Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Monthly Archives: March 2015

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE LA FEDERATION DES FPC AMÉRIQUE DU NORD

Houleyeet Thiam's photo.Le Secrétariat général de la  Fédération des FPC (Forces Progressistes du Changement)-Amérique du Nord informe  que l´Assemblée Générale ordinaire se tiendra le 28 Mars 2015 à 13 :00 heures, à Columbus, Ohio. 

The US and Canada sub-sections of the Progressive Forces of Change(PFC) are honored to invite all of their members to a General Assembly on 03/28/15 @ 1pm.

Adresse :  2100 Brice RD

                   Reynoldsburg, Ohio 43268    

Contact:  

Amadou Ba Président du Comité de Base de Columbus @ 614-209-0915

Houleye THiam Sec Generale -614-589-9708

       

Vu l´importance de cet événement, la présence de tous les militants et sympathisants est vivement souhaitée. 

La lutte continue !

 

Pour le Secrétariat Général 

FPC- Amerique du Nord

 

www.flamnet.info

Trahison du peuple : ATT-DGSE-commandement : « L’Armée a perdu ses repères à partir de 1979″

L'ex-président malien, Amadou Toumani TouréDe son départ de Koulouba le 22 mars 2012 à nos jours, le soldat de la démocratie Amadou Toumani Touré (ATT) est accusé de tous les noms d’oiseau. Après quelques réactions par personne interposée, le libérateur de 1991 n’a jamais daigné se manifester officiellement.

Pourtant, il est aujourd’hui plus qu’opportun que le peuple sache toute la vérité, rien que la vérité. Voici, les résultats de notre enquête auprès de différents acteurs des événements 1968 à nos jours.

Le 26 mars 1991, ATT, par patriotisme mettait fin à un bain de sang avec l’arrestation du Général Moussa Traoré. Achevant du coup le travail abattu par les démocrates pour l’instauration du multipartisme intégral. Celui-ci, c’est-à-dire GMT indique également avoir sauvé la patrie des exactions de Modibo Kéïta et de son clan en 1968. AHS ayant fait fuir ATT de Koulouba suivi de sa démission parle d’avoir mis fin à une trahison du peuple par le GATT. Si AHS est en prison, ATT est en exil et GMT se la coule douce avec son chapelet.

Cependant, pour la vérité, rien que la vérité, mais qui ne saurait être incontestable, nous avons jugé nécessaire de rapprocher des porteurs d’uniformes. Comprenez tout de suite qu’ils préfèrent rester dans l’anonymat. Alors, ils ont parlé.

Le Mali est aujourd’hui face à son destin. Il se bat pour retrouver ses lustres d’antan. A cet effet, il fait encore face à la rébellion, au terrorisme et au jihadisme. Pour se remettre en selle, il lui faut éradiquer ces fléaux. Ce qui passe tout d’abord par la retrouvaille de son unité nationale. Qui reste en souffrance à cause des soutiens obscurs de certains pays européens à l’endroit du Mnla, désormais seul maître à Kidal.

En outre, pour aborder le sujet brûlant de l’heure concernant l’état défectueux de notre armée, il nous est revenu de rencontrer différents acteurs.
« L’Armée a perdu ses repères à partir de 1979″, a dit cet officier en retraite. Il explique : « De l’indépendance jusqu’en 1978, notre Armée était vaillante, brave, se perfectionnait régulièrement. Elle a commencé à devenir politique, bureaucrate, finalement elle a été pourrie. »

A la question, pourquoi 1978, notre interlocuteur indique : « Lorsqu’après plusieurs tentatives d’échecs de création du parti unique, Moussa Traoré est parvenu à éliminer un à un ceux qui pouvaient lui tenir tête jusqu’en 1978, il créa l’UDPM (union démocratique du peuple malien) en 1979. Depuis, il s’est plus occupé de la politique que de l’armée. Il l’a politisée. C’est à partir de là que les porteurs d’uniformes au Mali sont devenus des pachas, des fils à papa. Certaines corporations incontournables dans la sécurité d’un Etat ont été mises en second plan. Je m’en presse de vous dire que si les chasseurs et les anciens combattants ne nous avaient pas appuyés en 1985 contre le Burkina, c’était le chaos.

Bon, je souhaite que le président IBK, un homme de cœur, puisse nous sortir de là. Sinon, accuser ATT, pour moi, ne tient pas. Encore moins la DGSE ou le Commandement. La plaie ou la déroute même du Mali date de la création de
l’UDPM où tout est devenu familial, copinage.  »

Pour cet autre officier en retraite, ancien de la SE : « Le Mali a dérouté à partir du coup d’état de 1991. En 1991, lorsqu’ATT et son clan ont fait le putsch et qu’Alpha Oumar Konaré est devenu président de la République, il avait autres priorités. Il a oublié que la vie d’un Etat est d’abord sa Sécurité. Mais je ne l’en veux pas car il rencontrait régulièrement ATT pour parler de Sécurité. Que disait ATT ? Que proposait ATT ? Alors, pour moi pendant les 10 ans d’AOK, c’est ATT qui a géré l’Armée.

Donc, je l’accuse sur ce seul point bien vrai qu’il ne prenait pas de décision il en influençait. Ensuite, il arrive au pouvoir, pendant 2 ans, il s’est attelé à réconcilier le peuple (partis politiques). Normal car la vie d’un Etat, c’est la politique.

Ensuite, il a fait un clin d’œil à l’Armée lorsqu’il a commencé à fréquenter Mouammar Kadhafi. Mais, la situation était telle que l’armée était trop pourrie avec de nombreux clans en son sein. Notamment de jeunes intellectuels arrivés pour commander des vieux sacerdoces. Il y eut beaucoup de frustrés et de frustrations.

Alors, ATT, malgré ses efforts, ses achats d’armement faisait face à des jeunes playboys qui pensaient plus à la jouissance que d’affronter les réalités militaires. Finalement, tout bascule. »
Toujours, pour éclairer la lanterne de l’opinion nationale et internationale, un membre de la junte accepte de témoigner. Pour lui : « ATT a une double responsabilité.

D’abord, en sa qualité d’homme de paix, il ne devait pas accepter l’arrivée d’hommes avec armes et bagages sur notre territoire. Sachant que les armes qu’ils possèdent sont plus sophistiquées que les nôtres. Ensuite, ce qui est grave, ATT, je ne sais pas pour quel intérêt, a collaboré avec les différents groupes rebelles. Il était avec son commandement dans plusieurs sales affaires. Malgré les dénonciations et les avertissements de la SE, il a persisté. Finalement, le destin du Mali a basculé.

Cependant, je reconnais notre faiblesse. C’est-à-dire que depuis 1997, tous les éléments recrutés et formés seulement au Mali n’ont pas été bien formés. Et ATT, à son arrivée en 2002, en tant que militaire, n’a pas songé à corriger la situation. Il s’est laissé embobiner
par certains de ses proches qui lui disaient tout sauf la vérité. »

En effet, après avoir écouté plusieurs porteurs d’uniformes, nous sommes parvenus à un constat, ces trois intervenants disent globalement ce que pensent les autres.
En conclusion, pour notre part, la situation de notre armée est celle de tous les autres secteurs d’activités du pays. Donc, disons que nous sommes tous responsables de la situation « An bè no do ». Il reste à se regarder en face en prônant : LE DIALOGUE et LA RECONCILIATION. Seul gage qui pourra remettre notre pays sur les rails. Oublions le passé, remettons-nous au travail pour notre fierté, notre bonheur et l’honneur de notre pays. Ainsi, sans calcul politicien, comme un seul homme, les groupes rebelles y compris, soutenons IBK et son gouvernement pour le retour de la paix dans notre pays, le MALI UN ET INDIVISIBLE.

Que Dieu bénisse le Mali!

Boubacar DABO

Source: Zénith Balé

 

 Mali jet

Sénégal : Karim Wade désigné candidat du PDS pour la prochaine présidentielle

Karim Wade est détenu depuis deux ans.À 48 heures du jugement de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), le Parti démocratique sénégalais (PDS) vient de désigner Karim Wade comme candidat officiel en vue de la prochaine présidentielle.

C’est sans grande surprise que Karim Wade a été investi, ce samedi 21 mars, candidat officiel du Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition) à la prochaine élection présidentielle. Désigné par le bureau politique, avec 257 voix sur 268 votants, face à quatre autres candidats de second rang –  trois autres s’étaient désistés à son profit en dernière minute  –, le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade savait pouvoir compter sur le soutien assumé de certains cadres importants comme Oumar Sarr, le coordinateur national, et avait bénéficié de la défection de plusieurs poids lourds initialement pressentis comme de possibles candidats, tels que l’ancien premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye ou le président du groupe libéral à l’Assemblée, Modou Diagne Fada.

Ce nouveau statut reste toutefois très virtuel quand on sait que l’intéressé, incarcéré depuis près de deux ans, sera fixé lundi 23 mars sur le sort que lui réserve la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Pas moins de trois obstacles majeurs sont en effet susceptibles d’entraver sa candidature lors de la prochaine présidentielle, laquelle pourrait se tenir en 2017 si le référendum que compte organiser Macky Sall sur la réduction de son mandat de sept à cinq ans est entériné par les électeurs en 2016. En premier lieu, une peine supérieure à quatre ans de prison confinerait Karim Wade derrière les barreaux jusqu’au lendemain du scrutin. Par ailleurs, ce dernier est également passible d’une privation de ses droits civiques –  ce qu’a requis contre lui le procureur spécial de la Crei – qui rendrait, là aussi, sa candidature caduque. Enfin, disposant de la double nationalité française et sénégalaise, il ne remplit pas actuellement les conditions d’éligibilité imposées par la Constitution.

Dans ce contexte, les primaires de circonstance improvisées par le PDS en une quinzaine de jours semblent donc avoir un objectif principal  : donner à sa condamnation pour enrichissement illicite –  que chacun devine probable au vu du déroulement du procès et des peines requises par le Parquet spécial  – une coloration éminemment politique. Au lendemain du week-end, ce n’est pas l’ancien ministre du Ciel et de la Terre ni le fils de l’ex-président qui serait condamné à une peine de prison ferme, mais le candidat officiel du principal parti d’opposition.

 

 Jeuneafrique.com

L’ex officier Dia Ousmane samba nous a quittés : Cinq ans déjà !

L'ex officier Dia Ousmane samba nous a quittés : Cinq ans déjà !OCVIDH – C’était le 20 Mars 2010, à 08h10, la nouvelle nous venait douloureusement, impuissamment de l’hôpital de Ris Orangis dans l’Essonne en France, il s’agissait du décès d’un fils valeureux de la Mauritanie, l’ex officier Dia Ousmane Samba, connu dans son engagement pour la promotion des droits de l’Homme en Mauritanie mais surtout sur ces nombreuses qualités humaines, de tolérance, de respect, d’altruisme, d’amour pour les autres et de son éternel dévouement et alignement à la parole d’Allah, qui forcent l’admiration et le respect de tous les camarades d’où le surnom de la force tranquille.

L’organisation contre les violations des Droits de l’Homme (OCVIDH) à l’occasion du cinquième anniversaire de sa disparition lui rend un hommage appuyé et prie le tout puissant de lui accorder son pardon et sa clémence. Que l’ensemble de ces œuvres de bienfaisance dans notre monde ci-bas lui servent de parapluie et de passeport dans le monde de la vérité et de l’éternité.

L’OCVIDH, témoigne, de la sincérité de ce grand baobab de la lutte contre les discriminations et du racisme d’état en Mauritanie, son nom ,restera inéluctablement parmi les illustres fils de ce pays, qui malgré les aléas de la nature, les tentations et les manœuvres de tout genre sont restés fidèles à leur conviction et moralité et pour l’intérêt suprême de notre pays, c’est à dire une Mauritanie, plurielle ,réconciliée avec l’ensemble de ces fils et filles .

Oui , Ousmane Samba Dia repose en paix l’OCVIDH se souviendra toujours de toi. Qu’Allah le tout puissant te compte parmi ces hotes privilégiés. Amen. Inna Li laahi wa inna ileyhi rajioune.

Pour le bureau exécutif de l’OCVIDH
Site :www.ocvidh.org
ocvidh001@wanadoo.fr

Washington menace de retirer son soutien diplomatique à Israël

altLe gouvernement américain a affirmé jeudi qu’il réévaluerait son soutien diplomatique à Israël au sein de l’ONU si l’État hébreu n’adoucissait pas sa ligne politique envers les Palestiniens. Netanyahou semble avoir entendu le message.

La situation est de plus en plus tendue entre Israël et Washington. Malgré les félicitations de Barack Obama à Benjamin Netanyahou pour la victoire de son parti aux législatives israéliennes, les États-Unis ne cessent de hausser le ton contre leur allié historique. En cause : les propos de Benjamin Netanyahou sur son opposition formelle à la création d’un État palestinien.

Dernière semonce en date : jeudi 19 mars, la Maison Blanche a indiqué qu’elle allait “réévaluer” son soutien diplomatique à Israël au sein de l’ONU. Cet éventuel changement de position de Washington au Conseil de sécurité de l’ONU pourrait permettre l’adoption d’une résolution sur une solution à deux États le long des frontières d’avant 1967.

“Les décisions prises par les États-Unis aux Nations unies étaient basées sur cette idée d’une solution à deux États”, a déclaré Josh Earnest, porte-parole de Barack Obama, visiblement irrité par le durcissement du discours de Netanyahou.”Maintenant que notre allié [Israël] a dit qu’il n’était plus engagé dans cette voie […] cela signifie que nous devons réévaluer notre position sur ce sujet et c’est ce que nous ferons”, a-t-il ajouté, prenant soin de préciser qu'”aucune décision” n’avait été prise à ce stade.

Netanyahou nuance ses propos sur la création d’un État palestinien

Intimidation ou non de la part des Américains, cette “menace” diplomatique a conduit le Premier ministre israélien à changer son fusil d’épaule. Plus question de s’opposer formellement à la création de deux États. “Je ne veux pas d’une solution à un État. Je veux une solution durable à deux États. Mais, pour cela, les circonstances doivent changer”, a déclaré le chef du gouvernement sortant à la chaîne américaine MSNBC.

Il a également demandé que les Palestiniens “s’engagent dans des négociations de paix sincères” avec Israël et “abandonnent leur pacte” avec le mouvement islamiste Hamas. “Nous avons besoin de la reconnaissance d’un État juif et d’une vraie sécurité afin d’avoir une solution à deux États qui soit réaliste”, a-t-il ajouté.

Abbas refuse de négocier avec le futur gouvernement de Netanyahou

Reste à convaincre le président palestinien Mahmoud Abbas. Et l’affaire s’annonce mal engagée. Ce dernier a estimé jeudi qu’il serait impossible de négocier un État palestinien avec un gouvernement mené par le Premier ministre israélien sortant.

“Les déclarations de Benjamin Netanyahu contre la solution à deux États et les appels de son ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman à tuer les Arabes d’Israël prouvent, si elles sont vraies, que le gouvernement israélien ne veut pas sérieusement d’une solution politique menant à l’instauration de deux États sur la base des résolutions internationales, dont un État de Palestine dans les frontières de 1967 et ayant pour capitale Jérusalem-Est”, a affirmé Mahmoud Abbas.

Le chef des Palestiniens n’a pas non plus l’intention de revenir sur les poursuites judiciaires qu’il compte engager contre l’État hébreu pour “crimes de guerre”. “C’est notre droit de saisir toutes les institutions internationales pour y faire respecter nos droits et appliquer les résolutions internationales”, a-t-il encore déclaré.

 

France24.fr