Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Daily Archives: 31/12/2012

TPMN : “Le processus de dénégrification de la Mauritanie par les autorités actuelles se confirme; Bir Moghrein serait passée d’une population de 2761 habitants en 2OOO à 10514 habitants au 26 décembre 2012!”

Dans un communiqué dont une copie est parvenue à Noorinfo, le collectif touche pas à ma nationalité (TPMN) s’inquiète des dérives communautaristes et racistes du processus d’enrôlement, et craignent le resurgissement de vieux démons, au vu des “instructions officielles des autorités pour enrôler des saharaouis”. Le voici en intégralité.


TPMN :
 

 

Certains médias de la place font état de l’enrôlement massif par l’Agence Nationale du Registre des Populations et Titres Sécurisés (ANRPTS) d’étrangers d’origine sahraouie présentés comme des mauritaniens, suivant en cela des instructions officielles. Une telle information vient confirmer les inquiétudes toujours exprimées par Touche pas à ma nationalité quant au caractère discriminatoire et raciste de l’opération d’enrôlement initiée par le régime de Mohamed Ould Abdel Aziz.

Si les scènes de vexations et d’humiliations infligées aux populations noires désirant se faire enrôler s’étaient nettement estompées pendant quelques mois grâce à la résistance initiée par TPMN, voilà que les obstructions à l’enrôlement des Noirs refont surface par l’exigence, pour eux seuls, de la présentation de la carte d’identité nationale des parents. Pendant donc que le régime raciste de Mohamed Ould Abdel Aziz exclut les citoyens noirs, il enrôle à tour de bras des étrangers dont le seul mérite est d’appartenir à la communauté arabo-berbère. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la petite ville de Bir Moghrein serait passée ainsi d’une population de 2761 habitants en 2OOO à 10514 habitants au 26 décembre 2012 si l’on se fie aux chiffres de l’ANRPTS, ce qui correspond à un taux de croissance exponentiel de 280%. Quand on sait que l’enrôlement n’a touché jusqu’ici qu’un peu moins des deux tiers de la population à l’échelle nationale (1.935.420 personnes au 26 décembre 2012), on se rend compte de l’énormité de la marge de croissance qui reste pour cette localité et d’autres villes ou régions connaissant le même phénomène d’ici l’arrêt de l’opération.

Touche pas à ma nationalité :

– dénonce avec la plus grande vigueur ces pratiques destinées à dénaturer le fragile équilibre communautaire à et donc à diviser encore plus les Mauritaniens ;
– tient le régime pour responsable des graves conséquences pour l’existence même du pays qu’elles pourraient engendrer ;
– se réserve le droit de combattre avec la dernière énergie ces pratiques éhontées et en appelle à ses militants, sympathisants et à tous les patriotes sincères pour rester vigilants et mobilisés.

TPMN
Le 31 décembre 2012

Source: Noornfo

 

Panafricanisme/Justice belge : Qui a tué Patrice Lumumba ?

Le 17 janvier 1961, l’ancien Premier ministre congolais Patrice Lumumba était assassiné. Une mort tragique orchestrée depuis Léopoldville, Bruxelles et Washington. Et sur laquelle la justice belge a récemment décidé d’enquêter.

Panafricanisme/Justice belge : Qui a tué Patrice Lumumba ?
 

Il y a de la barbarie dans l’exécution de Patrice Lumumba, sur laquelle la justice belge a décidé, le 12 décembre, d’ouvrir une enquête. Le 2 décembre 1960, quand l’ancien Premier ministre est exhibé à l’aéroport de Léopoldville (Kinshasa), après sa capture sur la route de Stanleyville (Kisangani) par Joseph-Désiré Mobutu, le chef d’état-major de l’armée congolaise, il n’est déjà plus traité comme un homme. Le soldat qui le saisit par les cheveux et lui relève la tête pour le montrer aux caméras… L’image reste dans toutes les mémoires. Le vainqueur des élections de mai 1960 n’est plus qu’un trophée de chasse.

Le dernier jour de sa vie, le 17 janvier 1961, ses bourreaux sont d’une cruauté indicible. Dans le DC-4 qui l’emmène de Moanda à Élisabethville (Lubumbashi), ses gardes congolais sont imbibés de whisky. Ils le frappent si fort, à coups de pied, à coups de crosse, que le commandant de bord belge leur fait remarquer que des mouvements aussi brusques menacent la sécurité de l’avion. À l’atterrissage, avec ses deux compagnons de supplice (Joseph Okito et Maurice Mpolo), il est encore roué de coups. Un sous-officier belge participe au lynchage. Dans la villa où ils sont gardés avant leur assassinat, plusieurs ministres du gouvernement katangais s’y mettent à leur tour. « Le costume de Moïse Tshombe [président autoproclamé du Katanga, NDLR] était tâché de sang », dira le lendemain son chef de cabinet. À 23 heures, c’est l’exécution. Dans une clairière, un capitaine belge commande le peloton, composé de quatre Congolais. Tshombe est là, avec ses ministres. Et, comme si cela ne suffisait pas, quelques jours après la rafale mortelle, les corps des trois suppliciés sont découpés et dissous dans un fût d’acide sulfurique par deux policiers belges. Le degré zéro de l’humanité.

À l’origine de cette cruauté, la peur qui s’est emparée des Blancs du Congo. Pourquoi ce sous-officier belge frappe-t-il Lumumba, ce 17 janvier 1961 ? Parce qu’il veut « venger » les femmes blanches violées six mois plus tôt à Thysville (aujourd’hui Mbanza-Ngungu), à 150 km au sud-ouest de Léopoldville. Dans le Congo de l’époque vivent plusieurs dizaines de milliers d’Européens, des Belges pour la plupart. Comme l’Algérie, comme l’Afrique du Sud, le Congo est une colonie de peuplement. La presse anglo-saxonne compare volontiers ce pays au régime d’apartheid d’Afrique du Sud. Chez les ultras belges du Katanga, le colonel Massu, le chef des parachutistes français d’Alger, est un héros. « Ce que fut le Congo belge est devenu un chaos », a lancé Baudouin, le roi des Belges, trois semaines après l’indépendance, le 21 juillet 1960. Et pour lui, l’homme du chaos, c’est Lumumba. En septembre, le Parlement belge a voté des fonds secrets pour financer le camp anti-Lumumba. À la tête de l’Opération des Nations unies au Congo (Onuc), l’Américain Andrew Cordier a confié à l’un de ses proches : « Nkrumah est le Mussolini d’Afrique, et Lumumba son petit Hitler. » Et le numéro un des services secrets belges à Léopoldville, le colonel Marlière, qui appelle Lumumba Satan dans ses messages codés, a affirmé : « Cet homme doit être supprimé, c’est une oeuvre de salubrité publique. »

 


Racisme Plus de 50 ans après l'assassinat de Patrice Lumumba, la justice belge va ouvrir une enquête sur ce crime. Lumumba fut le premier chef du gouvernement de l'actuelle République démocratique du Congo, après l'indépendance.

Plus de 50 ans après l’assassinat de Patrice Lumumba, la justice belge va ouvrir une enquête sur ce crime. Lumumba fut le premier chef du gouvernement de l’actuelle République démocratique du Congo, après l’indépendance.

La peur, donc, mais aussi une bonne dose de racisme ordinaire. En 2001, une commission parlementaire belge dira pudiquement qu’« en 1960, la mentalité de certains Belges demeurait imprégnée de colonialisme. » Dans les années 1950, l’évêque du Katanga, Mgr de Hemptinne, déclarait encore que « la race noire (n’avait) rien derrière elle. Peuple sans écriture, peuple sans Histoire, sans philosophie, sans consistance aucune… » L’autre ressort de cette cruauté, c’est l’anticommunisme. En juillet 1960, Lumumba a commis la maladresse de demander l’aide des Soviétiques pour transporter ses troupes jusqu’au front katangais. Le 18 août, à Washington, le président Eisenhower a présidé une réunion du Conseil de sécurité nationale. Le directeur de la CIA, Allen Dulles, a plaidé pour l’élimination physique de Lumumba. « Il y eut un silence de quinze secondes, puis le meeting se poursuivit », racontera un témoin. D’où la fameuse tentative d’empoisonnement avec un dentifrice spécial. « Si Lumumba se brosse les dents avec, il attrapera une poliomyélite foudroyante. Ni vu ni connu », avait alors confié un tueur professionnel à Larry Devlin, le chef de la CIA au Congo…

Diabolique

Un jour, Lumumba a dit : « Si je meurs demain, ce sera parce qu’un Blanc aura armé un Noir. » C’est après la pénible scène de son arrestation, en décembre 1960, que les Belges et les Américains conçoivent ce plan diabolique : faire éliminer Lumumba par ses frères congolais. À Léopoldville ? Non. Mobutu lui-même est réticent. Il a été très proche du leader du Mouvement national congolais (MNC). Il connaît son charisme au Congo et sur tout le continent – en 1958, lors d’une conférence à Accra, Lumumba a fraternisé avec Nasser, Nkrumah et Sékou Touré. Rusé, Mobutu sait que, s’il porte la responsabilité directe de la mort de Lumumba, il le paiera un jour. Par ailleurs, le 24 novembre, les Nations unies ont reconnu le gouvernement de Kasa-Vubu aux dépens de celui de Lumumba (53 voix contre 24). Pour les Occidentaux, ce n’est pas le moment de mettre un assassinat politique sur le dos de leur ami Kasa-Vubu. Son régime est trop fragile. Reste la solution katangaise. En juillet 1960, la province cuprifère du sud du Congo a proclamé son indépendance. Moïse Tshombe préside, mais les Belges gouvernent. Tshombe a toutes les raisons de vouloir éliminer Lumumba, mais, comme Mobutu, il devine que le prix à payer sera très lourd. D’abord pour sa chère province. Fini l’espoir de la reconnaissance internationale d’un Katanga indépendant. Ensuite pour lui-même. Et il n’a pas tort : dès que le Front de libération nationale (FLN) prendra le pouvoir à Alger, il poursuivra Tshombe de sa haine vengeresse, lui qu’il tient en partie pour responsable de la mort de Lumumba. En juin 1967, le président Boumédiène fera détourner son avion au-dessus des Baléares, et l’enfermera dans un cachot où il mourra deux ans plus tard, officiellement d’une « crise cardiaque ».

En 1960, Tshombe pressent-il tout cela ? Ce qui est sûr, c’est que jusqu’à la mi-janvier 1961, ses tuteurs belges d’Élisabethville et lui-même ont fait savoir à Bruxelles qu’ils ne voulaient pas recevoir le « cadeau empoisonné » Lumumba.

Le 13 janvier 1961, tout s’emballe. Une mutinerie éclate au camp militaire de Thysville, où Lumumba est enfermé depuis six semaines. Du fond de son cachot, le tribun nationaliste a retourné une partie de ses geôliers. Panique chez les Blancs de Léopoldville. Mobutu et Victor Nendaka, le directeur de la Sûreté, un dur, réquisitionnent Kasa-Vubu et s’envolent pour Thysville, où ils rétablissent la situation in extremis, avec des liasses de billets. Mais le chef du camp, le colonel Bobozo, un Ngbandi comme Mobutu, dit à celui-ci : « Si une nouvelle mutinerie éclate, je ne pourrai plus garder Lumumba en prison. »

Aussitôt, le scénario katangais est enclenché. Le 16 janvier au matin, un télex de Bruxelles intime l’ordre à Élisabethville de recevoir le prisonnier. Vu les propos publics des ministres de Tshombe (« S’il vient chez nous, nous le tuerons »), aucun doute n’est permis sur le sort qui attend Lumumba. Ce jour-là, le Premier ministre belge, Gaston Eyskens, et Mobutu décident de sang-froid la mort de Lumumba, avec la bénédiction de Dwight Eisenhower. Un crime d’État et, pour les Congolais, le premier pas d’une longue descente aux enfers.

Christophe Boisbouvier
JA

Congrès de l’UFP : Le courant dit progressiste garde la haute main sur le parti .

altLe congrès de l’UFP a clôturé ses travaux très tôt ce( lundi331 décembre) matin, après presque cinq jours de travaux. Mohamed Ould Maouloud est reconduit comme président du parti pour un troisième mandat. Le député Mohamed El Moustaph Ould Bedredine retrouve le secrétariat général du parti, avec des pouvoirs renforcés. Les vice-présidents au président sont par ordre : le professeur Lô Gourmo Abdoul, l’administrateur Mohamed Ould Khlil (nassériste), Khalilou Ould Dedda, la députée Khadjetou Malik Diallo et l’ancien ministre Soumaré Hassane. L’ancien premier vice président, Bâ Boubakar Moussa, prend la tête du conseil national.

Les jeunes ont arraché leur part du gâteau. C’est ainsi que le jeune journaliste Moussa Ould Habib seconde Ould Bedredine a été désigné comme secrétaire général adjoint. D’autres jeunes figurent dans les différentes nouvelles directions du parti et les mouvements des jeunes et des femmes bénéficient désormais de plus d’autonomie. La nouvelle direction a été approuvée par 183 voix sur 244.

Les observateurs considèrent que la tendance, dite progressiste, favorable aux thèses de gauche, chères à l’ancien MND, domine largement les nouvelles instances de l’Union des Forces du Progrès (UFP).

 

Source: Le calame

Contre-réaction aux propos du capitaine Krombolé

altVisiblement l’interwiew récente de ould Krombole semble susciter une controverse dans les rangs de nos frères d’arme negro-africains. Nos militaires négro- africains , se sentant offensés, montent au créneau, indignés !

J’ai plutôt l’impression que cette indignation est feinte , et qu’ils jouent la comédie. Je pense que l’on fait là un mauvais procès à ce capitaine , qui n’a fait que relever un constat : que personne parmi eux n’avait tiré le moindre coup de feu, ne serait-ce que pour l’honneur , dit-il ; qu’ils se sont fait cueillir comme des lapins , un à un sans résistance d’aucune sorte, rien est plus vrai !

Le plus surprenant dans tout ça ce sont les réactions , des supposés indignés .Des réactions qui reposent sur des arguments de “défense”’ mauvais , confus, faibles et ridicules du genre , “nous avions été desarmés” ! “Ce bidaan est malhonnête ! il appartient au Système” ! lui même était commandant d’une unité ! Mais là n’est pas la question ! et puis ces arguments invalidaient-ils , tant soit peu , l’assertion de Krombolé qui soutient que “personne n’avait résisté”?

Concédons leur l’argument “nous avons été désarmés” pour avancer .

A supposer que ce fut vrai pour NDB , l’on sait que ce ne fut pas le cas pour Nouakchott et ailleurs dans certaines bases, du moins au tout début des arrestations. Pourquoi ceux-là n’avaient -ils pas résisté, fait usage de leurs armes ? Non , c’est là un faux argument .

Par ailleurs le fait d’être désarmé éliminait –il , nécessairement , tous les moyens ou toute autre forme de résistance, immédiate ou lointaine ?L’humiliation avait été à son comble, nous le savons tous, mais qu’advient –il après les libérations et les radiations massives de ces militaires et para-militaires négro-africains?

Certains furent sommés de se présenter au poste de gendarmerie ou de police toutes les semaines; ils s’y plièrent , presque volontiers ! D’autres choisirent de devenir charbonniers ! Un bon nombre – des centaines – demeura à l’interieur , à Nouakchott , à l’affùt de la moindre annonce pour se faire recruter gardiens d’immeubles ou de magasins , agents de sécurité dans les ambassades. D’autres se terrèrent et se firent simplement oubliés, un grand nombre prit le chemin de l’exil.

Personne , pas un seul ne pensa résister pour laver l’affront de l’humiliation subie !

En exil ils choisirent de garder leurs grades , de s’appeler -mon capitaine , mon lieutenant-!! Pour se donner bonne conscience , ils créèrent un mouvement de défense des “droits de l’hommes” dénommé “Avomm”, qu’ils se dépéchèrent de faire éclater en morceaux, appelés Ocvdh No 1 et No 2 , Camme par- ci, Odh et que sais-je encore , par là ! De grâce n’intentons pas un procès à Krombolé , qui n’a fait que rappeler un fait d’histoire, à savoir que face à leur traitement humiliant vécu dans les casernes de ould Taya, les militaires et para-militaires négro-africains, n’avaient opposé aucune résistance. Ni sur le coup ni plus tard !

S’il faut leur reconnaitre le mérite de s’être redréssés, et d’avoir eu le toupet d’oser, comme d’autres qui les avaient précédés, afin d’exiger respect et dignité, il nous faut aussi dire qu’ils avaient failli d’aller jusqu’au bout des exigences de cette même dignité .

Personne, pas un seul ne pensa résister pour laver l’affront de l’humiliation subie ! Personne ou presque …

Tel est ce que l’histoire retiendra.

Farba Galo Seck. Nouakchott-Mauritanie.

www.flamnet.info

www.flamonline.com

 

Mauritanie: Des instructions officielles pour l’enrôlement de Sahraouis à l’état civil

altDes sources sûres ont indiqué à Alakhbar que des instructions officielles ont été données pour l’enrôlement de ressortissants sahraouis dans l’état civil biométrique mauritanien, ce qui explique les chiffres faisant état d’une forte croissance démographique dans le nord pays.
Le correspondant de Alakhbar précise que des tentes ont été secrètement dressées pour accueillir les Sahraouis venus se faire enrôler. Des grandes personnalités politiques mauritaniennes ont également mis leur maison à la disposition des ces arrivants
Les populations de la wilaya du Tiris Zemmour (Nord), connue par son faible nombre d’habitants, et celles de Dakhlet-Nouadhibou (Nord) ont subitement enregistré un taux de croissance démographique spectaculaire entre 2000 et 2012, selon les chiffres actueles de l’Agence Nationale du Registre des Populations et des Titres Sécurisés (ANRPTS), chargée de l’enrôlement.

Entre 2000 et 2012 le nombre d’habitants de la ville de Bir Moghrein, dans la Wilaya de Tiris Zemmour, a augmenté de 2761 à 10514 habitants, soit un taux de croissance de 280%.

La population de la ville de F’derick (Tiris Zemmour) a elle aussi grimpé de 4431 à 7482 habitants, selon les mêmes chiffres.

Pour la même période, la Wilaya de Dakhlet-Nouadhibou a enregistré une hausse de 79516 du nombre de sa population. 91205 habitants sont encore recensés en 2012 contre 11689 en 2000.

L’autre constat est que hormis Tiris Zemmour et Dakhlet-Nouadhibou, aucune autre wilaya du pays n’a jusqu’à ce dimanche 30 décembre 2012 dépassé les statistiques du recensement de 2000.

À noter aussi que dans la plupart des moughatas du pays, le taux de l’enrôlement biométrique se situe, à ce jour, entre 50 et 60 %.

La Mauritanie a lancé le 5 juin 2011 une campagne d’enrôlement massif défini comme étant «la procédure administrative visant la création d’un registre national des populations à travers un recensement de tous les citoyens et des étrangers résidents en Mauritanie.

L’opération est vivement contestée par une partie de la communauté négro-mauritanienne majoritairement du sud. Ils en voient une tentative de leur expulsion administrative du pays.

Source: Al Akhbar