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Noms des personnes les plus en vue qui ont acheté des terrains publics au cours de la dernière décennie
Adrar-Info – Al-Akhbar a obtenu les noms des personnes les plus en vue qui ont acheté des terrains publics, au cours des dernières années, dont des établissements officiels et des écoles publiques. Lesquelles parcelles ont été vendues aux enchères publiques.
La commission d’enquête parlementaire avait recommandé d’annuler la vente de parcelles de terres publiques au cours de la décennie. Aussi, la police de la criminalité économique a commencé ces derniers jours à convoquer les acheteurs et à les interroger sur les circonstances de la vente, le déroulement de la transaction et l’emplacement des parcelles de terrain.
La commission d’enquête parlementaire a également noté que de nombreuses parcelles de terrain vendues par le gouvernement, relevant de l’école de police et du stade olympique,avaient été acquises par la société SMIS SARL, propriété d’une figure connue de la famille de l’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz.
La recommandation de la CEP soulève un problème juridique concernant ces parcelles, en particulier pour les particuliers qui les ont obtenus aux enchères publiques.
Le nombre de personnalités et d’institutions dont les noms figurent dans les registres de vente de terres publiques approche 80 noms
Parmi les institutions les plus importantes qui ont vendues , au cours des dernières années figurent les bâtiments gouvernementaux qui abritaient le premier gouvernement du pays,connus sous le nom «Blocs » (Blocat) , ainsi que la façade du stade olympique, le côté de l’école de police, la compagnie d’escortes et la cité police, en plus des parcelles de la télévision d’État.
En outre, de nombreuses écoles publiques ont été vendues, notamment l’école du marché, l’école de justice, l’école n ° 7 et l’école Tavragh Zeina.
D’autres parcelles de terrain ont également été vendues à Nouakchott et Nouadhibou.
Voici les noms les plus importants des personnalités et des institutions qui ont acheté les parcelles publiques :
Espace des « blocs (blocat)
1. La Banque centrale de Mauritanie
2. Ehel Ghadda
3. Snim
4. Assurances
Stade olympique:
5. SNEFpour le transport
6. Sahel TV
7. VMPP
8. WSI
9. WSI
10. Mohamed Moussa Muhamed Abdullah Omar
11. Mohammad Salem Sharif Habib Allah El Avdal
12. Muhamedd Fal Muhammad Mahmoud
13. Moulaye Idris Abbas
14. Abdullah Eshwail
15. Messakin
16. Mohamad Fadel Ould Wali
17. Muhamad Lemine Ahmed Babatt
18. Muhammad Lemine Ahmed Babatt
19. Fondation Abdullah Ould Veten
20. Khalil Omar
21. Khalil Sidi Muhammad Omar
22. Chinguittel
23. Ahmed Ould Abdel Jelil
24. La Banque commerciale mauritanienne
25. Fondation Al-Fateh
Télévision Natioanale
26. Ely Chikh Ahmed Yaqoub Al-Khorshi
27. Abd al-Qadar Muhammad Abdullah
Compagnie des escortes:
28. La Banque islamique de Mauritanie
29. d’Al-Abbas Sidatt Teyyib
Cité de la police:
30. La Banque mauritanienne d’investissement
École de police:
31. La nouvelle banque de Mauritanie
32. Muhamed Mahmoud Mohamed Abdullah
33. SM SERMA
École n ° 7:
34. Abd al-Wadud Abu Abd al-Moumine
35. El Veta Mohammad Majmoud Lemine
36. Fondation Al-Fath Ould Mohammad Al-Fath Azwad
37. Hamden Bah Mohammed
38. Idoumou Muhammad Salem Ahmad Medji
39. Muhammad Horma , Al-Khalif Al-Main
40. Muhammad Lamine Bab Jemna
École de marché:
41. Chighaly Ould Amara
42. Mohamed Ould Emara
43. Muhammad Salem Ould Bellahi
44. Sid Ahmed Ely El Kory
45. Benna Abdullah
École Tevragh Zeina :
46. Aver Plast
47. Al-Hussein Aly Mhaimed
École de justice:
48. Muhammad Yahya Muhammad al-Yadali
Source : https://alakhbar.info/?q=node/27633
Traduit par adrar.info
FLAMNET-RETRO: Quelques extraits de l’article “Pour une coopération plus éclairée” du president Samba Thiam
En raison du contexte national actuel, l’accaparement et le bradage des terres de Darel Barka dans la vallée du fleuve Sénégal, flamnet se propose de rediffuser sur sa rubrique ”RETROSPECTIVE” quelques extraits de l’article du Président Samba Thiam , intitulée ‘’ pour une coopération plus éclairée ‘’, portant sur la spoliation des terres des populations dans la vallée du fleuve.
bonne lecture!!
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Pour une coopération plus éclairée…
….Ce qu’il faut déplorer dans cette situation c’est qu’il se trouve, hélas, des partenaires internationaux qui, consciemment ou inconsciemment , accompagnent cette politique ; en effet, certaines institutions internationales, certains partenaires étrangers participent de cette dangereuse entreprise de spoliation, par leur apport multiforme dans ce secteur ; a travers leurs programmes d’appui, leurs financements …Or sans crever l’abcès, c’est-à-dire sans œuvrer au rétablissement préalable de la vérité sur l’occupation des terres-qui possède quoi-, sans affirmation claire du caractère intangible du droit de propriété, sans apaisement des rancœurs et des frustrations accumulées toutes ces années à cause des injustices nombreuses , il ne serait ni judicieux, ni raisonnable de s’engager dans ce secteur . Il serait illusoire de vouloir exploiter de manière efficiente et productive ce secteur agricole durablement ; illusoire d’espérer en tirer des bénéfices probants ; plutôt, on risquerait de créer ou précipiter les conditions d’instabilité explosive, sans plus. A titre d’illustration, peut–on légitimement envisager un projet d’exploitation ou d’extension des manguiers des femmes de Thiembene sans risques ? Serait-il moralement juste de s’approprier le fruit de leur labeur pendant des années, de transformer de facto un cas de flagrante injustice en fait accompli, définitivement accompli ?
Enfin il ne faut pas que la raison de sécurité l’emporte sur celle (des risques) du chaos social éminemment plus dangereux…
Attention toutefois, que l’on nous entende bien : la vallée du fleuve doit voir son potentiel agricole mis en valeur, exploité au bénéfice de tout le peuple mauritanien. Seulement, ce développement devra tenir compte de certains principes, reposer sur la concertation avec les populations concernées à associer, respecter l’espace vital des villages et certains droits séculiers (accès à la terre pour les paysans, accès au fleuve pour les pécheurs, couloirs de parcours et d’accès à l’eau pour les éleveurs). Ainsi et ainsi seulement, on s’acheminerait vers un développement réfléchi, apaisé, qui profiterait à tous. Voilà pourquoi nous pensons que tout plan d’exploitation de cet espace devrait se décliner en paliers, ci-après :
–La Zone du ‘’ Waalo’’- ou partie inondable- sera affectée aux populations locales que l’Etat accompagnera
– Les investisseurs nationaux et sous–régionaux se verront attribuer le moyen Dierri -12km du fleuve,
-Les Investisseurs internationaux (le grand capital ) occuperont le haut Dierri -20km du fleuve et au de-là-.
Enfin s’il y a réforme foncière, elle devra être une, la plus équitable possible, applicable du Nord au Sud, d’Est en Ouest avec la même impartialité.
D’ores et déjà nous ne pouvons que déconseiller fortement tout financement de projets agricoles de partenaires dans la vallée du fleuve, avec le statu-quo actuel ; tout comme nous décourageons les appuis au secteur de la justice dans laquelle Negro-africains et haratines ne se reconnaissent pas ; Ils n’y sont pas représentés, ne peuvent s’y exprimer (N-africains), ni en attendre des verdicts impartiaux. Une justice enfin, où on ne donnait pas aux juges honnêtes de dire le droit. A nos yeux l’appui visant à ‘’ rendre cette justice plus forte,’’ comme se le proposent certains partenaires au développement, mérite d’être questionné, car il ne serait pas de nature à favoriser la cohésion nationale, pour accentuer et consacrer la marginalisation des Négro-mauritaniens….
Samba Thiam
President des Forces Progressistes du Changement – FPC
Nouakchott, le 31 Juillet 2016
DÉCLARATION DE PRESSE DES FPC
Depuis quelques semaines nous assistons encore à la reprise des opérations de spoliation et d’accaparement des terres des populations dans la vallée du fleuve.
C’est une suite logique de la même politique d’expropriation programmée depuis la fameuse réforme de 1983. Le régime du président Mohamed Ould Ghazouani, comme ses prédecesseurs, procède, sans scrupule, au bradage du peu de terres qui restaient encore aux paysans de la vallée. Il a fallu une résistance patriotique des populations de Darel Barka pour que le régime mette pédale douce sans pour autant renoncer à la volonté acharnée de colonisation des terres de la vallée.
Les FPC dénoncent avec vigueur cette politique scélérate de privation et d´assujetissement des populations de la vallée.
Les FPC apportent leur soutien patriotique aux vaillantes populations de la commune de Darel Barka qui ont compris qu’il en va de leur avenir et celui de leurs enfants que défendre leur espace vital et leur patrimoine séculaire.
Les FPC profitent de l´occasion pour réaffirmer leur position de toujours et leur proposition par rapport aux problèmes de la tenure foncière.
Les terres alluviales de la vallée du fleuve constituent un patrimoine national devant profiter à l’ensemble des Mauritaniens. Il relève du bon sens que leur gestion soit régie par les lois de la République. Tout comme ces mêmes lois devraient s’appliquer avec la même rigueur et avec impartialité à toutes nos terres utiles et arables, qu’elles soient au nord ou au centre de notre pays.
La terre constitue un bien économique précieux, fortement chargé d’émotion par tradition et culture en Afrique noire. Pour son exploitation durable, rationnelle et fondée sur la justice, notre réforme foncière devra, dans un souci de préservation de la paix sociale, reposer sur les principes ci-après:
– Les lois et valeurs qui ont toujours régi la gestion et la préservation de ces terres doivent être reconnues et valorisées. Ainsi, l’accès à la terre doit d’abord et en priorité revenir aux autochtones aidés et soutenus par les moyens de l’Etat pour sa mise en valeur. Le droit des propriétaires terriens sera donc reconnu tout en faisant place aux nationaux sans- terres.
Suivant cette logique d’apaisement et du devoir de solidarité nationale, les attributions et accès à ces terres s’établiront comme suit: aux populations locales, les surfaces inondables du walo, aux investisseurs nationaux et sous-régionaux, le moyen Diéri et à l’agro-business étranger, le haut Diéri.
L’exploitation des terres du fleuve se fera dans un équilibre qui préserve les droits séculiers des paysans (accès à la terre ), des pêcheurs ( droit – fluvial – de pêche) et des éleveurs ( droit-pastoral par la création de couloirs de parcours et d’accès au fleuve pour le bétail ). L’environnement immédiat des villages – espace vital – sera préservé.
Il faut certes développer notre agriculture en la modernisant, en vue d’arriver à l’auto-suffisance alimentaire du pays, seulement cela devra se faire en concertation avec les populations, dans l’intérêt bien compris et assumé des paysans, des éleveurs et des pêcheurs associés.
La lutte continue!
Nouakchott le 25 août 2020.
La CVE/VR soutient les paysans de Darel Barka
CVE/VR– La CVE/VR suit avec inquiétude le développement de l’affaire dite de Darel Barka, dans la Moughataa de Boghé, où l’Etat s’entête à vouloir exproprier les propriétaires légitimes des terres de Karawlat Woullou N’diaye, attribués, sous forme de bail, à la multinationale AAAID en 2015.
La CVE/VR ne peut que saluer la résistance pacifique, mais ô combien héroïque, des paysans face à la brutalité de l’Etat qui, au lieu de les protéger, cherche à en faire des citoyens de seconde zone en les dépouillant de leurs terres qui représentent leur unique moyen de subsistance.
Au-delà du cas de Darel Barka, c’est la politique systématique de spoliation des terres de la vallée, entreprise avec la réforme domaniale de 1983 dont l’application se limite curieusement à la seule région du fleuve, qui doit cesser.
Il est aberrant de voir aujourd’hui des villages entiers, à l’exemple de Donaye, privés de leurs espaces vitaux à cause de cette voracité de l’Etat et qui n’ont d’autre choix que d’aller enterrer leurs morts de l’autre côté du fleuve, en territoire sénégalais. La CVE/VR :
– Condamne de la manière la plus ferme la répression policière contre les paysans de Darel Barka et tient l’Etat pour seul responsable des conséquences de cette politique injuste qui porte atteinte à la quiétude et à la paix sociale dans la région ;
– Exprime toute sa solidarité avec les paysans de Darel Barka et encourage ceux de toutes les autres localités victimes de tentatives d’expropriation à se mobiliser et à résister pacifiquement mais fermement à cette spoliation programmée ;
– Appelle à une réforme foncière nationale plus juste ne ciblant pas la seule vallée du fleuve et qui tienne compte du droit coutumier.
Enfin, la CVE/VR rappelle que le bon sens veut que toute entreprise de développement s’appuie d’abord sur l’adhésion des populations censées en bénéficier.
Nouakchott, le 24 août 2020
La Cellule de Communication
Le pacte de l’ex président Aziz avec le diable djihadiste – Mondafrique
Mondafrique-L’ex Président Aziz, indiquent plusieurs médias mauritaniens bien informés, aurait tenté, la veille de sa convocation par la police financière et son placement en garde à vue, de fuir la Mauritanie vers le Nord Mali avec l’aide des réseaux djihadistes liés à Aqmi.
Ce qui n’est pas une surprise quand on examine les accords secrets, encore que connus des services secrets occidentaux, entre l’ex chef d’Etat et les terroristes.
Avec une duplicité incroyable, l’ex président mauritanien Aziz s’est toujours affiché, durant dix ans, comme l’allié fidèle des Américains et des Européens contre le péril terroriste dans la région du Sahel.
La communauté internationale a voulu croire à cette fable, alors qu’elle disposait de sérieux éléments de preuve sur la complicité du Président mauritanien avec les terroristes. En effet, un texte d’Oussama Ben Laden, déclassifié par l’administration américaine, montrait qu’Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI) avait signé, en 2010, un accord de non agression avec le pouvoir mauritanien.
D’après cet écrit dont la très sérieuse agence Reuters avait obtenu un double, les amis de Ben Laden s’engageaient à ne pas commettre d’attentats sur le sol mauritanien. En échange et toujours d’après ce document, le gouvernement mauritanien devait cesser de mener des attaques contre les positions d’AQMI.
La tentative récente de l’ex Président de quitter son pays en s’appuyant sur les réseaux djihadistes confirme ces informations. Le chef d’état mauritanien avait bel et bien conclu un pacte avec le diable djihadiste?
Solidarités tribales
On comprend mieux comment, avec de telles complicités, la Mauritanie a été en gros épargnée par les attentats ces dernières années. Cet accord explique aussi pourquoi le président mauritanien avait refusé, durant l’opération Serval menée en 2013 par la France au Nord Mali, d’apporter la moindre aide militaire au sol à son allié français.
A l’époque, on avait expliqué ce lâchage par les solidarités tribales entre les maures mauritaniens et les communautés arabes ou touaregs maliens. Il était difficile, plaidait-on, pour le pauvre Aziz de se battre contre ses frères et cousins. De plus, beaucoup d’Imams en Mauritanie, souvent d’obédience salafiste et financés par l’Arabie Saoudite, avaient pris violemment partie dans les mosquées contre l’intervention française.
Aveuglés par leur vision d’une Mauritanie, « rempart contre le terrorisme », beaucoup dans les entourages gouvernementaux et dans les médias voulaient croire encore à l’agilité tactique du président Aziz, capable d’une main d’abriter une antenne de la DGSE française et de l’autre de caresser dans le sens du poil de la barbe les religieux les plus rétrogrades.
Duplicités mauritaniennes
Il ne s’agissait pas seulement d’un pacte de non agression, comme certains pays au Sahel ont été tentés d’en passer. Ainsi ll’ex président burkinabé Blaise Campaoré avait pu trouver des arrangements avec certains touaregs extrémistes. Il s’agissait pour ce chef d’Etat roué de préserver une la paix sociale sur un territoire bordé par la Libye et le Nord Mali, tout en agissant comme intermédiaire utile pour ses amis occidentaux frappés par des enlèvements d’otages.
En 2010, le président Aziz allait beaucoup plus loin. Chaque année, prévoit ce pacte du diable, Nouakchott devait verser une somme allant de 10 à 20 millions d’Euros aux petits soldats d’AQMI pour éviter les enlèvements de touriste, une sorte d’assurance vie contre les prises d’otage. Le djihadiste n’a plus besoin de mouiller la chemise pour enlever des étrangers puis négocier la rançon. D’emblée, ce valeureux guerrier est récompensé.
Mais surtout le gouvernement mauritanien s’engage, dans ce même document, à libérer des prisonniers membres du mouvement. Ce qu’il fera en Mai 2013, lorsqu’un des principaux leaders de l’insurrection au Nord Mali et porte parole d’Ansar Dine (allié d’Aqmi), Sanda Ould Boumama, se réfugie en Mauritanie. Après quelques mois de détention, il est libéré en 2015 sans avoir jamais été présenté à la Justice. Quant au chef d’Aqmi en Mauritanie et cousin du président Aziz, El Khadim Ould Semane, il est arrèté en 2008, condamné à mort en 2010 et….toujours en vie.
Dénégations sans surprise
Cité par l’agence Reuter, Haçen Ould Naji, qui était le conseiller juridique du président mauritanien, a démenti l’existence d’un quelconque lien de la Mauritanie avec un tel accord. Il devait préciser que « son pays était contre le versement de rançons ou de financements indirects des terroristes ». Effectivement, il n’a pas tort. Il s’agit bel et bien d’une aide directe et non d’un paiement indirect.
Au Mali, le groupe jihadiste Ansar Dine, protégé donc par le pouvoir mauritanien, annonçait, le 29 Février 2016, la création d’un nouveau media communication pour faire connaitre ses prochaines attaques contre l’ONU et l’armée française. C’est sans doute faute de pouvoir se servir d’un étrange agence de presse mauritanienne, l’ANI, protégée par un militaire proche d’Aziz, et qui ne s’est jamais privé ces dernières années de publier les communiqués de l’ensemble des groupes djihadistes de la région.Cette « agence » au role trouble s’est toujours fait connaître par la proximité constamment entretenue avec les preneurs d’otages de tous poils.
Au grand dam notamment des Algériens, lors de la prise d’otages d’In Amenas en janvier 2013. Et sans que la fameuse « communuaté internationale », la France en tète, ne s’en émeuve?
Par Nicolas Beau