Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Daily Archives: 06/10/2017

Les sirènes alarmantes de Dakar …

Dans un communiqué qui a été rédigé, sur le ton de la déclaration de guerre, des organisations connues par leur hostilité, devenue, à force de puiser dans la légende, légendaire, à l’égard de la Mauritanie, annoncent un point de presse sur ce qu’ils appellent ‘’ la situation des droits humains et des libertés démocratiques dans ‘’ ce‘’ pays.

Ce ‘’ce ‘’ désignant la Mauritanie en dit long sur le solde actif de la haine de notre pays lequel a réussi, à travers la bonne gouvernance, à assurer outre sa sécurité nationale, la paix dans la sous région. Or, c’est justement la paix dans la sous région qui dérange le plus ces organisations qui jouent aux cassandre et qui cherchent dans la malédiction des temps reculés et, parfois actuels, la matière pour attiser, les troubles et la confusion au niveau d’une opinion prise en otage.

En tout cas Dakar n’est pas le lieu saint pour traiter les maux dont on accuse la Mauritanie. Ainsi par exemple, s’agissant de la question de l’esclavage en Mauritanie, les organisateurs seraient mieux inspirés de convoquer l’Ex président Wade qui prétend que Maky Sall est son esclave. En ce qui concerne la pauvreté qui est débordante dans les rues de Dakar, les organisateurs qui pratiquent la mendicité humanitaire feraient mieux de consacrer leur solidarité avec les foules des mendiants qui sont marginalisées au Sénégal.

Pour la corruption, il suffirait à ces donneurs de leçons, de convoquer le frère de l’actuel Président Sénégalais pour leur expliquer le secret des experts en la matière. Il reste qu’en attaquant la Mauritanie à partir de Dakar, les héritiers de forces de la haine et de la division entre les peuples de la région, cherchent à réveiller les vieux démons. C’est dans ce sens que retentissent, à nouveau, les sirènes alarmantes de Dakar.

Sidi ould Mohamed Ahmed

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Sénégal – Mauritanie : Pourquoi Macky danse avec le « diable »

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La sécurité des sénégalais en Mauritanie est la préoccupation qui pousse l’Etat sénégalais à épouser des choix du Président de la Mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz. Et cela va jusqu’à l’interdiction de l’exercice de certains droits fondamentaux de l’homme.

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La dernière exemple en date est la double annulation (lundi 2 et jeudi 5 octobre) de la conférence de presse de droits de l’hommiste mauritaniens et sénégalais, accompagnés de l’opposant mauritanien Biram Dah Abeid.

Seydi Gassame, directeur d’Amnesty International au Sénégal, a expliqué le pourquoi de ces annulations. « Je dois avouer qu’à nous-mêmes également l’Etat du Sénégal nous a exprimé ses préoccupations. Surtout que les bruits entre les deux pays ont tous des répercussions sur les populations. Il y a eu des actes de représailles, soit contre des pêcheurs, soit contre des Sénégalais qui seraient en situation plus ou moins irrégulière en Mauritanie ».

Mohamed Abdel Aziz lui, ne rate pas d’occasion pour montrer sa capacité de nuisance vis-à-vis de des sénégalais établis en Mauritanie. Pas plus tard que le 29 septembre dernier, 13 pêcheurs sénégalais ont été inquiétés puis expulsés par la Police Mauritanienne.

La réaction de l’Agence mauritanienne  de l’information a également été incendiaire, hier jeudi 5 octobre. L’Ami a désagréablement réagi au traitement effectué par l’Agence de presse sénégalaise sur un communiqué des militants du droit de l’homme mauritaniens et sénégalais. L’Agence mauritanienne s’est demandé comment une institution officielle comme l’Aps peut-il publier un communiqué « haineux, mensonger, diffamatoire et hostile à la Mauritanie ». L’Aps a aussitôt retiré le texte en question, au détriment des organisations de droits de l’homme.

Quant à Macky Sall, il ne dispose pas de moyens aussi persuasifs que ceux d’Aziz, pour entrer dans son jeu. En cela, Assane Samb du journal Rewmi a rappelé que « les relations de bon voisinage nous imposent des initiatives communes, des patrouilles militaires mixtes, le partage de certaines ressources minières découvertes çà et là ».

Mais au rythme où vont les choses, avec Aziz qui mène la danse, ce sont les prémices d’une situation chaotique qui s’annoncent. L’Etat sénégalais devrait se ressaisir et faire de telle sorte que notre démocratie ne soit assujettie au rythme de ce « diable » de dictature qui perdure en Mauritanienne.

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