Yearly Archives: 2019
Sénégal – Violences en campagne électorale : 3 morts
ALAKHBAR (Nouakchott) – Au Sénégal, trois personnes sont mortes et plusieurs autres blessées dont des journalistes dans des violences qui ont émaillé la campagne électorale, lundi à Tambacounda, une ville de l’Est du pays.
Des affrontements, avec jet de pierre et usage d’armes blanches, ont opposé le camp de Macky Sall, le président sortant, au militants d’Issa Sall, candidat du Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR / Opposition).
Un bus transportant 27 journalistes qui couvraient la campagne électorale du PUR a été calciné. Le Bureau Exécutif National du SYNPICS, un syndicat de la presse, a condamné très fermement l’attaque et exigé le rapel des journalistes convernés vers à la capitale, Dakar en guise de protestation.
Le prémier tour de l’élection présidentielle est prévu le 24 février. La campagne électorale a démarré le 2 février. Cinq (5) candidats sont en lice : Madické Niang, ex-ministre des Affaires étrangères, Macky Sall, président sortant, Issa Sall, un professeur proche des Moustarchidine, un groupe religieux au sein de la confrérie Tijanya, Idrissa Seck, ancien premier ministre, et Ousmane Sonko, ex-fonctionnaire de l’Etat.
Frappes françaises au Tchad : Sauvé du «coup d’Etat», Déby visite l’Est
La Tribune Afrique – Lorsqu’il est accueilli à 15 heures ce mardi 12 février au pied de son avion par tout ce que la deuxième ville du Tchad compte d’hommes en treillis, Idriss Déby a été parcimonieux en déclaration à la presse.
Sans doute le président tchadien ne souhaitait pas aborder la question des bombardements français sur les colonnes des rebelles de l’UFR pour lui éviter un nouveau «coup d’Etat». Pour la visite présidentielle à Abéché, le pouvoir met en place une préoccupation d’Idriss Déby de la situation sécuritaire. Mais difficile de ne pas faire le lien avec l’intervention militaire française.
La concomitance des deux événements relève-t-elle d’un pur hasard de calendrier? Au moment où l’avion d’Idriss Déby se posait à Abéché, dans la province de l’Ouddaï, à l’est du pays, aux confins de la frontière soudanaise, Jean-Yves Le Drian, le chef de la diplomatie française, justifiait devant l’Assemblée nationale, la vague de frappes françaises contre les rebelles de l’Union des forces de la résistance (UFR).
Les 750 km qui séparent N’Djamena, la capitale du Tchad, d’Abéché, deuxième ville du pays, n’ont pas découragé Idriss Déby qui y est en visite depuis ce mardi 12 février, accueilli par un escadron des hauts gradés de la région. «Cette visite s’inscrit dans le cadre du contact permanent avec la population. Les rencontres avec les différentes sensibilités inscrites dans l’agenda de la visite, devront permettre au chef de l’Etat de s’enquérir de la situation globale de la province», justifie officiellement la présidence tchadienne dans une communication sur son site.
En chef de guerre, le président tchadien visite cette région, théâtre de plusieurs bombardements de l’armée tchadienne au nom de la lutte contre le terrorisme. L’Etat tchadien, en pleine démarche de réorganisation de sa capacité opérationnelle de ses forces armées, envisage de doter l’Est, d’une base militaire pour mieux contrer la menace. Et pourtant, à y voir de plus près, d’autres raisons semblent guider ce déplacement présidentiel.
Le «coup d’Etat» écarté, Déby au contrôle
A l’appel d’Idriss Déby, l’aviation française a bombardé plus d’une vingtaine de fois, une colonne d’une quarantaine de pickups des rebelles de l’Union des Forces de la résistance (UFR), à l’aide d’une flotte de Mirage 2000, des avions de chasse, appuyés par un drone Reaper, ravitaillés par un C135, entre le 3 et le 6 février. Officiellement, c’est à l’appui du dispositif Barkhane et dans le cadre d’un accord avec l’Etat tchadien, que l’opération a été menée pour éviter une « déstabilisation» du Tchad.
«Il y a eu une attaque d’un groupe rebelle venu du sud libyen, qui est déstabilisé, pour prendre le pouvoir par les armes à N’Djamena et le président Déby nous a demandé par écrit une intervention pour éviter ce coup d’Etat venu du sud libyen, et pour protéger son propre pays», a répondu Jean Yves Le Drian, le ministre français des Affaires étrangères devant l’Assemblée nationale, ce 12 février. En clair, les rebelles de l’UFR, qui avaient déjà encerclé le Palais Rose de N’Djamena en 2008 dans le but de s’emparer du pouvoir, auraient tenté de récidivé dix ans plus tard. Dans les deux cas, le pouvoir d’Idriss Déby a été sauvé in extremis par l’armée française.
Difficile donc de ne pas relier le déplacement présidentiel à cette sortie du chef de la diplomatie. Après l’arrestation de 250 rebelles capturés dans l’opération contre leur colonne, annoncée comme une prise de guerre, Idriss Déby, qui voit la menace rebelle s’éloigner, se montre en chef de guerre dans une tentative de démontrer qu’il est toujours au contrôle. Cependant, en dépit des précautions légales de la France, son pouvoir qui a dû avoir eu recours à une force étrangère, s’en trouve plus fragilisé que jamais. Et il n’est pas dit que des rebelles, jusqu’au-boutistes, soient définitivement écartés du chemin qui mène au Palais Rose de N’Djamena.
Par Ibrahima Bayo Jr.
cridem
DETRUIRE- Par Président Amadou Moctar KANE
Mauriweb – Il est difficile de Construire, mais trop facile de détruire . Nouakchott a été créé de toutes pièces, comme je l’ai décrit dans « Nouakchott, les Bains» Livre, qui vient de paraître en Janvier 2019. C’est l’Histoire de notre Capitale Nationale.
Les premières générations ont réalisé avec minutie, efficacité et réalisme, la Capitale de notre « Colonie » qui avait son siège à l’extérieur de notre Territoire National. Avant l’Indépendance, plus exactement depuis 1950 nous avions, comme toutes les Colonies Françaises, un Conseil Territorial, des Conseillers Territoriaux sont élus dans tous les Cercles Administratifs de notre Colonie.
Au tout début de Nouakchott, un grand Bâtiment est réalisé, c’était en pleine brousse, à l’endroit où se trouve actuellement la Présidence, c’était le Siège de notre Conseil Territorial. Cette bâtisse est encore là, historique.
A notre accession à la Souveraineté Internationale, l’Indépendance, le Conseil Territorial est devenu Assemblée Nationale. Nous avons élu nos Députés dans toutes les circonscriptions de notre pays, qui ont siège, au tout début dans le grand Hangar du Conseil Territorial et , l’État a réalisé, en même temps que le premier Bâtiment de la Présidence de la République, un immeuble de style très moderne, qui a abrité l’Assemblée Nationale, un joyau, qui vient d’être détruit. Un siège historique qui disparaît.
Avant cette destruction, celle des Cinq Blocs a été orchestrée.
Quelle Inconscience !
Cela est de l’esprit des jeunes générations arrivées au pouvoir, qui pensent bien faire, disant modernisé la Capitale par la création d’immeubles de « luxe » à plusieurs hauteurs. Ces destructions ne contribuent pas à la Modernisation de la Capitale dont l’Histoire doit être maintenue et doit être sacrée.
Ah ces jeunes générations n’ont rien compris et ne savent rien de l’Histoire de notre Pays. C’est inadmissible !
Plus grave encore !
On se réveille un bon matin et décide de débaptiser l’Avenue principale de Nouakchott, qui portait le nom de ‘’Gamal Abd NASSER’’ premier Président de la République sœur d’Egypte depuis 1950. Cette route, la première goudronnée de la Capitale, du Marché de la Capitale à celui du Ksar a été baptisée ‘’Gamal Abd NASSER’’ le 27 Novembre 1963 à l’occasion des festivités de l’Indépendance, qui ont commencé, cette année là , par l’inauguration de la Mosquée « Ibn Abass » le 23 Novembre 1963, un Vendredi. Et l’histoi
re nous a montré l’action efficiente de NASSER lors de notre indépendance. En juin 1957, Mohamed V, Roi du Maroc, déclare, officiellement , que la Mauritanie est un site Marocain , qui ne peut donc être indépendante.
Le premier, qui a remis les pendules à l’heure c’est NASSER , mettant en garde Mohamed V avec véhémence suivi par Habib Bourguiba de Tunisie.
Le Général de Gaulle, Président de la République Française, a été intransigeant vis-à-vis de Mohamed V a propos de sa revendication sur la Mauritanie.
En septembre 1961, à l’ouverture de la session des Nation Unies, NASSER, dans un discoure acerbe, fustige l’ONU pour reconnaître la Mauritanie comme Pays membre de l’ONU.
Après Lui, Senghor du Sénégal, Habib Bourguiba de la Tunisie ont réitéré les propos du Raîs, ainsi plusieurs Pays se sont alliés à cette démarche, et notre Pays a été admis au Nation Unies en Octobre 1962, ce léger retard est dû au Conseil de Sécurité de l’ONU.
Notre reconnaissance à NASSER a été très vite ressentie à l’inauguration de cette route : capitale – Ksar, sous l’appellation de ‘’GAMAL ABD NASSER’’ le 27 novembre 1962, juste un mois après notre admission a l’ONU.
Qu’est ce à dire !
L’Unité Nationale est au dessus de tout certes, mais les raisons historiques ne permettent pas ce changement d’appellation de cette avenue.
Il y a d’ailleurs beaucoup à dire sur notre Unité Nationale, je réserve ce volet très important à un autre écrit, dans la mesure où j’en ai déjà parlé dans les livres que je fait édités ‘’ le Fouta notre Nation ’’ ‘’KAYHAÏDHI ’’ et « Nouakchott les bains »
Il est plus facile de détruire que de construire.
Le Président
Amadou Moctar KANE
22 62 70 63
41 55 39 41
36 62 70 63
Mauriweb
Candidature unique ou candidature de témoignage ? Par Tijane Bal
Tijane Bal – Il n’est nullement question ici du débat récurrent qui, une fois encore, agite les partis d’opposition à l’orée de la présidentielle. Il ne s’agit pas de savoir qui va y aller au nom de tous. Ou, soyons réalistes, au nom du plus grand nombre. Non.
Il s’agit plutôt de se demander si le scrutin à venir pourra accoucher, fût-ce au forceps, d’une candidature unique représentative de « la » ou, pour dire plus vrai, « des » communautés afro-mauritaniennes (ou négro-africaines si cette appellation plus convenue à votre préférence). A peine suggérée, une telle probabilité fait débat et soulève moult questions. Et pas des plus futiles. Retenons-en deux.
La première se résume en un mot : « qui » ? Développons. En l’état actuel, peut-il émerger du paysage politique mauritanien un homme apte à faire figure de candidat naturel et en mesure de fédérer les trois composantes afro-mauritaniennes?
Pour des raisons compréhensibles, il convient d’emblée d’isoler le positionnement de M. Birame Dah Ould Abeid qui le situe à part sur l’échiquier politique et, en tout état de cause, hors du champ de ces lignes. Résumons à l’extrême. Birame est « noir » sans être « afro-mauritanien ». De la même manière, mais pour des raisons évidemment différentes, il importe également de faire abstraction de M. Ba Mamadou Sidi.
Le président des Forces de Libération Africaines de Mauritanie (FLAM) et un des leaders historiques du mouvement négro-mauritanien a, à de nombreuses reprises, fait état des réserves qu’inspire à son organisation la pratique électorale en Mauritanie à laquelle, en l’état, il ne souhaite pas prendre part. « Restent » M. Ibrahima Sarr et M. Samba Thiam, pour s’en tenir aux deux postulants potentiels les plus emblématiques sans préjudice de quelques autres, a priori, moins en situation de « concourir ». Messieurs Ba Mamadou Alassane et Kane Hamidou Baba, entre autres, sont de ceux-là.
Les uns et les autres sont légitimes mais tous ne le sont pas de la même façon. Messieurs Sarr et Thiam pourraient invoquer une légitimité, acquise au prix du fer et du sang, établie de longue date, et dont les ressorts sont connus de tous. Sans nécessairement hiérarchiser, le premier pourrait, au surplus, capitaliser sur son parcours d’ancien parlementaire et sur son expérience d’ancien candidat à l’élection présidentielle. M. Thiam, quant à lui, malgré de solides atouts, dirige une formation politique identifiée dans le champ politique mais non reconnue légalement.
Sans être insurmontable, ce point de fragilité pourrait peser sur son éventuelle candidature. Si tant est qu’il en nourrisse le projet. Ce que certains messages sur les réseaux sociaux donnent à penser. Autre chose. Restent par ailleurs des incertitudes sur les bonnes ou moins bonnes dispositions d’autres formations et structures censées partager le même espace politique et occuper le même créneau. On pense au premier chef à la plus emblématique d’entre elles en raison notamment de son poids politique et historique et de sa dimension symbolique : les Forces de Libération Africaines de Mauritanie.
La question relative au comportement de celles-ci pourrait valoir plus singulièrement pour le candidat éventuel des FPC. La raison en est que cette formation politique est née d’une scission des FLAM. Cette incertitude se double plus généralement de la possibilité de candidatures concurrentes et isolées d’autres Afro-mauritaniens, moins en vue et moins marqués par un ancrage et un agenda communautaires mais aussi dont le parcours politique antérieur serait moins associé à la « question noire ». Moins polarisants (ce n’est pas un jugement de valeur), moins siglés « opposition » et étrangers à la mouvance afro-mauritanienne traditionnelle, ceux-ci pourraient néanmoins parfaitement se réclamer de la « communauté négro-africaine » sans être en mesure de justifier d’une légitimité historique à toute épreuve.
Quel que soit le cas de figure, il est une donnée incontournable qui est qu’aucun prétendant à la candidature ne pourra décemment faire l’impasse d’un projet voire d’un programme ou de quelque chose devant en tenir lieu. Etre candidat oui, mais pourquoi et pourquoi faire ?
On sait, depuis notamment les expériences de Jesse Jackson aux USA, qu’une candidature d’extraction communautaire ou simplement perçue comme telle encourt un risque principal, celui de se voir réduire à un acte de témoignage dénué de toute prétention à la victoire. Jackson était parfaitement conscient de cet état de fait et a longtemps assumé cette limite. C’est bien plus tard qu’il a entrepris de faire évoluer sa démarche et de lui imprimer un tour plus rassembleur avec la coalition Rainbow (arc-en-ciel). Des années plus tard, Obama parachèvera cette œuvre de changement de cap avec les résultats que l’on sait.
Le projet du candidat et son « affichage » mais aussi sa réception sont, pour ainsi dire, déterminants. Si, pour en revenir à la Mauritanie, ce projet devait s’abreuver à la seule question nationale et à ses thématiques satellites ou si celles-ci devaient en être une dominante par trop écrasante, le candidat qui les porte apparaîtra forcément monothématique, communautariste et ethnique. Ce qui, sans être infamant, aurait évidemment un effet réducteur et « hémiplégique » face à des formations affichant une prétention voire une vocation fédératrice, multiraciale et, pour ainsi dire, « généraliste ». Il y a fort à parier que, pour ne citer que celles-là, Tawassoul ou l’UFP feront de leur mieux pour remplir cet office et brandir cet étendard.
Il ne faut pas se farder la réalité. Si une candidature unique afro-mauritanienne devait advenir, son porte-drapeau sera surtout voire exclusivement attendu sur des sujets ayant trait à la question raciale. La raison en est simple. Ce n’est pas faire injure au candidat en question de faire observer que nul ne croit si peu que ce soit en ses chances d’être élu. Mais est-il vraiment le seul dans ce cas ?
Le vote réputé utile pourrait à la limite opérer davantage en faveur de Birame qui semble plus en situation pour des raisons directement politiques et des considérations un peu plus en marge du strict débat public interne à la Mauritanie. Sans jeu de mots, le vote utile opérera surtout à plein régime au profit du candidat institutionnel. Lequel pourra d’ailleurs cumuler allègrement le double bénéfice des votes utile et légitimiste qui, il faut bien en convenir, représentent les deux faces d’une même médaille. Par ailleurs, il ne faut pas perdre de vue que les performances des candidats négro-africains lors des dernières élections ne semblent pas avoir mis en évidence un vote automatique en leur faveur et ce, y compris dans des zones géographiques censées constituer leurs bastions.
L’éventuel candidat afro-mauritanien (si tant est qu’il y en ait un) pourra toujours se consoler à l’idée qu’il ne doit pas être le seul dans la situation d’outsider face à un grandissime favori. Pour autant, il ne devra être prisonnier ni d’un statut ni d’un positionnement. En aucun cas, il ne devra éluder les sujets importants et d’intérêt commun. Pour des raisons tenant au rapport de forces actuel, à la configuration de la société mauritanienne, à la distribution des leviers de pouvoir réel et symbolique, une tentative de représentation de type communautaire est vouée à ne pas franchir le cap de la démarche de témoignage.
Ce qui, en soi, n’a rien de déshonorant. Bien au contraire. Il appartient juste au prétendant d’en tirer le meilleur parti et d’ajuster ses ambitions à la toise du possible. Cela s’appelle faire de nécessité vertu.
Tijane Bal
cridem
Mali : manifestations pour dénoncer la dégradation des valeurs sociales
Deux importantes personnalités religieuses maliennes ont appelé dimanche à la démission du premier ministre malien Soumaila Boubay Maïga lors d’une manifestation monstre, accusant le gouvernement d’échec face aux attaques menées par des combattants et la propagation de la dégradation des valeurs sociales dans le pays.
Les participants à cette manifestation se sont réunis dans un stade d’une capacité de 60.000 places à Bamako et les femmes ont occupé des gradins séparés des hommes.
Prenant la parole lors de ce rassemblement, l’un de ses initiateurs, l’influent président du conseil supérieur islamique malien Mahmoud Dicko, a appelé les musulmans à se mobiliser pour défendre leur pays, leur religion et leur dignité.
Il a ajouté que le Mali a besoin de véritables réformes, lui qui s’est illustré lors de la dernière décennie pour avoir joué un rôle important dans l’établissement du dialogue entre le pouvoir et les mouvements armés.
Dicko avait été à l’origine d’une véritable controverse en 2015 pour avoir qualifié les attaques menées par les groupes armés contre le Mali de « sanction divine » après que le pays ait adopté les valeurs occidentales libertines.
Le président du conseil supérieur islamique malien dénonce l’appui apporté par le premier ministre malien à l’introduction de manuel laxiste sur l’homosexualité, inacceptable dans la société malienne à majorité musulmane.
Dicko et ses partisans estiment que ce projet financé par la Hollande « œuvre à enseigner l’homosexualité à nos enfants dans les écoles ».
Pour rappel le gouvernement avait renoncé à ce projet en décembre dernier.
L’influence de cet homme religieux s’était accrue politiquement depuis qu’il s’était érigé en médiateur entre le gouvernement et les groupes armés qui avaient occupé en 2012 une grande partie du nord Mali, l’un des pays les plus pauvres du monde.
SAHARAMEDIAS