Daily Archives: 24/06/2016
URGENT: “KARIM WADE LIBRE”, s’envole au Qatar !
C’est officiel, Karim WADE a été libéré vers 1h30mn, dans la grande discrétion. Aussitôt, il s’est envolé vers le Qatar après un passage chez Madické NIANG précisément vers 2h45mn à bord du jet privé ” Qatar exécutif”. Des sources renseignent que ce sont ses amis qui lui ont envolé un jet privé.
Cette libération n’est point une surprise. Elle intervient dans un contexte où le Président avait lui-même fait part de sa volonté d’offrir sa grâce à Karim WADE et ce, avant la Korité.
Des rumeurs indiquait que Karim passerait à Touba juste après. La réalité est tout autre. Au moment ou ces lignes sont écrites (3h06mn), il est à l’aéroport Léopold Sédar SENGHOR et devrait se rendre dans quelques minutes au Qatar.
NDARINFO.COM
C’est officiel, Karim WADE a été libéré vers 1h30mn, dans la grande discrétion. Aussitôt, il s’est envolé vers le Qatar après un passage chez Madické NIANG précisément vers 2h45mn à bord du jet privé ” Qatar exécutif”. Des sources renseignent que ce sont ses amis qui lui ont envolé un jet privé.
Cette libération n’est point une surprise. Elle intervient dans un contexte où le Président avait lui-même fait part de sa volonté d’offrir sa grâce à Karim WADE et ce, avant la Korité.
Des rumeurs indiquait que Karim passerait à Touba juste après. La réalité est tout autre. Au moment ou ces lignes sont écrites (3h06mn), il est à l’aéroport Léopold Sédar SENGHOR et devrait se rendre dans quelques minutes au Qatar.
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Maurexit : La Mauritanie doit-elle quitter l’Afrique ? Par le Pr ELY Mustapha
Voilà un pays dont le général-dirigeant ne fait que des allers-retours entre les pays asiatiques, l’Arabie Saoudite et les pays du Golfe. Un pays qui ne reconnait pas tous ses enfants négro-africains et qui pourchasse les immigrants africains dans ses rues.
Un pays qui ignore les regroupements économiques africains et rejette leurs affinités. Un pays qui se refuse à être africain, ne doit-il pas quitter l’Afrique ? Ne faut-il donc pas organiser un référendum en Mauritanie pour que ce pays puisse quitter l’Afrique ? Un « Maurexit », à la manière du Brexit.
Si le Royaume-Unipropose à ses citoyens de quitter ou de rester en Europe, pourquoi la Mauritanie n’en ferait-elle pas de même pour l’Afrique ? Mais rassurons-nous comme au Royaume–Uni, les citoyens mauritaniens sont conscients (toutes proportions gardées) de l’enjeu. Aussi, il y a les « pour » et les « contre » et, bien entendu, les sceptiques…
Les partisans du « oui » au Maurexit
Les partisans du « oui » au Maurexit diront que l’Afrique n’apporte rien à la Mauritanie, sinon le désert et l’omnipotence de ses dirigeants, dont le sien y est en bonne place. Que même l’Union Africaine ne lui sert à rien, puisque cette Organisation ne sait que se servir elle-même.
Que ses africains sont pauvres comme Job et qu’ils lui apportent plus de problèmes frontaliers et de moustiques que de projets et d’investissements. Quant aux ressources naturelles de la Mauritanie, elles sont en voie d’épuisement sous l’effet du pillage national et international. Les compagnies minières qui les gèrent sont soit en banqueroute ou en déroute (SNIM, Kinross etc.).
Le poisson, se raréfiant est bouffé à vil prix par les européens sur la base d’un accord de misère et sans prix par les chinois.
Et donc qu’il vaut mieux que la Mauritanie quitte l’Afrique. Aller en Asie, voilà une solution pour les partisans du Maurexit. Il faut que la Mauritanie soit capable de suivre son dirigeant quand il aura quitté le pouvoir…pour aller du côté de l’Arabie Saoudite (puisque le Qatar héberge déjà son prédécesseur).
Les partisans du « Non » au Maurexit
Les partisans du « Non» au Maurexit n’ont (hélas!) pas d’arguments. Ou plutôt si. Un seul : en restant en Afrique, la Mauritanie continuera à bénéficier de la mendicité internationale (aide internationale, dons financiers et en nature et prêts concessionnels) car la Mauritanie est la fille ainée du PAM (Programme alimentaire mondial). Si elle quitte l’Afrique elle ne pourra plus tendre la main et ce sera la fin des haricots.
Car le blé du PAM et de l’aide américaine que reçoit la Mauritanie, c’est l’agriculteur Texan, le mécréant qui dans son ranch là-bas le produit. Et nos oulémas savent que le Mauritanien se nourrit à la sueur du front des nassaras. Quitter l’Afrique serait désastreux aux yeux des opposants au Maurexit. D’autre-part, qui va remplir les poches de ses dirigeants véreux si la Mauritanie ne bénéficie plus de l’aide aux pauvres qui est détournée. Donc, il faut voter « non » au Maurexit.
Les sceptiques du Maurexit
Il reste ceux qui sont sceptiques et qui hésitent entre le « oui » et le « non », mais pour lesquels le Maurexit pose un autre problème plus existentiel : même si par référendum la Mauritanie décide de quitter l’Afrique, comment va-t-elle procéder ?
Certains de nos intellectuels dans le giron du général, réfléchissant proportionnellement à leur mérite au poste, ont proposé qu’on pourrait ramasser à la cuillère, au fur-à-mesure, le désert mauritanien pour le déverser patiemment dans le « Roub’e el khali » (le quart vide du territoire saoudien). Les saoudiens nous le doivent bien puisque nous leur avons bradé les terres fertiles du sud Mauritanien.
D’autres pensent que la solution la plus adaptée, c’est d’attendre qu’avec le réchauffement climatique et la montée des eaux qui va noyer Nouakchott, de déplacer la capitale quelque part hors d’Afrique. Les virées incessantes du général dans la péninsule arabique, seraient liées à cette solution.
De toute façon, le peuple mauritanien conditionné au 99,99% votera massivement « oui » pour le Maurexit. Il ne faut pas lui en vouloir, car depuis qu’il existe, il ne sait même pas dans quel continent il est. Il n’a pu se constituer en nation et son identité il ne la connait pas puisque soumis à des tiraillements identitaires.
Ses arabes lui promettent l’Arabie, ses négro-africains, l’Africanie, ses oulémas, le paradis…et son dirigeant, la zizanie. Il est donc urgent d’organiser un référendum, avant que le général ne prenne le chemin de l’Est, laissant un pays exsangue…en Afrique. Un de plus dans la misère indescriptible du continent.
Pr ELY Mustapha
cridem
Inauguration du nouvel Aéroport International de Nouakchott

Le nouvel Aéroport International de Nouakchott qui porte le nom « OUMTOUNSY» situé à 25 kilomètres au Nord de la ville, a été officiellement inauguré au cours d’une cérémonie organisée en jeudi en fin d’après midi.
Cet événement s’est déroulé en présence du président Mohamed ould Abdel Aziz, des membres du gouvernement, de nombreuses personnalités nationales issues du milieu des opérateurs économiques, des organisations de la société civile et des membres du corps diplomatique accrédités à Nouakchott.
Le dernier vol de l’histoire de l’ancien aéroport de Nouakchott, situé au centre ville, en provenance de Casablanca (Maroc), a été enregistré jeudi à 11 heures.
Quant à la nouvelle infrastructure, elle reçoit son premier vol commercial international en provenance d’Istanbul (Turquie), jeudi à 18 heures (locales et TU).
La création de cet aéroport répond à une option stratégique de la Mauritanie visant à profiter de sa position géographique et de ses énormes potentialités économiques pour attirer l’investissement étranger, selon le président Mohamed Ould Abdel Aziz.
Cette nouvelle infrastructure lourde été réalisée par Najah Major For Works (NMW), une société privée nationale, qui a bénéficié de l’expertise de diverses entreprises étrangères spécialisées, sur la base d’un contrat de Partenariat Public Privé (PPP).
La formule de ce PPP a fait l’objet de plusieurs critiques de l’opposition et de divers observateurs, fustigeant une opération dont le coût global n’a pas été communiqué au contribuable.
Le nouvel aéroport international de Nouakchott est conçu pour une capacité annuelle d’accueil de 2millions de passagers.
Il est capable de recevoir les avions de nouvelle génération de type Airbus A380, suivant des normes conformes aux exigences de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) et de l’Association Internationale des Transports Aériens (IATA).
le calame
Les faux médicaments 25 fois plus rentables que le trafic de drogue
Le figaro – Particulièrement lucratif, le trafic de faux médicaments est en progression constante. Un sévère contrôle douanier dans quinze ports du continent africain a permis de saisir en 9 jours 113 millions de médicaments contrefaits.
Mauvaise nouvelle pour la santé des Africains. Du 26 mai au 4 juin 2014, la pêche aux faux médicaments a été bonne.
De Cotonou (Bénin) à Dar es-Salaam (Tanzanie), quinze ports du continent africain ont fait l’objet d’un sévère contrôle douanier lors de l’opération «Biyela 2» («encerclement» en zoulou) lancée par l’Organisation mondiale des douanes (OMD) et l’Institut de recherche anticontrefaçon des médicaments (Iracm).
Sur 290 conteneurs inspectés, 40 % contenaient de faux produits. Antalgiques, antibiotiques, anti-inflammatoires, antituberculeux… 113 millions de médicaments contrefaits ont été saisis.
«La plupart des cargaisons provenaient de Chine et d’Inde», a indiqué lundi l’OMD en révélant l’opération. Ces trafics, organisés par de petits groupes de truands ou par des bandes plus organisées, sont en progression continuelle, a précisé Bernard Leroy, directeur de l’Iracm.
Des contrôles quasi inexistants
Le crime organisé lié aux médicaments a malheureusement de quoi séduire. Le retour sur investissement est «spectaculaire». Alors que 1000 dollars investis dans le trafic de drogue rapportent 20.000 dollars, le gain dans la contrefaçon de médicaments peut atteindre 200.000 à 500.000 euros, estime Bernard Leroy.
Pis, il est beaucoup plus facile de faire circuler des comprimés multicolores à l’aspect inoffensif que de la drogue, traquée par les polices de nombreux pays.
Enfin, les risques liés à ce trafic sont faibles. Les contrôles sont quasi inexistants et, en cas de procès, les peines sont souvent symboliques.
De quoi faire réfléchir des mafias à la recherche de nouvelles activités. Le principal cartel de drogue mexicain songerait ainsi à s’y reconvertir.
le figaro