nouakchott, dans les régions internes et partout ailleurs en Europé et aux USA. La bataille de l´opinion est très importante dans toute lutte politique et il fallait aussi alerter et informer nos partenaires extérieurs sur la nature réelle de ce régime et le danger qu´il constitue pour la paix et la stabilité dans notre pays et dans toute la sous région. A l´intérieur la mobilisation fut un succès gigantesque. Les Mauritaniens dans leur majorité ont répondu massivement à l´appel de l´opposition démocratique et ont prouvé le rejet et l´impopularité de ce projet anti-constitutionnel et putschiste du régime en place.
Question : Les FPC ont-elles des relations avec les FLAM? Si Oui, qu’est ce qui bloque pour une synergie contre le pouvoir en place?
Formellement non, mais les relations fraternelles et militantes demeurent entre les camarades. Ce qui nous unit est plus important que nos petits désaccords stratégiques. Nous avons cheminé plus de 30 ans ensemble, nous avons enduré les souffrances de prison et les affres de l´exil ensemble donc aucune divergence politique ne devait créer des animosités entre nous. Nous ne désespérons, un jour, des retrouvailles de la grande famille flamiste ensemble dans un seul cadre de lutte et quand je dis la grande famille je pense à toute la mouvance flamiste des années de braise jusqu´à nos jours.
Les FPC ne sont pas toujours reconnues par Nouakchott . Comment vivez-vous cette situation sur la scène politique nationale? Est ce qu’aujourd’hui les partis négro-mauritaniens sont mûrs pour se rassembler?
L´Etat mauritanien a violé lui – même la loi sur des partis politiques en refusant de nous reconnaitre arbitrairement alors que nous avons réuni toutes les conditions exigées par la loi pour être reconnues. Notre parti est composé de Mauritaniens issus de toutes nos entités ethniques donc on ne peut nous accuser de sectarisme. Notre discours est rassembleur et prône une unité, une équité et une égalité entre tous les fils de la Mauritanie, donc on ne peut nous accuser de diviseurs. Notre combat de toujours a été pour une Mauritanie où le fait d´être arabo-berbère, négro-africain, pulaar, soninké, bambara, wolof ou haratine ne serait ipso-facto une condition rédhibitoire. Nous avons existé pendant plus de 30 ans hors de la légalité mais cela ne nous a pas pour autant empêchés d´être plus visibles et audibles sur le plan national et international. Nous continuerons notre lutte avec ou sans la reconnaissance du pouvoir et rien ne pourra nous bannir pour reconquérir nos droits les plus inaliénables et notre citoyenneté à part entière. Quant à l´unité des forces démocratiques ou négro-mauritaniennes, cela reste une préoccupation majeure pour nous, tout comme pour ceux de nos frères et compatriotes engagés avec nous dans la recherche d’un cadre de synergie de nos efforts communs.
Les FPC avaient participé au dernier dialogue entre la majorité et l’opposition. Est-ce que c´est stratégique pour un mouvement qui avait pris les armes en un moment donné avant de revenir au pays?
Nous avons accepté de participer au dialogue dans le respect de nos conditions et nos principes. Nous avions décidé d’y aller tout en étant conscients des insuffisances de l’organisation de ces assises et en ayant des doutes sur la bonne foi du pouvoir, initiateur intéressé, de ce dialogue. Nous étions surtout conscients de l’envergure des différences qui nous distinguent de l’écrasante majorité des participants, essentiellement partisans du maintien en l’état du système discriminatoire que nous combattons.
Nous sommes allés au dialogue en tant que parti d´opposition au Système avec nos propositions de sortie de crise. Nous sommes aller au dialogue pour exposer notre vision de la Mauritanie. Nous sommes allés au dialogue pour dire notre part de vérité en hommes libres, justes et indépendants. Nous avons rempli notre engagement, c’est le pouvoir qui a trahi les conclusions du dialogue auxquelles il a frauduleusement soustrait, entre autres, le consensus sur l’introduction des langues nationales dans le système leur substituant des banalités ornementales sur le drapeau.
Discuter, débattre, dialoguer avec l´autre est une question de principe chez nous. Tout le monde se souvient certainement encore de notre appel historique pour un dialogue national dans le “Manifeste du négro-mauritanien opprimé” publié en avril 1986. A l´époque, cependant, il ne s´était pas trouvé suffisamment de bonnes volontés pour prendre conscience de l’urgence du débat national sur notre unité pour conjurer les menaces qui pesaient sur l’avenir en commun. Si on nous avait écouté on n’en serait pas arrivé à tous ces drames et déchirures dont on a du mal à nous relever encore aujourd’hui!
Que comptent faire les FPC si Ould Abdel Aziz gagne le référendum?
Les FPC se sont alliées avec plusieurs partis de l´opposition démocratique et se battent avec eux pour faire échouer ce projet. Si Aziz s’impose par la force on avisera au sein de notre alliance.
Propos recueillis par Bakala Kane dit Yaya Chérif Kane.
Source : Bakala KANE
L’échec du referendum putschiste est en marche
« Chacun a son défaut, où toujours il revient », écrivait Jean de La Fontaine il y a un peu plus de trois siècles et demi, pour dire qu’il y a des vices et des travers qui collent à leur porteur comme sa nature même. Le régime actuel ne déroge pas à la règle ; il a son défaut, ses défauts plutôt, et il y revient toujours.
Né d’un coup d’état abject ; le plus abject qu’ait connu le pays et même l’Afrique tout entière, il s’est incrusté au pouvoir en tordant le cou à tout ce qui pouvait le guérir de son défaut congénital : le putschisme.
Revenons un peu en arrière : Alors que l’accord de Dakar, qui a réuni l’ensemble des acteurs de la crise du coup d’Etat du 6 août 2008, était censé remettre le pays sur la voie de la légalité constitutionnelle et tourner la page de l’épisode putschiste, sa mise en œuvre par le général rebelle fut marquée par le défaut de l’homme et de sa clique :
Souvenons-nous qu’il avait nommé un premier ministre non consensuel, alors que l’accord stipulait le contraire, fixé de manière unilatérale la date et les conditions d’organisation de la présidentielle, alors qu’il était convenu que le gouvernement d’union nationale de transition devait en décider.
Et il avait maintenu, contre les clauses de l’accord, les structures de la CENI telles qu’elles avaient été mises en place et opérationnalisées par le gouvernement du putsch. Un coup d’Etat électoral en bonne et due forme ! Depuis, les coups de force se sont poursuivis, tantôt sous forme d’un dialogue monologué, tantôt sous forme d’élections unilatérales aux résultats biaisés au départ.
Le même scénario se réalise aujourd’hui, sous nos yeux et avec autant –et même plus – d’ostentation dans la violation de la loi et de vulgarité dans l’usurpation de la volonté du peuple.
Le référendum en cours n’est pas un référendum, mais bel et bien un nouveau coup d’Etat : rien, dans la Constitution mauritanienne, ne permet au chef de l’Etat de consulter directement le peuple sur la modification de la loi fondamentale. Rien ! Et rien ne l’autorise à le faire après que le Parlement, à travers sa chambre haute, ait prononcé le rejet du projet référendaire.
Rien ! La décision d’organiser la consultation en cours est donc, en elle-même, un coup de force. Exactement comme celle d’incarcérer le président de la république démocratiquement élu, de prendre sa place et d’exercer les missions pour lesquelles il a mandat du peuple.
Une fois commis, le forfait référendaire déclenche une série d’autres, qui vont de l’instrumentalisation des forces armées et de sécurité pour des objectifs politiques partisans et même personnels, à la dilapidation des moyens humains et matériels de l’Etat pour la campagne électorale illégale.
Ainsi, l’administration, qui devait être politiquement impartiale, à équidistance des différents camps et au service exclusif de l’Etat et non d’un pouvoir ou d’un parti politique, cette administration est, ces jours-ci, entièrement engagée dans la campagne du référendum putschiste, à la disposition des structures du parti du pouvoir.
Non seulement Walis, Hakems, chefs d’arrondissements et autres chefs de service sont tenus d’assister aux meetings et soirées carnavalesques de l’upr, mais également ils exécutent les ordres des organisateurs de ces meetings et soirées et traitent leurs adversaires, qu’ils boycottent le référendum ou y participent en battant campagne pour le « NON », suivant leurs desiderata.
On a même entendu des préfets zélés tenir des propos injurieux à l’égard de l’opposition, qualifiée de « groupuscules d’ennemis de la Nation » et autres noms d’oiseaux.
Ainsi, non seulement les fonctionnaires de l’Etat, normalement des citoyens libres dans leurs choix et positionnements politiques, ont été instruits fermement de s’inscrire sur les listes électorales, d’inscrire les leurs, de fournir des listes nominatives avec numéro national d’identification et reçu de recensement et de s’engager à voter eux-mêmes et faire voter leurs familles « OUI » le jour j, mais ils sont également tenus de cotiser, contre leur gré et par ces temps difficiles, à des collectes qui ressemblent en tout à des impôts per capita, pour le financement de la campagne référendaire anticonstitutionnelle.
Jamais, en Mauritanie, ces pratiques politiques inventées par le régime de la démocrature militaire n’ont atteint une telle ostentation et jamais leurs auteurs n’ont fait preuve d’une telle vulgarité !
Ainsi, non seulement la fameuse Commission Electorale Non Indépendante s’appuie sur les services du Ministère de l’Intérieur – dont elle se comporte en simple démembrement – mais elle se prépare, au vu et au su de tout le monde, à falsifier les résultats du scrutin en s’assurant, à l’inscription même sur les listes électorales, du vote des fonctionnaires civiles et militaires et de leurs familles et peut-être même, en les faisant voter en leur absence !
D’ailleurs, des chiffres circulent déjà, émanant soi-disant de « sondages » d’opinion, faisant état d’un taux de participation largement honorable et d’une victoire écrasante du « OUI ».
On se souvient qu’un site d’information inféodé au régime putschiste avait rendu public, un jour avant le scrutin présidentiel du 18 juillet 2009, le score exact du général candidat Mohamed Ould Abdel Aziz ! La manipulation des urnes est, décidément, une pratique bien ancrée et le régime, se sachant impopulaire, compte bien en faire usage, cette fois encore, pour faire passer son nouveau putsch.
Cependant, tout ce manège dénote d’une frilosité qui cache mal l’usure, aux yeux du peuple, des procédés d’un régime qu’il sait désormais aux abois. En effet, si une partie de l’administration faite de pistonnés, de corrompus et de zélés a vendu son âme au régime et se prépare à contribuer à la grande mascarade, bien des administrateurs patriotes et responsables n’obéiront pas à l’upr et ses zélotes et laisseront s’exprimer, dans leurs circonscriptions respectives, la volonté du peuple souverain.
Si les intimidations du gouvernement et de son parti ont contraint les fonctionnaires à obtempérer aux ordres de leurs chefs hiérarchiques et décliner la liste des leurs, elles n’ont en rien entamé leur rejet du pouvoir et de son chef et leur détermination à faire échouer ce référendum qu’ils savent sans autre objet que la pérennisation d’un régime dont ils souffrent autant, sinon plus, que le reste du peuple.
Certains d’entre eux ont même le courage d’exprimer, ouvertement, leur amertume de se voir traités comme du bétail et affichent une colère qui se traduira, le jour j, par un cinglant échec du référendum pustchiste. Et si la CENI se prépare à livrer les résultats que lui demande Mohamed Ould Abdel Aziz et sa clique, les citoyens eux sont décidés, le 5 août, à infliger une cuisante défaite au pouvoir, en resteant chez eux le jour du scrutin ou, pour ceux qui ne se sentent pas en mesure, pour une raison ou une autre, de s’exposer aux représailles des putschistes, en votant « NON » en toute souveraineté.
L’exemple donné par les sénateurs fait des émules, même dans les coins les plus reculés du pays, jusque-là considérés comme un électorat obéissant et sûr. Même eux, en effet, sont désormais décidés à faire face au dessein funeste qui anime ce référendum : pérenniser un régime qui a pillé le pays, humilié son armée et on élite, détruit la cohésion de son peuple et mis en danger son existence.
L’échec du référendum putschiste est donc en marche. Et rien ne pourra l’arrêter car, si le pouvoir du général Ould Abdel Aziz a son défaut où toujours il revient, la couleuvre du putsch déguisé en consultation démocratique est aujourd’hui trop grosse pour être avalée par un peuple qui en marre d’être mordu par le serpent du putschisme.
le calame
LES FPC EN CONCLAVE
La Fédération des Forces Progressistes du Changement (FPC) Amérique du Nord a organisé son assemblée générale de fin de mandat le samedi 29 Juillet 2017 à Cincinnati, Ohio à partir de 12h 00 PM. Nous y reviendrons.
LLC.
Photos reportage :