Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Monthly Archives: October 2016

REECOUTER HUMPITO avec camarade MAMADOU WANE, VP des FPC.

altRéécouter Humpito de ce dimanche 16 octobre 2016 avec Mamadou Wane, vice président, chargé à l’organisation, à la formation politique et l’idéologique.
Un Monsieur Wane très lucide, précis dans ces réponses mais aussi un militant convaincu pour la cause nationale.
Des interventions de hautes factures, parfois même des contradictions animant ainsi un débat très instructif…


FPC au dialogue national, écouter les réactions.

 

 

http://www.haerelao.com/MalawMbowHumpito.html

 

L’APP claque la porte du Dialogue National Inclusif

altL’Alliance Populaire Progressiste (APP), un parti de la mouvance de  l’opposition dite modérée, a décidé de se retirer  du « Dialogue National Inclusif.

Ce parti de  l’opposition historique est dirigé par Messaoud Ould Boulkheir, ancien  président de l’assemblée nationale, plusieurs fois candidat  malheureux à une élection présidentielle.

Ce « Dialogue National inclusif » est boycotté par l’essentiel des forces de l’opposition à l’image du Forum National pour la Démocratie et l’Unité (FNDU) et le Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD).

« Nous exigeons des clarifications de la part des autorités par rapport à une déclaration du porte parole du gouvernement sur la question des mandats », a demandé APP.

Le porte parole du gouvernement, Mohamed Lemine Ould Cheikh, a affirmé jeudi après  midi que le président Mohamed Ould Abdel Aziz a droit de solliciter un troisième  mandat conformément à la volonté du peuple « qui est au dessus de la constitution. La limitation des mandats est contraire à la démocratie ».

A titre d’exemple, le ministre mauritanien a cité plusieurs « grandes  démocraties » dans le monde sans limitation du nombre de mandats présidentiels.

Parmi celles-ci figure  curieusement   le cas d’Israël, un  ennemi historique des arabes.

En Mauritanie, rappelle-t-on, le principe de l’alternance est complètement verrouillé par la limitation à deux (2) du nombre de mandats du président de la République à travers les articles 28, 29 et 99 de la constitution de juillet 1991, révisé par voie référendaire le 19 juin 2006..

Toute tentative de nouvelle  révision de ces dispositions érigées en clauses d’éternité mettrait  le président de la République en situation de parjure par rapport au  serment prêté  au moment d’entrer en fonction.

« Il y a  en circulation un document de l’Union Pour la République (UPR-principal parti de la majorité) qui n’a pas été soumis à la commission préparatoire  du dialogue national inclusif.

 Un document dont personne n’a pu prendre connaissance jusqu’ici et qui évoque une modification des clauses relatives au mandat présidentiel. Or, nous nous étions entendus sur une feuille de route différente », affirme un responsable du parti cité par la presse.

le calame

‘’Quatre Poids, quatre mesures’’

Finalement, le ministre de l’intérieur et de la décentralisation vient d’autoriser deux des quatre partis politiques qui cherchaient à être reconnus officiellement par les autorités mauritaniennes. Il s’agit du parti de l’Appel à la Nation de Daoud Ould Ahmed Aicha et de l’Alliance Nationale pour les Droits et la Construction des Générations de Saad Ould Louleid, le tonitruant transfuge de l’IRA. Les partis RAG et FPC, respectivement de l’IRA et des anciens FLAM ont été recalés. Le gouvernement mauritanien les accusant d’être des formations sectaires voire racistes dont les militants proviennent d’une même communauté nationale. Des arguments qui sont facilement opposables aux deux autres partis qui viennent de recevoir leur récépissé. Daoud Ould Ahmed Aicha n’a jamais caché que son parti a pour ambition de faire revivre la culture des Maures Blancs et de la prémunir contre un certain danger….La formation de Saad ne compte pour l’essentiel que des Harratines débauchés essentiellement des rangs de l’Initiative de Résurgence Abolitionniste actuellement diabolisée par les autorités et dont le président Birame Ould Dah Ould Abeid est forcé à l’exil après que treize des principaux responsables ont été lapidairement jugés et envoyés en prison pour une peine ferme allant de quinze à trois ans de prison. Le temps choisi pour la reconnaissance de ces deux partis ne serait pas anodin. Le dialogue national inclusif qui ne cesse de se prolonger a besoin de renfort pour éventuellement faire passer le document cadre qui serait à la base d’un probable référendum qui permettrait d’ouvrir la boîte de Pandore dans l’espérance de pouvoir encore faire avaler la très grosse couleuvre d’un troisième mandat dont les contours se dessinent de plus en plus.

Le calame.info

Suppression de la chambre haute : les sénateurs préparent la résistance

Suppression de la chambre haute : les sénateurs préparent la résistanceDes sources de l’intérieur du sénat, la chambre haute du parlement a révélé l’existence d’un mouvement à l’intérieur de la chambre pour s’opposer à des modifications de la constitution sans passer par les deux chambres du parlement comme le prévoit l’article 99 de celle-ci.

Des réunions seraient organisées depuis trois jours par les 28 sénateurs présents à Nouakchott sur les 56 que compte la chambre.

Selon ces mêmes sources qui ont souhaité garder l’anonymat, ce mouvement est une réplique à l’initiative entreprise par certains afin de modifier la constitution sans passer par les deux chambres, réaffirmant que l’article 99 de la constitution exige, pour toute modification de celle-ci l’accord des deux chambres parlementaires.

Les sénateurs présents à la réunion ont constitué une commission chargée d’étudier les mécanismes à même de s’opposer à cette initiative, s’il y en a.

Pour rappel c’est le parti au pouvoir, l’union pour la république, qui a proposé, dans un document distribué lors du dialogue, la suppression du sénat et son remplacement par des conseils régionaux élus.

Une proposition qui était le mot clé de l’intervention du président Mohamed O. Abdel Aziz à Néma au mois de mai cette année.

 

saharamedias

Nigeria: Boko Haram libère 21 lycéennes de Chibok

Quelques-unes des 21 jeunes Nigérianes enlevées par les islamistes de Boko Haram en avril 2014 et libérées le 13 octobre 2016, à Abuja.Lemonde / Vingt et une lycéennes de Chibok enlevées par le groupe djihadiste nigérian Boko Haram il y a plus de deux ans ont été libérées par leurs ravisseurs, jeudi 13 octobre, a annoncé la présidence du Nigeria.

Les jeunes filles auraient été « échangées contre quatre prisonniers de Boko Haram ce matin » dans la région de Banki, à la frontière avec le Cameroun, a dit une source locale à l’AFP.

Lire aussi :   Sur les bords du lac Tchad, au cœur de la folie meurtrière de Boko Haram

« Les filles ont été amenées à Kumshe, à 15 km de Banki (…), vers 3 heures du matin. Les quatre combattants de Boko Haram sont arrivés à Banki de Maïduguri dans un hélicoptère de l’armée, et ont été conduits à Kumshe dans des véhicules du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) », a rapporté cette source proche du dossier.

Les jeunes filles ont ensuite été emmenées en hélicoptère à Maïduguri, capitale du Borno, mais, selon les autorités locales, elles seraient actuellement en route pour la capitale administrative, Abuja.

La Croix-Rouge, interlocuteur « très crédible »

 

Garba Shehu, porte-parole de la présidence, a confirmé la libération, « facilitée par le CICR et le gouvernement suisse », dans un communiqué, sans toutefois évoquer un quelconque échange de prisonniers.

Le CICR n’a pas souhaité commenter cette information, mais, selon des experts de la zone, la Croix-Rouge est un « interlocuteur très crédible de la région », et ce choix de partenariat n’est pas une surprise.

Lire aussi :   Trente-huit membres de Boko Haram tués au Niger

 

Alakhbar