Monthly Archives: January 2017
L’insécurité alimentaire guette le Sahel
Sahel Intelligence – La bande sahélienne qui s’étend de la Mauritanie à l’Ouest jusqu’à la corne de l’Afrique à l’Est, est victime depuis quelques années d’une sécheresse chronique, une tendance climatique qui a engendré une insécurité alimentaire tant pour les populations que pour le bétail.
Le bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU, qui a dévoilé fin décembre un rapport sur l’insécurité alimentaire, s’inquiète notamment pour les pays de cette région. En effet, que ce soit en Somalie, en Erythrée ou au Mali, le manque de denrées alimentaires est devenu inquiétant.
En somalie par exemple, près de cinq millions d’habitants sont touchés par l’insécurité alimentaire, dont un million qui sont en situation d’urgence. Ce triste constat est dû à plusieurs facteurs. En premier lieu les mauvaises récoltes.
Après plusieurs saisons consécutives de faible rendement céréalier, les pays du Sahel se trouvent plus que jamais démunis de ressources alimentaires propres. Ils doivent ainsi importer une bonne partie de leurs aliments de base tels que le blé ou le riz. Le second facteur, et qui n’est pas des moindres, est la situation géographique des régions les plus touchées par l’insécurité alimentaire.
Ainsi, en somalie, le sud et le centre du pays sont les zones où les populations sont les plus livrées à elles-mêmes. Les aides humanitaires ont donc beaucoup de mal à atteindre ces régions du fait de l’insécurité qui y règne.
Cette situation dramatique touche le plus souvent les enfants. En Erythrée, où l’insécurité alimentaire guette plus de deux millions de personnes, 60% des enfants au niveau national doivent faire face à une sous-alimentation chronique.
L’Unicef a d’ailleurs publié en début de semaine un rapport sur la malnutrition dans ce pays de la corne d’Afrique qui reste fermé aux aides humanitaires étrangères.
cridem
Nouvelles d’ailleurs de Mint Derwich : Défense des femmes vous dites ?
Pour un bon projet de loi, c’est un bon projet de loi que celui, présenté par le gouvernement, concernant la pénalisation, enfin, des violences faites aux femmes. Et qui reconnaît que ces violences sont multiformes. Que l’imagination masculine n’a aucune limite, quand il s’agit de rabaisser une femme, d’en faire une victime, de lui manquer de respect, de lui faire du mal.
Mais, comme de bien entendu, la part la plus rétrograde de nos oulémas est montée au créneau pour dénoncer ce simple bon sens, à savoir la protection de la femme et ses droits face à la justice, inscrivant ainsi dans la durée et face au monde que femmes et hommes sont égaux devant les violences et face à la justice. Partout, on a entendu s’égosiller nos chers penseurs, clamant que ce projet de loi était anti- islamique… Comme si l’islam permet de faire du mal aux femmes et leur refuse le droit à la justice !
Ils s’égosillent tellement qu’ils arriveraient presque à faire croire, à ceux qui veulent bien les écouter, et ils sont nombreux malheureusement (nos parlementaires en font visiblement partie), qu’il est anormal qu’une femme puisse porter plainte pour coups et blessures contre son mari, qu’il est anormal qu’une femme puisse porter plainte contre son conjoint, pour attitudes rabaissantes et violentes. Qu’il est anormal qu’une femme puisse porter plainte pour harcèlement et pressions diverses. Qu’il est anormal qu’une femme puisse voyager sans autorisation de son mari… Qu’il est anormal qu’une femme puisse porter plainte pour viol.
Dans leur islam fast food, ils ont réponse à tout, osent nous parler, dans le cas des violences physiques, de gradations dans les coups (!!!!), qu’une petite baffe de temps à autre n’est pas violence. J’aimerais leur demander quand commence la violence et quand finit-elle… Et sur quelle échelle est inscrit le droit à massacrer sa femme ? Un plat trop cuit, une baffe ? Un boubou brûlé par le fer à repasser, deux baffes ? Tenir tête, on lance le poing ? Se refuser sexuellement à son mari, là, bastonnade en règle ?
Et comment conçoivent-ils le viol ? Zina pour la femme ? Toujours le bon vieux poncif meurtrier qui dit : « elle l’a bien cherché » ? Sans compter la graduation des insultes et ce qu’un mari peut se permettre : « salope », c’est un mot d’amour ? « Putain », une tendresse ? « Chienne », un aveu de désir ? Apparemment oui, pour nos savants à la barbe indignée qui sont, vent debout, contre le bon sens et leurs femmes. Apparemment oui, vu que nos honorables parlementaires sont entrés dans la fronde à leur tour, le courage n’étant pas la première de leur qualité. Et tout le monde de polémiquer sans fin, oubliant les femmes, les sorts de certaines femmes, les droits des femmes, les violences dont elles sont victimes…
Remarquez, dans un pays où l’excision n’est pas pénalisable, où le mariage précoce se pratique à grande échelle, où la polygamie fait partie des meubles, où une victime de viol est, d’abord, accusée de zina, rien de bien étonnant que toute cette agitation sur les femmes. Violences faites aux femmes ? Concept d’occidentaux dégénérés ! Qu’est-ce que la violence faite aux femmes, dans un pays où la naissance d’un garçon est plus fêtée que la naissance d’une fille… où le corps de la femme concentre tous les fantasmes, ce corps qu’il faut cacher absolument : une mèche de cheveux apparente et c’est la fin du monde !
Car j’aimerais demander, encore, à nos anti projet de loi, qu’est-ce que la violence faite aux femmes, pour eux ? Qu’est-ce que cela signifie ? C’est quoi d’être une femme, à part le réceptacle de toutes les misères, de toutes les barbaries, de tous les sévices ? Et je leur demanderais, aussi, où sont-ils, quand un homme jette sa femme à la porte ? Où sont-ils, quand des gamines se font violer ? Où sont-ils, quand une petite fille est mariée à douze ans ? Oui, où sont-ils, quand une pauvre fille mère célibataire se retrouve à la prison des femmes pour zina ?
Je sais que c’est un vœu pieux, que nos religieux vont gagner la partie, profitant de la lâcheté de nos politiques.
Mais je retiendrai que, pour la première fois, notre gouvernement a fait preuve d’audace, dans un pays qui n’aime rien tant que l’immobilisme, sous couvert de religion. Ce projet de loi sera amendé ad nauseam. Il sera vidé de tout son sens car l’État a toujours abandonné son rôle moteur, face aux religieux. Nos parlementaires n’iront pas à l’encontre des oulémas, à l’encontre de ceux qui tiennent le pays en coupe, depuis des années, imposant, décrétant, menaçant ; ceux qui ont pris la République en otage, les mêmes qui appellent au meurtre tous les vendredis.
J’aurais aimé, aussi, que le gouvernement aille plus loin et décide de revoir l’amendement concernant l’âge légal du mariage (18 ans), une honte et un scandale, imposé par le prisme des oulémas, celui qui dit « sauf en cas de fille incapable », amendement qui permet les mariages précoces, la pédophilie institutionnalisée… Interdire, tout simplement, les mariages précoces, oser envoyer en prison les parents qui donnent leurs filles mineures : voilà ce qui serait un geste fort, un geste historique. Ne pas plier devant les menaces et les interprétations. Ne pas céder un pouce de terrain.
Car nous parlons bien du corps de ces gamines-là. Nous parlons bien de sexe. De sang. De violences. Nous parlons de petites filles déflorées de force, déchirées, forcées. Nous parlons bien de grossesses très précoces.
Nous parlons bien de viols. Pas d’autres choses. Ceci n’est pas abstrait. C’est un fait. J’aimerais que nos chers députés aillent faire un tour dans les associations de femmes qui recueillent certaines de ces gamines. Ou à l’hôpital, à la maternité. J’aimerais bien que nos chers députés assistent, puisqu’il leur faut, apparemment, voir pour croire, à la nuit de noces d’une petite fille forcée par un homme plus âgé. Car c’est souvent ainsi, n’est-ce pas : une gamine mariée à un homme beaucoup plus vieux.
J’aimerais que nos chers députés se rappellent leurs cours de science et d’anatomie, si tant est qu’ils en aient eu, et se remémorent l’appareil génital d’une petite fille… et l’appareil génital d’un homme adulte. Car il faut dire les choses, mettre un nom sur les pratiques, mettre un mot sur ces violences. Sinon, nous ne finirons jamais d’ergoter sur le sexe des anges. Leur rappeler que notre pays a signé toutes les conventions de protection des mineurs. Et que le mariage précoce est un crime contre mineures. Un crime contre les femmes.
Que l’atermoiement et les lâchetés ne sont que complicités de viols et d’actes pédophiles. Que s’ils décident et acceptent qu’une partie de notre citoyenneté passe par la pratique de la pédophilie, c’est que nous ne sommes pas dignes du monde. Qu’ils en profitent, tant qu’ils y seront, pour réfléchir, aussi, à la pénalisation de l’excision. Au fait d’envoyer, enfin, des parents en prison, pour acte de torture sur humain. Qu’ils se souviennent de celles qui vivent et vont vivre la double peine : l’excision ET le mariage précoce, au nom de principes archaïques, machistes, misogynes.
J’espère qu’un député aura le courage de se lever et de dire que les temps ont changé. Que nous ne sommes plus au VII° siècle. Que les mœurs ont changé. Que le monde évolue. Et que si nous rattachons notre foi juste à la forme – et le mariage précoce en est une – nous avons oublié le fond. Leur rappeler que les droits des femmes sont des droits inaliénables. Que les femmes demandent plus de protection que les hommes, dans nos sociétés qui se replient sur elles-mêmes, dans nos sociétés où les pétrodollars wahhabites laminent l’intelligence et les droits.
Qu’une nation qui laissent les mauvais instincts s’ériger en vertus est indigne. Devant ses citoyens et devant Dieu. Qu’ils sont là, dans l’hémicycle, pas simplement pour faire caisse de résonance du pouvoir mais, aussi, pour décider ce que nous serons demain. Et que même si une partie des oulémas est vent debout, même si une partie de la population est contre, il faut imposer. Seule la loi fait force. Seule elle. Le reste les gens s’y plieront. Comme ils se sont pliés à d’autres lois. Alors, j’ose espérer que notre Assemblée va se grandir et décider de protéger, enfin, nos filles, nos femmes, contre tous les archaïques. J’ose espérer. Et je leur dis : courage, seul le premier pas coûte ! Soyez dignes de vos filles et femmes. Salut.
Mariem mint Derwich
le calame
États-Unis : les adieux poignants de Barack Obama
Par moment troublé, Barack Obama a exhorté mardi soir depuis Chicago les Américains à être des acteurs du processus démocratique alors qu’il s’apprête à céder la place à Donald Trump le 20 janvier.
Sous un tonnerre d’applaudissements, Barack Obama a conclu son discours d’adieu, dans la soirée du mardi 10 janvier, par un « Yes we did » (Oui, nous l’avons fait », allusion à son célébrissime slogan de campagne « Yes we can ».
« La démocratie peut flancher lorsque nous cédons à la peur », a-t-il mis en garde depuis Chicago, terre de sa fulgurante ascension politique où il avait célébré, il y a huit ans, son accession à la Maison Blanche.
« Notre démocratie est menacée à chaque fois que nous la considérons comme acquise », a-t-il insisté, soulignant que la constitution américaine, « remarquable cadeau », n’avait aucun pouvoir en tant que telle.
Les tempes blanchies et le visage émacié par huit années à la tête de la première puissance mondiale, le premier président noir de l’histoire des États-Unis, âgé de 55 ans, a aussi appelé à l’unité. Car la question raciale reste « un sujet qui divise » en Amérique, a-t-il dit.
« Tous ensemble, quel que soit notre parti, nous devrions nous attacher à reconstruire nos institutions démocratiques », a-t-il martelé.
Le président sortant a insisté sur « le pouvoir des Américains ordinaires comme acteurs du changement » devant près de 20 000 personnes rassemblées au cœur de cette ville de l’Illinois (nord) où il a rencontré sa femme et où ses enfants sont nés.
Les billets – gratuits – pour assister à ce dernier discours s’étaient arrachés dès samedi à l’aube devant l’immense centre de conférence « McCormick Place » où des centaines de personnes avaient fait la queue dans un froid polaire en espérant obtenir le précieux sésame.
Réconforter sa famille politique
Barack Obama a par moments tenté de réconforter sa famille politique, toujours sous le choc de l’élection surprise de Donald Trump, en vantant les progrès accomplis et sa confiance intacte en la capacité de progrès de la société américaine.
« La première fois que je suis venu à Chicago, j’avais un peu plus de 20 ans, j’essayais de comprendre qui j’étais, j’étais à la recherche d’un but dans ma vie », a-t-il lancé devant une foule enthousiaste.
« C’est ici que j’ai appris que le changement ne se produit que si des gens ordinaires s’impliquent, s’engagent et se rassemblent pour l’exiger. Après huit ans de présidence, j’y crois toujours ! »
Dans la « vie d’après », Chicago, où la famille Obama possède toujours une maison, jouera un rôle central pour le président sortant puisqu’elle accueillera sa bibliothèque présidentielle et sa fondation.
Mises en garde
Si Barack Obama n’a jamais cité le nom de celui qui lui succédera le 20 janvier dans le Bureau ovale, il a lancé quelques mises en garde à son attention, en particulier sur le réchauffement climatique.
« Nous pouvons, et devons, débattre de la meilleure approche pour s’attaquer à ce problème », a-t-il affirmé.
« Mais simplement nier le problème revient non seulement à trahir les générations futures, mais aussi à trahir l’esprit d’innovation et de recherche de solutions qui ont guidé nos fondateurs », a-t-il ajouté.
C’est à quelques kilomètres de là qu’il avait pris la parole au soir de sa première victoire, le 5 novembre 2008, à Grant Park, immense jardin public coincé entre le lac Michigan et des gratte-ciels.
« Si jamais quelqu’un doute encore que l’Amérique est un endroit où tout est possible, (…) la réponse lui est donnée ce soir », avait-il lancé devant des dizaines de milliers de personnes rassemblées dans le froid.
Hommage à Michelle Obama et ses filles
Barack Obama a laissé échapper une larme lorsqu’il a rendu hommage à sa femme, Michelle : « Depuis 25 ans, tu as non seulement été ma femme et la mère de mes enfants, mais aussi ma meilleure amie », a-t-il lancé.
Il a longuement salué ses deux filles, en l’absence remarquée de la plus jeune, Sasha, 15 ans (la Maison Blanche a assuré par la suite qu’elle était restée à Washington en raison d’un examen scolaire matinal) : « De tout ce que j’ai fait dans ma vie, ma plus grand fierté est d’être votre père ».
À l’heure du départ, Barack Obama bénéficie d’une solide cote de popularité. Selon un sondage Quinnipiac University publié quelques heures avant son discours, 55% des électeurs approuvent son action à la présidence, soit son score le plus élevé depuis sept ans).
Jeune Afrique avec AFP
Politis avec Mr. Samba Thiam Pdt. FPC *AlwataniyaTV
Le camarade Samba Thiam Président des Forces Progressistes du Changement (FPC) sera l´invité de l´émission “POLITIS” du vendredi 13 janvier 2017 à partir de 22h30 mn, en direct sur Al Wataniya, qu´anime le journaliste Sid´Ahmed Beyilatou.
Mauritanie : la nouvelle ministre Mint Taghi faisait les éloges de O. Taya
Alakhbar publie de nouveau un ancien article d’opinion que la nouvelle ministre mauritanienne des Affaires sociales, de l’Enfance et de la famille, Meimoune Mint Mohamed Ould Taghi, avait écrit, il y a 10 ans, pour faire les éloges du président Maouya Ould Sid Ahmed Taya lequel a été renversé en 2015. L’article a fait le tour des réseau sociaux mardi dernier.
Meimoune Mint Mohamed Ould Taghi disait : « Les Mauritaniens ont salué l’arrivée d’un de leurs fils connu pour son courage pendant la guerre, son intelligence et sa bonne gestion de tous les postes qu’il a occupé, marqué par un désintérêts pour l’argent et son grand patriotisme ».
Lire ci-dessous l’intégralité de l’article intitulé : « 20 ans de bonheur » :
Le 12/12/84 le Chef d’Etat Major des Armées, un homme connu pour sa droiture a décidé avec un groupe d’officiers supérieurs de mettre fin à la souffrance des populations de son pays, en éloignant pacifiquement du pouvoir, un président qui avait appauvri la Mauritanie, sans qu’aucune balle ne soit tirée.
A cette époque tout celui qui osait ouvrir la bouche est emprisonné et les populations étaient appauvries au point que les chefs de ménages étaient dans l’incapacité d’acheter un kilo de riz bien qu’il coûtait 30 UM.
Cette décision souveraines et courageuses a été approuvée par les populations : marches spontanées, fêtes, réjouissances
Les Mauritaniens ont salué l’arrivée d’un de leurs fils connu pour son courage pendant la guerre, son intelligence et sa bonne gestion de tous les postes qu’il a occupé, marqué par un désintérêts pour l’argent et son grand patriotisme.
Entre 1987 et 1991 il a pu gérer avec modération les crises dangereuses qui ont divisé nos populations. Ces crises étaient l’œuvre de racistes extrémistes véhiculant des messages de haine et voulant faire de la Mauritanie deux pays et deux populations.
Les évènements douloureux de 1989 ont fait souffrir le peuple mauritanien et sénégalais, mais les liens historiques, l’Islam et la sagesse du Président ont pu faire passer cette tempête.
Revenons en 1986 où nos populations ont pu pour la première fois avoir une leçon en démocratie, notamment par l’organisation des premières élections municipales où on a pu vivre des campagnes, voter par la voie des urnes
En 1992, ce sont les présidentielles, marquées par une chaude campagne et des résultats qui reflètent la réalité du choix des populations.
Le Président a choisi une campagne populaire utilisant un langage simple, facile compris par toues les couches de la population.
Le renforcement de la démocratie a continué et l’amélioration s’est concrétisée par :
L’institution de la carte d’identité infalsifiable
La mise sur pied des urnes transparentes
La suppression des bureaux de vote mobile
La publication des listes électorales sur Internet ….
Toutes ces mesures ont encouragé l’opposition à participer aux élections de 2001 l’amenant à reconnaître les résultats.
Aujourd’hui, cette opposition tient 5 mairies dans la capitale et se trouve représentée au Parlement et au Sénat
Les résultats de l’élection présidentielle de 2003 sont venus confirmer ces résultats (les résultats obtenus par l’opposition étaient pratiquement les mêmes qu’en 2001)
La situation économique est en nette progression et plusieurs sociétés fleurissent (banques, bureaux de tourisme, petites affaires, commerce électronique, commerce divers)
En somme c’est la liberté et la possibilité de gagner sa vie selon les lois de la libre et honnête concurrence.
Les hommes d’affaires ont trouvé un terrain leur permettant de développer leurs affaires (au lieu d’investir au Sénégal, en Espagne, ou ailleurs, comme c’était le cas auparavant).
Le peuple mauritanien profite aujourd’hui de tout ce développement en trouvant des opportunités de travailler dont le bénéfice lui revient en premier lieu.
Sur le plan des infrastructures, les routes sont construites, les centre de santé, de nouveaux quartiers se développent (Arafat, Ryad, Dar-Naïm, Tevragh-zeïna)
Les bidonvilles sont en vois de disparution, remplacés par des lots distribués aux familles à faible revenus et où les conditions de vies se sont nettement améliorées.
Des politiques ciblant l’amortissement des effets de la hausse des prix, dus à une situation économique mondiale, ont été menées avec succès, notamment par l’ouverture de boutique populaires
La sécheresse est combattue par des politiques d’appui et de soutien aux populations.
Avec des telles actions, tous les mauritaniens vivent en paix, profitent de cette situation et rares sont les mauritaniens qui ne disposent pas de terrain où ils construisent des logements d’habitation
Les soins sont disponibles et les populations arrivent à se soigner grâce la généralisation des soins, aux pharmacies sociales , dispensaires, hôpitaux avec des prix abordables (à 300 UM on peut avoir un traitement antibiotique dans les pharmacies populaires, à 5000 UM, une femme peut bénéficier de soins
Près natales et post-natales , y compris les échographies)
C’est dans cette atmosphère de démocratie et de développement que des lâches tentatives de coup d’Etat sont intervenues pour troubler et tenter de renverser notre marche vers le développement. Certains détracteurs essayent de faire des putschistes des héros et continuent de chanter leur gloire.
Les populations quant à elles, ont manifesté leur refus de la violence par des marches dans tous les coins du pays, ce qui a renforcé la popularité du Président.
Le Président qui a lui même montré son attachement à la démocratie en maintenant les élections pour le 7 novembre 2003.
L’opposition quant à elle, a montré son manque de coordination et de crédibilité.
Son meilleur candidat qui fut un ex-chef d’Etat et qui avait dirigé le pays avec une mains de fer durant les années 1974-1984et qui a passé ces dix neuf années sans jamais manifester le moindre intérêt pour la politique nationale, profitant des considérations et avantages que lui attribuait l’Etat Mauritanien.
Les résultats de 2003 sont venus confirmer cette absence sur le terrain à l’intérieur du pays et le manque de coordination de l’opposition.
Maintenant; les prisonniers putschistes bénéficient d’un procès équitable en présence d’avocats, de journalistes et de représentants de la société civile.
Donc le Président de la République Maaouya Ould Sid’ahmed Taya, président de tous les mauritaniens est celui choisi par la majorité des mauritaniens
Celui qui a développé la Mauritanie, installé la démocratie, combattu avec toutes ses forces la corruption, développé l’économie du pays, crée l’atmosphère permettant aux mauritaniens de travailler et de s’enrichir, mené les campagnes d’alphabétisation des populations
C’est le Président sous lequel le pétrole a été découvert pour que la vie des mauritaniens change positivement : c’est un porte bonheur.
Après deux décennies de construction, espérons que la Mauritanie continue de fleurir sous le choix de son peuple.
Que Dieu prolonge le bonheur des mauritaniens et protège la Mauritanie des déformateurs de réalités.
alakhbar