Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Daily Archives: 12/04/2017

Don des medicaments,des FPC-Sisters/fedèration USA, å la fedèration des FPC- Mauritanie

Image may contain: 1 personDon des medicaments,des FPC-Sisters/fedèration USA, å la fedèration des FPC- Mauritanie.
Les Fpc c ‘est la politique autrement!
Une autre Mauritanie est possible!
LLC.

Gift of over the counter medication given to the Maurtanian FPC federation from the FPC- SISTERS
#politics done differently
#Another Mauritania is possible

 

  

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Circulaire controversée concernant les vitres fumées (shadowing ) de voitures…

altLes autorités mauritaniennes ont publié ces derniers jours qui ont suivi l’opération armée contre l’agence BMCI , une circulaire controversée concernant les voitures équipées  de « vitres fumées  » (shadowing), en ce sens  qu’elle en exempte  les voitures privées de militaires.

Cette circulaire a été distribuée aux différents services de sécurité mauritaniens, leur demandant de procéder à la suppression  des « shadowing »(ombrage)   postés sur certains véhicules en circulation.

Mais cette circulaire comporte des consignes particulières concernant les voitures privées de militaires.

Elle stipule dans son texte , qu’il ne faut pas arrêter les voitures à vitres fumées conduits par des militaires  mais que  le poste de contrôle  enregistre le nom et adresse complète de leur chauffeur qu’il  transfert aux autorités compétentes.

Par contre , le poste de contrôle doit exiger le montage des  plaques d’immatriculation sur  tous les véhicules car il est ordonné dans la circulaire ,  le transfert à la « fourrière »de toute voiture  ne portant pas la plaque d’immatriculation quelle que soit la personne qui la conduit .

Quitte à permettre à   son propriétaire militaire de venir la récupérer  quand il aura présenté  sa  plaque d’immatriculation.

Source : http://meyadin.net

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France-Afrique : à l’Élysée, François Hollande soigne son héritage africain

En moins de deux semaines, du 31 mars au 14 avril, François Hollande a reçu (et va recevoir) quatre présidents ouest-africains − le Nigérien Mahamadou Issoufou, le Guinéen Alpha Condé, le Mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz et le Burkinabè Roch Marc Christian Kaboré −pour ce qui ressemble à un testament africain.

Alors que le premier tour de la présidentielle française se tiendra le 23 avril prochain, François Hollande vit ses derniers jours à l’Élysée. Et, en ces dernières heures présidentielles, le chef de l’État a choisi de mettre l’accent sur l’Afrique ; plus particulièrement sur l’Afrique de l’Ouest et le Sahel, où il a étrenné son costume de chef de guerre en 2012, alors que l’armée française débarquait au nord du Mali.

Il a d’abord reçu à déjeuner le président nigérien Mahamadou Issoufou, le 31 mars dernier. En présence, notamment, des ministres de la Défense, Kalla Moutari, et de l’Intérieur, Mohamed Bazoum, il avait abordé la situation sécuritaire dans le Sahel et la coopération avec l’opération Barkhane en matière de renseignement, que Niamey espère voir renforcée.

Priorité au G5 Sahel

Il doit faire de même le mercredi 12 avril avec son homologue mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, personnellement invité par l’Élysée en cette fin de mandat. Nouakchott accueille en effet la base du G5 Sahel, l’organe regroupant la Mauritanie, le Mali, le Niger, le Burkina Faso et le Tchad et chargé de gérer la réponse ouest-africaine aux attaques jihadistes dans la région.

Enfin, deux jours plus tard, le vendredi 14 avril, même programme avec le Burkinabè Roch Marc Christian Kaboré, lui aussi de plus en plus impliqué dans la lutte contre les jihadistes, et en premier lieu contre Ibrahim Dicko. Alors que les relations se sont récemment tendues avec le Tchad, l’Élysée semble en cette fin de mandat vouloir s’appuyer sur le Niger, la Mauritanie, le Tchad et le Mali.

Seul chef d’État non-sahélien reçu par François Hollande : Alpha Condé, ce mardi 11 avril. Mais le Guinéen, s’il n’est pas membre du G5, n’en est pas moins incontournable. Il a été élu à la tête de l’Union africaine fin janvier, en remplacement du Tchadien Idriss Déby Itno et hérite de la situation sécuritaire au Sahel. De plus, le Français et son homologue de Conakry se connaissent particulièrement bien : l’amitié qui les lie date de plusieurs décennies, alors que les deux hommes se croisaient déjà dans les cercles socialistes de Paris.

Un héritage africain pour François Hollande

L’enjeu de cette dernière ligne droite africaine pour François Hollande est immense : convaincre les observateurs qu’il laisse derrière lui un Sahel mieux sécurisé, pour les Africains et par les Africains. Il espère pour cela laisser derrière lui une politique sécuritaire sahélienne en ordre de marche et, surtout, davantage pilotée depuis les capitales ouest-africaines.

La France a d’ailleurs d’ores et déjà affirmé, par la voix de son ministre des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault − en visite à Nouakchott le 6 avril puis à Gao et à Bamako (où il a rencontré le président Ibrahim Boubacar Keïta) −, qu’elle poursuivrait son appui au G5. François Hollande espère en outre contribuer à mettre sur les rails le grand projet sécuritaire du G5, celui d’une force d’intervention commune, qui est encore loin d’être opérationnelle.

Décidé à rester un point d’appui en matière de renseignement et de formation des troupes, il ambitionne en outre de voir l’Allemagne s’aligner sur sa position afin de partager les efforts. Plusieurs candidats à l’Élysée, notamment Emmanuel Macron et Benoît Hamon, qui sont tous deux ses anciens ministres, ont d’ailleurs intégré à leur programme le renforcement de la coopération franco-allemande en matière de politique africaine.

Car aucune capitale africaine ne l’ignore : si François Hollande, l’homme de Serval et de Barkhane, cherche légitimement à laisser une dernière trace dans la politique africaine française, c’est désormais chez ses successeurs potentiels que celle-ci se joue.

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Mauritanie : François Hollande reçoit Mohamed Ould Abdelaziz, allié indispensable dans la lutte contre le terrorisme

Mauritanie : François Hollande reçoit Mohamed Ould Abdelaziz, allié indispensable dans la lutte contre le terrorisme Jeune AfriqueFrançois Hollande recevra son homologue mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, ce 12 avril à 16h30 à l‘Élysée. Au menu de la rencontre, la question du G5 Sahel que le président français veut faire avancer avant la fin de son mandat, dans à peine un mois.

Le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz a hésité à se rendre à l’invitation du chef de l’État français. Pas à cause de la préparation du référendum constitutionnel après le ramadan, mais en raison du froid qui s’est installé au fil des années entre la Mauritanie et la France.

Le passif n’était pas bien grave, mais il compliquait leurs relations. Côté mauritanien, on notait que François Hollande n’est pas venu en voyage officiel comme il l’avait promis et qu’hormis Michel Sapin, le ministre de l’économie et des finances, peu d’officiels français ont atterri à Nouakchott. Sans oublier que Paris penche vers le Maroc, alors que Nouakchott est proche de la position algérienne dans le conflit du Sahara occidental.

Côté français, on regrettait que le président Abdelaziz ne soit pas parvenu à gracier le jeune blogueur Cheikh Ould Mohamed Ould Mkheitir condamné à mort pour apostasie. Surtout on déplorait que la Mauritanie ait refusé de soutenir le Mali dans sa lutte contre le jihadisme, même si des militaires français ont formé jusqu’en 2016 sur la base d’Atar les Mauritaniens à l’art du guidage des bombardements tactiques.

Pôle de stabilité

Les Français ont mis leurs doléances entre parenthèses, car la Mauritanie est tout de même la plus efficace contre le terrorisme sahélien. Malgré les rodomontades d’Aqmi, aucun attentat n’y a été commis depuis six ans. Son armée a reçu le carburant et les armes pour poursuivre les agresseurs. Des imams sont intervenus auprès des jihadistes emprisonnés, pour leur démontrer que l’islam est une religion de paix. C’est tout naturellement que Nouakchott a accueilli le siège du G5 Sahel qui coordonne la lutte anti-terroriste du Burkina Faso, du Mali, de la Mauritanie, du Niger et du Tchad.

C’est pourquoi, lorsque Jean-Marc Ayrault, le ministre français des affaires étrangères, est venu le 6 avril lui transmettre en main propre l’invitation à se rendre à l’Élysée mercredi 12 avril à 16h30, le président Abdelaziz a dit oui. Il l’a dit d’autant plus volontiers que M. Ayrault a affirmé qu’il avait « écouté les conseils du président mauritanien sur les questions de la région et surtout en ce qui concerne le Mali et la Libye » et reconnu publiquement le rôle décisif que celui-ci avait joué dans la résolution de la crise gambienne.

Par Alain Faujas

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