Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Yearly Archives: 2019

Nouakchott : Le Patronat se retire du débat sur le riz « en plastique »

altALAKHBAR (Nouakchott) – Le secrétaire général du Patronat et le secrétaire général adjoint de la Fédération des commerçants se sont retirés du débat sur le riz « en plastique », organisé par l’Association mauritanienne de défense du consommateur, vendredi, au siège du Syndicat des Journalistes Mauritaniens.

Le secrétaire général du Patronat contestait le thème à débattre : « Crise du riz pourri ; les dangers et défis ». Pour El Kory Ould Abdel Mowla, les stocks de riz soupçonnés ont été écoulés « en tant qu’aliment de bétail à seulement 50 ouguiyas (MRO) le kilogramme ».

 

 Alakhabr

Dîner/débat : Les imams de l’Afrique de l’Ouest mettent en garde contre l’intégrisme religieux

altLes imams, érudits  et  autres  prêcheurs  de la région ouest africaine, notamment du Sahel   ont mis en garde, jeudi soir (14 février),  au cours d’un dîner,  contre les menaces qui pèsent sur  l’islam dans la sous région ouest-africaine, en particulier  contre l’implantation du Chiisme dans cette sous-région  où des  terroristes  tuent, depuis plusieurs années,  des innocents au nom de l’Islam. Ils  condamnent, avec  force,  l’islam  intégriste  qui a pied au Sahel. Ces penseurs étaient conviés à un dîner, le 14 février,  au domicile de  leur collègue mauritanien, Dr.Cheikh Ould Zeine, vice président de l’Association des Ulémas de Mauritanie et  secrétaire général du forum de la pensée Islamique.

 Venus du Niger, du Mali, de la Guinée Bissau, du Tchad, du Sénégal, de la Gambie, du Ghana, ces intellectuels  et penseurs  ont échangé   au cours de ce dîner,  avec leurs collègue de Mauritanie, des acteurs politiques et de la société civile,  sur les préoccupations du moment,  en matière  d’Islam. Selon Ould Zeine, ces  Imams, penseurs  et autres érudits  venus prendre part à un séminaire du  projet  SWEED et leurs homologues  de  Mauritanie  s’inquiètent  des dangers qui menacent l’islam dans la sous région du sahel où  des Jihadistes  tuent au nom de cette religion de paix  et de fraternité entre les  frères  de la UMMA.  A cet effet, précisent-ils, ils organisent un plaidoyer  en faveur d’un islam  tolérant, fraternel et  de paix.

Au terme de cette rencontre d’intellectuels musulmans, Ould zeine  a déclaré que cette  présence  des  homologues de la  sous région  à Nouakchott,  constitue,  à ses yeux, une  opportunité de partage  des  expériences des  uns et des autres. Ils les a remerciés d’avoir honoré de leur présence cette soirée d’échanges.

 

le calame

Nouakchott : 5 blessés dans l’effondrement d’une salle de classe

ALAKHBAR (Nouakchott) –  Cinq (5) élèves ont été blessés après l’effondrement du toit d’une salle de classe au collège 9 de Ryad dans la wilaya de Nouakchott-Sud.

Les blessés ont été évacués à l’Hôpital de l’amitié.

Le ministre de l’Education nationale et de la Formation professionnelle, Naha Mint Mouknass, s’est rendue sur place et a procédé à l’évaluation de l’état des autres classes de l’établissement.

Etats-Unis: accord trouvé sur le budget, vers un état d’urgence pour financer le mur

mediaUne nouvelle paralysie partielle de l’administration fédérale va être évitée. La Chambre des représentants a voté la loi de financement, déjà approuvée par le Sénat. La Maison Blanche signera la loi budgétaire même si le texte ne réclame pas les 5,7 milliards de dollars que le président exige pour construire son mur. Pour obtenir les fonds qu’il réclame, le président va déclarer l’état d’urgence à la frontière. Une mesure qui lui permettra de contourner le Congrès.

 
 

La loi de financement a été approuvée jeudi à une large majorité au Sénat, contrôlé par les républicains, puis à la Chambre des représentants, contrôlée par les démocrates, après d’âpres débats, par 300 élus (128 ont voté contre).

« Le président va signer la loi (de financement) mais il va en même temps faire une déclaration de l’état d’urgence et je lui ai indiqué que j’allais soutenir cette mesure d’urgence ». Avec cette déclaration, le sénateur Mitch Mc Connell avale son chapeau : comme de nombreux élus républicains, il s’était auparavant déclaré hostile à une déclaration de l’état d’urgence à la frontière, rapporte notre correspondante à Washington, Anne Corpet.

Pour la cheffe de la majorité démocrate à la chambre, Nancy Pelosi, c’est tout simplement un abus de pouvoir de la part du président Trump. « Premièrement il n’y a pas d’état d’urgence à la frontière, il y a un défi humanitaire auquel nous faisons face. Mais à part cela le président tente de contourner le Congrès. Nous allons étudier les options et nous préparer à riposter de manière appropriée ».

Et Nancy Pelosi d’ajouter en ce jour anniversaire de la tuerie de Parkland qui avait fait 17 morts en Floride en février 2018, « à propos d’urgence nationale, c’est aujourd’hui l’anniversaire d’une manifestation de l’épidémie de violence armée aux Etats-Unis. Ça c’est une urgence nationale. Pourquoi ne déclarez-vous pas l’état d’urgence à ce sujet, monsieur le président ? »

La déclaration de l’Etat d’urgence à la frontière risque fort d’entraîner une contestation devant les tribunaux. Le nombre de migrants qui tentent de franchir illégalement la frontière est en effet beaucoup moins élevé qu’il y a vingt ans.

rfi

Mauritanie : une union en perspective…

Mauritanie : une union en perspective…Sahara Médias – Des sources propres à Sahara Medias lui ont révélé que les autorités mauritaniennes sont en passe de prendre une décision consacrant l’intégration du groupement général de la sécurité routière dans le corps de la police, 8 ans après la création du GGSR.

Nos sources ajoutent que les autorités mauritaniennes ont étudié les contours de cette décision et qu’elle sera officiellement annoncée dans les prochaines semaines ou les prochains mois.

Le groupement général pour la sécurité routière avait été créé en 2011 alors que la Mauritanie faisait face aux menaces de groupes islamistes armés, afin d’aider à la sécurisation des routes et la lutte contre le terrorisme.

A la fin de 2010, lors d’une adresse, le président mauritanien avait justifié la création de ce corps par la volonté des autorités d’alléger la pression sur les corps de la police et de la gendarmerie.

Le chef de l’état mauritanien avait dit, dans ce discours, que la création de ce corps intervenait alors que le besoin pour l’instauration de la sécurité sur les routes se faisait pressant, pour protéger les citoyens et les étrangers sur le même pied d’égalité, alors que des ressortissants espagnols avaient été enlevés sur l’un des principaux axes mauritaniens.

Le groupement général pour la sécurité routière était entré en service le 28 novembre 2011 mais il a été l’objet de grande controverse de la part des populations.

saharamedias