Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Daily Archives: 05/08/2020

Aboubacry Ndongo, une figure emblématique de la lutte contre le système raciste et esclavagiste s’est éteint à Orléans

'Aboubacry Ndongo, une figure emblématique de la lutte contre le système raciste et esclavagiste s'est éteint aujourd'hui à Orléans La lutte contre le système raciste et esclavagiste en Mauritanie a perdu un un militant infatigable, un camarade intégre et dévoué aux valeurs de l'humanisme, de la tolérance et de la liberté. Nous ses camarades des flam aux fpc, perdons un digne et fidèle compagnon de lutte, un ami et frère généreux, très aimable et humain. Il est un des piliers du MEEN qui a oeuvé pour la réunification des organisations qui ont fusionné et donné naissance aux Forces de Libération Africaine de Mauritanie (flam), le 23 mars 1983 à Nouakchott. Il fut un cadre très discret, qui n'a jamais cherché à se propulser sur le devant de la scène médiatique, mais très respectueux, efficace et aliait la pertinence et l'élégance même dans des moments difficiles et débats très houleux. Comme ses camarades d'infortune, il a subi  de plein fouet les affres du racisme d'Etat, il a vécu loin de sa famille en exil au Sénégal et en France non sans réelles difficultés. En dépit de nombreux sacrifices consentis et les aléas très contraignants liés à l'exil, ceci n'entamera en rien ni son militantisme d'homme très engagé, ni le courage et la persévérance de ses idées pour une Mauritanie débarrassée du racisme et de l'esclavage. Abou N'dongo était un grand combattant de la liberté. Il fut un militant et cadre d'une simplicité et de modestie sans commune mesure, il aimait travailler et agir dans l'ombre pour faire briller les autres. Notre aîné Abou N'dongo a vécu en homme modeste, humble et fidèle à ses fortes convictions. C'est ainsi qu'il s'est allé dans la discrétion. A l'instar de nos camarades et compagnons de lutte qui t'ont précèdé sur cet inévitable et fatal  chemin menant vers la mort, cher désormais, feu camarade dindi Aboubacry N'dongo, tu es parti, mais tu resteras à jamais gravé dans nos mémoires. La lutte contre le système raciste et esclavagiste en Mauritanie a perdu un un militant infatigable, un camarade intégre et dévoué aux valeurs de l’humanisme, de la tolérance et de la liberté. Nous ses camarades des flam aux fpc, perdons un digne et fidèle compagnon de lutte, un ami et frère généreux, très aimable et humain.

Il est un des piliers du MEEN qui a oeuvé pour la réunification des organisations qui ont fusionné et donné naissance aux Forces de Libération Africaine de Mauritanie (flam), le 23 mars 1983 à Nouakchott. Il fut un cadre très discret, qui n’a jamais cherché à se propulser sur le devant de la scène médiatique, mais très respectueux, efficace et aliait la pertinence et l’élégance même dans des moments difficiles et débats très houleux.

Comme ses camarades d’infortune, il a subi de plein fouet les affres du racisme d’Etat, il a vécu loin de sa famille en exil au Sénégal et en France non sans réelles difficultés. En dépit de nombreux sacrifices consentis et les aléas très contraignants liés à l’exil, ceci n’entamera en rien ni son militantisme d’homme très engagé, ni le courage et la persévérance de ses idées pour une Mauritanie débarrassée du racisme et de l’esclavage.

Abou N’dongo était un grand combattant de la liberté. Il fut un militant et cadre d’une simplicité et de modestie sans commune mesure, il aimait travailler et agir dans l’ombre pour faire briller les autres. Notre aîné Abou N’dongo a vécu en homme modeste, humble et fidèle à ses fortes convictions. C’est ainsi qu’il s’est allé dans la discrétion.

A l’instar de nos camarades et compagnons de lutte qui t’ont précèdé sur cet inévitable et fatal chemin menant vers la mort, cher désormais, feu camarade dindi Aboubacry N’dongo, tu es parti, mais tu resteras à jamais gravé dans nos mémoires.

” Ta vie fut combattante, ton sacrifice sacré, et ta mémoire éternelle”.

Nous présentons nos sincères et attristées condoléances à sa famille epleurée et à notre distinguée sœur Haby N’dongo, très peinée, ainsi qu’à l’ensemble de nos militants et militantes et au delà à tous ses camarades.

Que la terre lui soit légère,
Que fiirdawsi soit sa dernière demeure éternelle.