Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Daily Archives: 11/01/2017

États-Unis : les adieux poignants de Barack Obama

Video. États-Unis : les adieux poignants de Barack Obama Par moment troublé, Barack Obama a exhorté mardi soir depuis Chicago les Américains à être des acteurs du processus démocratique alors qu’il s’apprête à céder la place à Donald Trump le 20 janvier.

Sous un tonnerre d’applaudissements, Barack Obama a conclu son discours d’adieu, dans la soirée du mardi 10 janvier, par un « Yes we did » (Oui, nous l’avons fait », allusion à son célébrissime slogan de campagne « Yes we can ».

« La démocratie peut flancher lorsque nous cédons à la peur », a-t-il mis en garde depuis Chicago, terre de sa fulgurante ascension politique où il avait célébré, il y a huit ans, son accession à la Maison Blanche.

 

« Notre démocratie est menacée à chaque fois que nous la considérons comme acquise », a-t-il insisté, soulignant que la constitution américaine, « remarquable cadeau », n’avait aucun pouvoir en tant que telle.

Les tempes blanchies et le visage émacié par huit années à la tête de la première puissance mondiale, le premier président noir de l’histoire des États-Unis, âgé de 55 ans, a aussi appelé à l’unité. Car la question raciale reste « un sujet qui divise » en Amérique, a-t-il dit.

« Tous ensemble, quel que soit notre parti, nous devrions nous attacher à reconstruire nos institutions démocratiques », a-t-il martelé.

Le président sortant a insisté sur « le pouvoir des Américains ordinaires comme acteurs du changement » devant près de 20 000 personnes rassemblées au cœur de cette ville de l’Illinois (nord) où il a rencontré sa femme et où ses enfants sont nés.

Les billets – gratuits – pour assister à ce dernier discours s’étaient arrachés dès samedi à l’aube devant l’immense centre de conférence « McCormick Place » où des centaines de personnes avaient fait la queue dans un froid polaire en espérant obtenir le précieux sésame.

Réconforter sa famille politique

Barack Obama a par moments tenté de réconforter sa famille politique, toujours sous le choc de l’élection surprise de Donald Trump, en vantant les progrès accomplis et sa confiance intacte en la capacité de progrès de la société américaine.

« La première fois que je suis venu à Chicago, j’avais un peu plus de 20 ans, j’essayais de comprendre qui j’étais, j’étais à la recherche d’un but dans ma vie », a-t-il lancé devant une foule enthousiaste.

« C’est ici que j’ai appris que le changement ne se produit que si des gens ordinaires s’impliquent, s’engagent et se rassemblent pour l’exiger. Après huit ans de présidence, j’y crois toujours ! »

Dans la « vie d’après », Chicago, où la famille Obama possède toujours une maison, jouera un rôle central pour le président sortant puisqu’elle accueillera sa bibliothèque présidentielle et sa fondation.

Mises en garde

Si Barack Obama n’a jamais cité le nom de celui qui lui succédera le 20 janvier dans le Bureau ovale, il a lancé quelques mises en garde à son attention, en particulier sur le réchauffement climatique.

« Nous pouvons, et devons, débattre de la meilleure approche pour s’attaquer à ce problème », a-t-il affirmé.

« Mais simplement nier le problème revient non seulement à trahir les générations futures, mais aussi à trahir l’esprit d’innovation et de recherche de solutions qui ont guidé nos fondateurs », a-t-il ajouté.

C’est à quelques kilomètres de là qu’il avait pris la parole au soir de sa première victoire, le 5 novembre 2008, à Grant Park, immense jardin public coincé entre le lac Michigan et des gratte-ciels.

« Si jamais quelqu’un doute encore que l’Amérique est un endroit où tout est possible, (…) la réponse lui est donnée ce soir », avait-il lancé devant des dizaines de milliers de personnes rassemblées dans le froid.

Hommage à Michelle Obama et ses filles

Barack Obama a laissé échapper une larme lorsqu’il a rendu hommage à sa femme, Michelle : « Depuis 25 ans, tu as non seulement été ma femme et la mère de mes enfants, mais aussi ma meilleure amie », a-t-il lancé.

Il a longuement salué ses deux filles, en l’absence remarquée de la plus jeune, Sasha, 15 ans (la Maison Blanche a assuré par la suite qu’elle était restée à Washington en raison d’un examen scolaire matinal) : « De tout ce que j’ai fait dans ma vie, ma plus grand fierté est d’être votre père ».

À l’heure du départ, Barack Obama bénéficie d’une solide cote de popularité. Selon un sondage Quinnipiac University publié quelques heures avant son discours, 55% des électeurs approuvent son action à la présidence, soit son score le plus élevé depuis sept ans).

 

Jeune Afrique avec AFP

Politis avec Mr. Samba Thiam Pdt. FPC *AlwataniyaTV

altLe camarade Samba Thiam Président des Forces Progressistes du Changement (FPC) sera l´invité de l´émission “POLITIS” du vendredi 13 janvier 2017 à partir de 22h30 mn, en direct sur Al Wataniya, qu´anime le journaliste Sid´Ahmed Beyilatou.

 

Mauritanie : la nouvelle ministre Mint Taghi faisait les éloges de O. Taya

Alakhbar publie de nouveau un ancien article d’opinion que la nouvelle ministre mauritanienne des Affaires sociales, de l’Enfance et de la famille, Meimoune Mint Mohamed Ould Taghi, avait écrit, il y a 10 ans, pour faire les éloges du président Maouya Ould Sid Ahmed Taya lequel a été renversé en 2015. L’article a fait le tour des réseau sociaux mardi dernier.

Meimoune Mint Mohamed Ould Taghi  disait :  « Les Mauritaniens ont salué l’arrivée d’un de leurs fils connu pour son courage pendant la guerre, son intelligence et sa bonne gestion de tous les postes qu’il a occupé, marqué par un désintérêts pour l’argent et son grand patriotisme ».

Lire ci-dessous l’intégralité de l’article intitulé : « 20 ans de bonheur » :

Le 12/12/84 le Chef d’Etat Major des Armées, un homme connu pour sa droiture a décidé avec un groupe d’officiers supérieurs de mettre fin à la souffrance des populations de son pays, en éloignant pacifiquement du pouvoir, un président qui avait appauvri la Mauritanie, sans qu’aucune balle ne soit tirée.

A cette époque tout celui qui osait ouvrir la bouche est emprisonné et les populations étaient appauvries au point que les chefs de ménages étaient dans l’incapacité d’acheter un kilo de riz bien qu’il coûtait 30 UM.

Cette décision souveraines et courageuses a été approuvée par les populations : marches spontanées, fêtes, réjouissances

Les Mauritaniens ont salué l’arrivée d’un de leurs fils connu pour son courage pendant la guerre, son intelligence et sa bonne gestion de tous les postes qu’il a occupé, marqué par un désintérêts pour l’argent et son grand patriotisme.

Entre 1987 et 1991 il a pu gérer avec modération les crises dangereuses qui ont divisé nos populations. Ces crises étaient l’œuvre de racistes extrémistes véhiculant des messages de haine et voulant faire de la Mauritanie deux pays et deux populations.

Les évènements douloureux de 1989 ont fait souffrir le peuple mauritanien et sénégalais, mais les liens historiques, l’Islam et la sagesse du Président ont pu faire passer cette tempête.

Revenons en 1986 où nos populations ont pu pour la première fois avoir une leçon en démocratie, notamment par l’organisation des premières élections municipales où on a pu vivre des campagnes, voter par la voie des urnes

En 1992, ce sont les présidentielles, marquées par une chaude campagne et des résultats qui reflètent la réalité du choix des populations.

Le Président a choisi une campagne populaire utilisant un langage simple, facile compris par toues les couches de la population.

Le renforcement de la démocratie a continué et l’amélioration s’est concrétisée par :

     L’institution de la carte d’identité infalsifiable

     La mise sur pied des urnes transparentes

     La suppression des bureaux de vote mobile

     La publication des listes électorales sur Internet ….

Toutes ces mesures ont encouragé l’opposition à participer aux élections de 2001 l’amenant à reconnaître les résultats.

Aujourd’hui, cette opposition tient 5 mairies dans la capitale et se trouve représentée au Parlement et au Sénat

Les résultats de l’élection présidentielle de 2003 sont venus confirmer ces résultats (les résultats obtenus par l’opposition étaient pratiquement les mêmes qu’en 2001)

La situation économique est en nette progression et plusieurs sociétés fleurissent (banques, bureaux de tourisme, petites affaires, commerce électronique, commerce divers)

En somme c’est la liberté et la possibilité de gagner sa vie selon les lois de la libre et honnête concurrence.

Les hommes d’affaires ont trouvé un terrain leur permettant de développer leurs affaires (au lieu d’investir au Sénégal, en Espagne, ou ailleurs, comme c’était le cas auparavant).

Le peuple mauritanien profite aujourd’hui de tout ce développement en trouvant des opportunités de travailler dont le bénéfice lui revient en premier lieu.

Sur le plan des infrastructures, les routes  sont construites, les centre de santé, de nouveaux quartiers se développent (Arafat, Ryad, Dar-Naïm, Tevragh-zeïna)

Les bidonvilles sont en vois de  disparution, remplacés par des lots distribués aux familles à faible revenus et où les conditions de vies se sont nettement améliorées.

Des politiques ciblant l’amortissement des effets de la hausse des prix, dus à une situation économique mondiale, ont été menées avec succès, notamment par l’ouverture de boutique populaires

La sécheresse est combattue par des politiques d’appui et de soutien aux populations.

Avec des telles actions, tous les mauritaniens vivent en paix, profitent de cette situation et rares sont les mauritaniens qui ne disposent pas de terrain où ils construisent des logements d’habitation

Les soins sont disponibles et les populations arrivent à se soigner grâce la généralisation des soins, aux pharmacies sociales , dispensaires, hôpitaux avec des prix abordables (à 300 UM on peut avoir un traitement antibiotique  dans les pharmacies populaires, à 5000 UM, une femme peut bénéficier de soins

Près natales et post-natales , y compris les échographies)

C’est dans cette atmosphère de démocratie et de développement que des lâches tentatives de coup d’Etat sont intervenues pour troubler et tenter de renverser notre marche vers le développement. Certains détracteurs essayent de faire des putschistes des héros et continuent de chanter leur gloire.

Les populations quant à elles, ont manifesté leur refus de la violence par des marches dans tous les coins du pays, ce qui a renforcé la popularité du Président.

Le Président qui a lui même montré son attachement à la démocratie en maintenant les élections pour le 7 novembre 2003.

L’opposition quant à elle, a montré son manque de coordination et de crédibilité.

Son meilleur candidat qui fut un ex-chef d’Etat et qui avait  dirigé le pays avec une mains de fer durant les années 1974-1984et qui a passé ces dix neuf années sans jamais manifester le moindre intérêt pour la politique nationale, profitant des considérations et avantages que lui attribuait l’Etat Mauritanien.

Les  résultats de 2003 sont venus confirmer cette absence sur le terrain à l’intérieur du pays et le manque de coordination de l’opposition.

Maintenant;  les prisonniers putschistes bénéficient d’un procès équitable en présence d’avocats, de journalistes et de représentants de la société civile.

Donc le Président de la République Maaouya Ould Sid’ahmed Taya, président de tous les mauritaniens est celui choisi par la majorité des mauritaniens

Celui qui a développé la Mauritanie, installé la démocratie, combattu avec toutes ses forces la corruption, développé l’économie du pays, crée l’atmosphère permettant aux mauritaniens de travailler et de s’enrichir, mené les campagnes d’alphabétisation des populations

C’est le Président sous lequel le pétrole a été découvert pour que la vie des mauritaniens change positivement : c’est un porte bonheur.

Après deux décennies de construction, espérons que la Mauritanie continue de fleurir sous le choix de son peuple.

Que Dieu prolonge le bonheur des mauritaniens et protège la Mauritanie des déformateurs de réalités.

 

alakhbar