Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Daily Archives: 24/12/2016

Parti » El Istiklal »: La Mauritnie est une terre Marocaine(video)

imageSe referant au  site  Marocain « lakome2.com » , plusieurs sites et medias Mauritaniens  ont repris les propos du    secretaire general du Parti « Istklal  » Hamid Chabat  qui a declare dans son discours  aujourd’hui 24.12.2016   : « Notre territoire est toujours occupé, et nous allons continuer la résistance jusqu’à ce que nous libérions toute notre terre dont les  frontières sont connues . Elles s’etalent de  « Ceuta au fleuve  Sénégal. »

Le  Secrétaire général du parti   » El Istiklal considere  que  » La Mauritanie est une terre appartenant au Maroc pendant que le Polisario se trouve sur ses cotes atlantiques » .
et d’ajouter :  : «Il y a un complot mené par l’Algérie et la Mauritanie pour créer une ligne de démarcation entre le Maroc et l’Afrique à un moment où le Maroc mene une bataille diplomatique pour revenir à l’organisation continentale ».

«Tout cela se passe à cause du manque de respect pour les partis marocains et le peuple marocain. N’aurait ete cela , nous n’aurions pas perdu notre terre et notre dignite » . a-t-il dit.

Pour ecouter les propos du secretaire general de l »Istiklal », cliquer la video ci dessous enregistree par « bellewarmedia.com »

http://www.bellewarmedia.com/%d8%b1%d8%a6%d9%8a%d8%b3-%d8%ad%d8%b2%d8%a8-%d9%85%d8%ba%d8%b1%d8%a8%d9%8a-%d9%8a%d8%af%d8%b9%d9%88-%d9%84%d8%a5%d8%b3%d8%aa%d8%b1%d8%ac%d8%a7%d8%b9-%d9%85%d9%88%d8%b1%d9%8a%d8%aa%d8%a7%d9%86%d9%8a/

 

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Vote sur la colonisation à l’ONU : représailles diplomatiques d’Israël contre la Nouvelle-Zélande et le Sénégal

Vote sur la colonisation à l’ONU : représailles diplomatiques d’Israël contre la Nouvelle-Zélande et le SénégalLe premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a annoncé le rappel « immédiat » de ses ambassadeurs en Nouvelle-Zélande et au Sénégal « pour consultation ».

Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a ordonné, samedi 24 décembre, « une série de mesures diplomatiques » contre la Nouvelle-Zélande et le Sénégal, qui ont obtenu la veille qu’un vote soit organisé à l’ONU sur une résolution contre les colonies israéliennes.

A l’origine, le texte avait été présenté mercredi soir par l’Egypte, à la surprise générale. Mais Donald Trump est intervenu pour peser de tout son poids de président élu des Etats-Unis auprès du président égyptien, Abdel Fattah Al-Sissi, à qui il a demandé de renoncer à son initiative. Celui-ci ne voulant pas compromettre ses futures relations avec le président américain a donc retiré son texte.

Mais la volte-face de l’Egypte n’a pas condamné son initiative. Quatre membres non permanents du Conseil de sécurité – la Nouvelle-Zélande, la Malaisie, le Sénégal et le Venezuela – ont pris le relais du Caire pour promouvoir la résolution dans une version identique.

Rappel « immédiat » de ses ambassadeurs

Israël n’entretenant pas de relations diplomatiques avec la Malaisie et le Venezuela, M. Nétanyahou a annoncé quelques heures seulement après le vote de la résolution le rappel « immédiat » de ses ambassadeurs en Nouvelle-Zélande et au Sénégal « pour consultation », dans un communiqué de ses services.

Dans la foulée, il a décidé d’annuler la visite du ministre des affaires étrangères sénégalais prévue en janvier, a ordonné l’annulation de tous les programmes d’aide au Sénégal, et l’annulation des visites en Israël des ambassadeurs non-résidents du Sénégal et de la Nouvelle-Zélande.

De son côté, Wellington a estimé samedi que la résolution du Conseil de sécurité de l’ONU condamnant les colonies israéliennes n’aurait pas dû surprendre l’Etat juif. « Nous avons été transparents sur notre opinion que le [Conseil de sécurité] devrait faire plus pour soutenir le processus de paix au Proche-Orient et la position que nous avons adoptée est parfaitement en ligne avec notre politique de longue date sur la question palestinienne », a déclaré le ministre des affaires étrangères néo-zélandais, Murray McCully.

Israël avait annoncé peu après l’annonce du vote de la résolution qu’il ne s’y conformerait pas. Le texte exhorte Israël à « cesser immédiatement et complètement toute activité de colonisation en territoire palestinien occupé, dont Jérusalem-Est ».

Il a été adopté vendredi par le Conseil de sécurité de l’ONU après la décision des Etats-Unis de ne pas utiliser leur droit de veto. Renversant leur position habituelle dans ce dossier, les Etats-Unis se sont abstenus, et les quatorze autres membres du Conseil de sécurité se sont prononcés en faveur du texte.

Le Monde.fr avec AFP

Le complexe de la presse étrangère

Très souvent, les responsables mauritaniens se complaisent à se confier à la presse étrangère pour évoquer des questions nationales. En cela, les personnalités de la majorité et de l’opposition  sont presque pareilles. Que de fois, le président Mohamed Ould Abdel Aziz a sollicité des journaux ou télévisions autres que nationaux pour s’exprimer. Les Mauritaniens ont encore en tête ses sorties sur France 24 et Al Ahram entres autres médias étrangers. Récemment, le tonitruant ministre de l’économie et des finances, Moktar Ould Diay a choisi l’hebdomadaire Jeune Afrique pour faire un bilan élogieux de l’économie nationale du coup d’état du 6 août 2008 à nos jours. Or, c’est un secret de Polichinelle que pour avoir droit à la parole dans ces organes de communications étrangers, il est évident qu’il faille délier les cordons de la bourse. Plusieurs dizaines de millions d’ouguiyas au bas mot serviront à la rétribution de ces tribunes ambulantes qui permettent de distiller des informations de tous ordres qui ne ‘’tuent’’ pas forcément l’objectivité ni la crédibilité. La Mauritanie doit être l’un des rares pays au monde où les plus grands responsables donnent la primeur des informations nationales à des canaux de communication internationaux. Alors que la presse nationale tire le diable par la queue, ceux qui devraient la promouvoir préfèrent la marginaliser. Le paradoxe étant d’interdire à toutes les institutions publiques nationales de procéder à toutes les aides (abonnements, publicités, publi -reportages et autres) envers la presse nationale, alors que le président et ses ministres distribuent ‘’généreusement’’ l‘argent public à des supports médiatiques internationaux contre des sorties démagogiques de mauvais goût et de piètre qualité.

 

LE CALAME

Mali : inquiétude à propos de l’arrivée de combattants de Daech dans le nord du pays

Mali : inquiétude à propos de l’arrivée de combattants de Daech dans le nord du paysDes experts ont lancé l’alarme quant à l’arrivée prochaine de milliers de combattants de Daech dans la région du Sahel et particulièrement dans le nord du Mali.

Selon le commissaire de l’union africaine pour la paix et la sécurité, Ismael Chargui, on estime à 2000 ou 2500 le nombre de combattants de ce mouvement.

Certains parmi eux ont quitté le Yémen pour s’installer en Somalie, tandis que d’autres ont quitté la Syrie et l’Irak à destination de leurs pays d’origine.

Lors d’une réunion du centre africain pour les études et les recherches à propos du terrorisme à Alger Ismael Chargui a déclaré que la sphère des groupes terroristes s’est élargie dans le nord du Mali et dans les pays voisins, mais l’arrivée de terroristes armés dans la région compliquera davantage la situation.
Le groupe des « 5 », Mauritanie, Mali, Niger, Tchad et Burkina Faso, ont sollicité  un appui de la communauté internationale afin de faire face aux groupes terroristes.

Ce groupe estime à 10 milliards d’euros l’enveloppe financière nécessaire à la stratégie sécuritaire, militaire et de développement à même de faire face au danger du terrorisme dans la zone du Sahel africain.

Le secrétaire permanent du groupe, Saleck Najem Mohamed, a dit que la coordination et la coopération sont importantes pour faire face au défi dans la région du Sahel africain, ajoutant qu’aucun pays, eu égard à l’immensité des territoires de chacun d’eux, n’est à même de faire face seul au danger du terrorisme.

Les 5 pays du Sahel œuvrent à la mise en place de 5 groupes d’intervention rapide et à coordonner leurs efforts avec les forces occidentales engagées dans la lutte contre le terrorisme dans la région du Sahel et particulièrement la France qui avait lancé, il y a deux ans, la force « Barkan », forte de 3500 hommes, opérationnelle dans la région du Sahel.

 

SAHARAMEDIAS