Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Monthly Archives: January 2015

Le président des FPC rencontre Maître Ahmed Salem Bouhoubeyni, avocat à la cour et ancien bâtonnier.

Le  25 janvier 2015, le Président des FPC, Mr Samba Thiam a recu, au siège des FPC, Maître Ahmed Salem Bouhoubeyni, avocat  à la cour et  ancien bâtonnier.

L’échange, courtois et ouvert, a porté sur la situation politique nationale et sur les perspectives d’avenir.

Au vu de l’identité de vue constatée sur certaines questions d’intérêt national, les deux parties ont convenu de maintenir le contact en vue d’approfondir  les vues respectives.

Le Président des FPC remercie le Bâtonnier pour son appui technique.

La lutte continue!

Nouakchott le 26 janvier 2015

Le Département à la Communication et à la presse.

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بيان صحفي لقوى التقدمية لتغيير حول اوهام عدالة النظام

 

altبعد محمد الشيخ ولد محمد, الدي تم إدانته و حكم عليه تعسفيا بالإعدام لتلبية الملا، فإنه بدور بيرام ولد أعبيدي ونشطاء حقوق الإنسان معاناة غضب عدالة أوامر . العدالة التي هي ثمرة من الحزم النظام الإقطاعي العنصري التي توفرالمسحة القانونية. ونخشى من أن تكون محكمة روسو، مثل نظيرتها في نواذيبو، في عدم التغلب على أوامرالنظام الحريصة على إرضاء هذا القسم الديني المتخلف الذي يريد شد موريتانيا إلي الأسفل. 

 

هذه المحاكمات الصورية المتتالية ترسل إشارة واحدة وهي التهديدات الصادرة عن الحكومة وأنصار النظام التمييزي تجاه كل أولئك الذين نصبوا انفسهم ضد النظام أو محاولة للتشكيك فيه. كما في سبتمبر 1986 ضد قادة (فلام)، في نوفمبر 1987 ضد السود الأفارقة وبعد دلك ضد النجدةالعبيد، والآن ضد إرا، يتحول نظام العدالة الجنائية إلى أن تكون أداة للالترويض و تأمين تعامل على أنها مجتمعات أدنى.

 

 لا المبادئ الإسلامية، ولا القانون، وحتى الشرعية لها قيمة لإرادة الأنظمة العرب البربر إدامة النظام الجائر القائم. 

 

ما هي الجرائم التىارتكبتهاقافلة ضد العبودية العقاريةهم مدنبون فقط أنهم كشفوا للعالم كله الرعب من المقابر الجماعية التي تغطي السلطة التسريب وتسرب، وخيانة مخزية لتراث الضفة، والتقاليد المهجورة تحرم الفئات الأكثرإنتاجية من الوصول إلى الأراضي كل ما يعكس فشل الدولة التي    تدعي أنها إسلامية ولكنها تتكيف مع قوانين تعسفية ومحاولات للحد من الحريات التي يضمنها  الدستور حتى الان.

 

 ملتزمة بمبادئ العدالة والإنصاف، القوى التقدمية من أجل التغيير (PFC)  

 

نذكر أن لا شيء يمكن أن تحتوي على التطلعات المشروعة والمجتمعات لا يمكن كبتها التمييز والمساواة، والحرية والكرامة،

 

 – التعبير عن تضامنهم الكامل مع النشطاء من الجيش الجمهوري الايرلندي

 

 – شجب بقوة هذه الإجراءات التعسفية التي يعلن عودة الممارسات وردود الفعل الاستبدادية،ندين بشدة على إستغلال العدالة والدين لأغراض سياسية، 

 

الطلب على حكم بالبراءة التامة للقافلة ضد العبودية العقارية ورئيس إرا وإعادة النظر في حكم الشاب محمد الشيخ ولد محمد الدي أعرب عن أسفه على النحو الواجب وأسس مشكوك فيها من التهمة.

 

 يستمر النضال! 

 

نواكشوط 10 يناير 2015 الأمانة الوطنية للاتصالات.

 

 

 

LE CALAME: Le président du FPC, Samba Thiam sur El Wataniya: “Le terme arabo-berbère n’est pas péjoratif. Il repose sur une vérité historique et je refuse la compromission intellectuelle pour faire plaisir à quelqu’un”

altInvité, il y a quelques jours, par la chaîne privée El  Watanya, Samba Thiam, le président des Forces Progressistes du changement  (FPC) a affirmé que « le terme arabo-berbère n’est pas péjoratif, mais une réalité historique. » Passant en revue, durant deux heures d’horloge, l’ensemble des problèmes que connaît le pays, il a beaucoup insisté sur la problématique de la cohabitation entre ses différentes composantes ethniques.

Evoquant ses rencontres avec l’ancien président renversé Sidi ould Cheikh Abdallahi, à New York, puis avec Mohamed ould Abdel Aziz, après le retour des FLAM, Samba Thiam les justifie, d’abord, par le besoin de remercier le premier, pour la décision courageuse qu’il prit de rapatrier les déportés, et par la disposition des FLAM de l’époque à l’aider dans cette entreprise pas du tout facile – certains de ceux qui avaient contribué à déporter ces mauritaniens au Sénégal et au Mali s’opposaient à leur retour – ce à quoi Sidioca avait répondu :« Revenez et posez les problèmes à la classe politique ». Samba Thiam a qualifié Sidioca de très ouvert, au contact facile, et d ‘une grande capacité d’écoute.

Avec Mohamed ould Abdel Aziz, « nous avons expliqué », poursuit-il, « pourquoi nous sommes revenus : notre désir de quitter la clandestinité, jouer le jeu démocratique et notre partition dans la construction du pays, comme tous les autres acteurs politiques ». Et le président des FPC de reconnaître, à Mohamed ould Abdel Aziz, le courage de s’être attaqué à certains maux qui gangrènent le pays, notamment, la lutte contre la gabegie. « Il est inadmissible qu’une infime partie des Mauritaniens profitent de leur position pour dilapider les biens de l’Etat ». Autre point positif gratifié au président de la République, sa volonté de bâtir le pays et de le doter d’infrastructures. Une première dans le pays.« Mais », fait observer le président Thiam, « nous lui avons dit que les déportés qu’il a rapatriés n’ont pas recouvré tous leurs droits : terres, papiers d’état-civil, fonctions… c’est une situation également inadmissible, qu’il faut régler rapidement ». Et  de déplorer que, sur la question essentielle, c’est-à-dire l’égal traitement des composantes nationales, entre négro-africains et arabo-berbères, l’action du président est restée nulle. Il fallait y remédier, si l’on voulait construire une nation homogène. « Et la réponse du Président ? », demande le journaliste. « Mohamed ould Abdel Aziz est très peu communicatif, il nous a répondu, laconiquement, qu’il a l’ambition de construire la Mauritanie »… Sans les négro-mauritaniens et les harratines ? s’interroge le président du FPC.

Parlant des autres rencontres avec la classe politique et les hommes d’affaires arabo-berbères, Samba Thiam remarque que, si certains ont fait preuve d’une grande ouverture d’esprit, d’autres lui ont carrément avoué que « son discours ne leur parlait pas ». Abordant la question de la cohabitation et du projet d’autonomie, le président des FPC affirme que « le problème de cohabitation s’est posé dès les premières années de l’indépendance. Les harratines et les négro-mauritaniens sont exclus, à tous les niveaux : politique, économique, militaire, sécurité, état-civil… Une seule composante, en l’occurrence, les arabo-berbères, régentent le pays ». Mais Samba Thiam de préciser : « Je n’impute pas la responsabilité de cette situation aux populations lambda mais au système arabo-berbère qui nous gouverne ». Et de saluer le courage et l’honnêteté intellectuelle de certains hommes, comme Moussa Fall, président du CND, ou Isselmou ould Abdel Kader. Sur l’autonomie, le président Samba Thiam met la pendule à l’heure. « Notre projet d’autonomie ne signifie pas une séparation de la Mauritanie entre Sud et Nord. C’est un projet de réorganisation territoriale et administrative poussée, reposant sur les réalités économiques et historiques du pays. Je pense que nombre de personnes n’ont pas lu le texte en question, qui est une proposition, une contribution au débat pour trouver une solution à la cohabitation, dans ce pays ».

Après avoir narré la genèse du combat des FLAM, depuis la publication du « Manifeste du Négro-mauritanien opprimé », en 1986, la répression sanglante qui s’en est suivie, les morts au bagne de Oualata, le coup d’Etat manqué et noyé dans le sang en 1987, les déportations en 89 et la purge des militaires négro-mauritaniens en 1990 91, etc., le président Thiam revient à la charge en martelant que les FPC sont revenus pour combattre, avec des armes politiques, à l’intérieur du pays, la situation que les FLAM dénonçaient, depuis leur exil, et toujours d’actualité : « Voilà pourquoi les FLAM ont cédé la place au FPC qui attend son récépissé ». Sur ce point, Samba rappelle que la balle est dans le camp du ministère de l’Intérieur et avertit : « Nous n’accepterons pas de nous laisser bâillonner. Nous allons nous battre, pour sortir de l’illégalité ». Répondant à une question sur l’opposition et l’éventualité d’un dialogue avec le pouvoir, le président des FPC, tout reconnaissant qu’il est dans ce camp, fait remarquer qu’au niveau de l’opposition, il y a des gens « pires que dans le camp du pouvoir », que le dialogue, entre les deux camps, ne doit pas porter que sur des élections mais, plutôt, comme le souhaite l’opposition, sur l’ensemble des questions nationales, de l’unité nationale en priorité qui conditionne l’avenir de ce pays.

Sur cette question d’unité nationale et la politique de « deux poids, deux mesures », le président du FPC a fait remarquer que « notre unité nationale n’existe pas ». Le système a réussi à installer la méfiance et la répulsion, entre les composantes du pays. Pire, elles n’habitent plus dans les mêmes quartiers, à Nouakchott ; leurs enfants ne fréquentent plus les mêmes écoles…Toujours sur la politique des « deux poids, deux mesures », Samba cite deux exemples. Aussitôt après son arrestation, Sow Amadou Moctar, le directeur du Bâtiment, a été jeté en prison, tandis qu’Ould Mougueya qui a un problème avec la BCM, pour des milliards, est gardé, depuis toujours, à la direction de la Police. Il a ensuite cité son propre cas : « on m’a refusé la régularisation de ma situation administrative, alors qu’on l’a accepté pour Ould Hanana qui a perpétré un coup de force et tenu Nouakchott pendant 48 heures. Alors, vous dites qu’il n’y a pas de ségrégation dans ce pays ? » Evoquant, enfin, l’arrestation et la condamnation du président d’IRA-Mauritanie et de ses amis, Samba Thiam avertit : « Ce n’est pas par la répression qu’on arrête la roue de l’Histoire ».

Synthèse DL

LE CALAME

Communiqué de Presse: Rencontre entre le Président des FPC et Mohamed Sidy Dellahi, President du parti des verts.

Le  24 janvier  2015 le Président des FPC , Mr Samba Thiam , a reçu au  siège des FPC, Monsieur Mohamed  Sidy  Dellahi , President  du  parti  des verts …

La rencontre, courtoise et  pleine de chaleur, a porté essentiellement sur l’analyse de la situation politique nationale. De l’échange, franc  et direct, il s’est dégagé une large identité de vue  tant sur les préoccupations respectives que sur les questions d’actualité  abordées…

Les parties ont convenu de maintenir le contact et de  travailler à mutualiser les forces.

 

La lutte continue!

 

Nouakchott le 26 janvier 2015.

Le département à la Communication et à la presse.

www.flamnet.info

 

LES FPC : L’AUTONOMIE ET NOUS

altINTRODUCTION

Lorsque des problèmes de coexistences surviennent entre des peuples qui partagent le même espace, diverses solutions, allant du jacobinisme unitaire à la partition pure et simple, en passant par des paliers intermédiaires, telle l’autonomie, sont envisagées ou mises en œuvre.

L’autonomie choisie par nous sera inscrite dans le cadre de l’état unitaire, ouverte à l’interaction et à la mutuelle influence entre nos groupe nationaux, sans entrave  pour la libre circulation des citoyens et des biens, respectueuses  de toutes identités locales.

Elle permettra à nos  communautés naturelles  de prendre en main la gestion de leurs propres affaires sur le plan administratif, économique, culturelle et sociale, à travers des transferts de pouvoir spéciaux.

Chaque communauté modèlerait ainsi ses propres institutions et organiserait sa vie et son développement  grâce à un système de relation plus souple avec le pouvoir central.

La « République des citoyens » où les Mauritaniens seraient indifférenciés  reste à construire, l’autonomie en constituera le passage obligé pour forcer la préalable reconnaissance mutuelle, l’acceptation réciproque dans le respect de l’autre.

L’état de droit n’est pas incompatible avec la reconnaissance de jure ou de facto des communautés ; certaines vieilles démocraties européennes sont là pour le prouver, si besoin est.

  • Quelles en sont les justifications?

1.     Justifications historiques

L’autonomie tire sa justification ou son fondement historique dans le fait que, dans notre cas d’espèce, les communautés (ou peuples) en présence ont vécu par le passé côte à côte, chacune dans son espace, chacune avec son organisation, ses institutions politiques économiques et sociales propres. En outre l’autonomie  n’est pas un mode d’organisation inédit. Elle est pratiquée dans le monde et de nombreux pays pluriethniques tentent encore de l’appliquer. Elle a donc une histoire et  démontré ses vertus.

2-     justifications théoriques

L’autonomie se définit comme un mode d’organisation unitaire à degré variable. Elle est conçue généralement pour résoudre la dichotomie entre le principe de l’indivisibilité et celui de l’identité. Sa mise en œuvre peut aller  de l’octroi de quelques attributs de pouvoir à l’exercice de la quasi-totalité de ceux-ci par différents groupes humains, aux habitudes mentales, linguistiques et traditions différentes, diluant ainsi le pouvoir et le répartissant entre ces groupes en présence. L’autonomie fonctionne sur la base de deux principes fondamentaux : le principe de participation dans la prise de décision, et le principe de neutralisation respective des groupes protagonistes, à travers des mécanismes de régulation* qui permettent à chaque groupe de se protéger contre d’éventuelles menaces pour sa survie ou son assimilation.

Enfin, dans notre cas précis, elle prendrait en compte les facteurs ethnique, tribal, régional, pesanteurs certes à dépasser -, mais qui n’en sont pas moins des facteurs déterminants  de la réalité Mauritanienne- ; elle assurerait ainsi davantage de cohésion sociale pour associer de larges segments de la société à la gestion du pouvoir.

L’Etat devra être perçu et organisé comme un appareil fédérateur des nations, des langues et cultures, des normes et terroirs  et cesser d’être considéré comme Etat-nation, qui reste à construire. C’est du reste ce qui fonde et garantit le pacte du « vivre ensemble »  ou du destin commun.

3-     Justifications politiques

Les Administrateurs (Gouverneurs et Préfets arabo-berbères) qui gouvernent la vallée du fleuve depuis l’indépendance ne fournissent malheureusement aucun effort d’intégration, d’adaptation au milieu ou de compréhension du vécu des populations locales ; situation que favorise et perpétue le pouvoir central absent  de toute politique de développement soutenue et conçue en fonction des besoins spécifiques de la vallée du fleuve : aucun projet économique d’envergure, aucune infrastructure de base sérieuse, indispensable au bien-être des populations, délaissées. D’où la nécessité de donner à ces populations en particulier la possibilité de choisir elles-mêmes leurs propres dirigeants. Le pouvoir doit être affecté aux nations, aux citoyens, aux terroirs et distribué au niveau fédéral, régional, provençal et local.

STRUCTURES, COMPETENCES/FONCTIONNEMENT, COMPOSITION

1.     Organisation territoriale et administrative

Il sera créé quatre régions autonomes :

  • Région numéro 1 ( Trarza- Brakna- Tagant ),
  • Région numéro 2 ( Guidimakha, Fuuta, Waalo Barak ),
  • Région numéro 3 (Assaba, Hodhs ),
  • Région numéro 4 ( Adrar-Tiris  ).

Ces régions, à vocation, épouseront, le plus possible, les contours des aires ethnoculturelles (communautaires) existantes.

Chaque région sera découpée en provinces qui respecteraient au maximum la configuration des espaces occupés par les entités historiques des ethnies et émirats (pour éviter la reconduction des problèmes actuels). Ces provinces seront aux nombres de huit (8). Ainsi :

          pour la région no 1 : les provinces du Brakna, du Trarza, du Tagant,

         pour la région no 2 : les provinces du Fuuta, du Guidimakha et du waalo Barak,

         pour la région no 3 : les provinces de l’Assaba et des Hodhs,

         pour la région n0 4 : les provinces de l’Adrar, du Tiris.

Les villes  de Nouakchott et Nouadhibou seront régies par un statut spécial (à définir).

2-    Les institutions

Le pouvoir central

Il exercera les attributs de souveraineté que sont la défense du territoire, les relations internationales, le transport aérien, les télécommunications ;

Il définira également la politique économique nationale et battra la monnaie.

Une parité fixe entre le nord et le sud régira la répartition des hauts postes de responsabilités.

Les régions autonomes

Elles exerceront les pouvoirs résiduels que sont la culture, le foncier, l’administration, la justice, les finances régionales, l’économie et la police locale.

Administration centrale

Elle sera dotée de trois institutions :

Gouvernement

Il sera composé de membres issus des espaces (Nord-Sud) et dont le mode de désignation restera à définir…

Le gouvernement sera dirigé par un président élu parmi les membres le composant (collège).

Mais si le président de la république devrait être élu au suffrage universel direct, alors il serait assisté de deux (2) vice-présidents tournant, issus  d’ethnie différente.

Parlement à deux chambres

L’une, pourvue en députés au prorata du poids démographique de chaque région (L’assemblée nationale), l’autre – (le sénat)- à parité fixe.

Il aura pour tâche

  • D’élaborer les lois fédérales, et la charte constitutionnelle.
  • De veiller au respect du droit des régions.
  • De fixer les rapports entre le gouvernement central et les régions.

Conseil central (mode de désignation des membres et composition à définir)

Il aura pour rôle :

  • De veiller à l’alternance au pouvoir.
  • De déterminer la légalité des actes de loi dans les régions et la fédération.
  • De veiller à l’application de la charte constitutionnelle qui fixe les normes de la cohabitation.
  • D’arbitrer les conflits inter-région, entre les régions et l’état central.

Administration régionale

Il sera créé quatre régions et huit (8) provinces :

Chaque région comportera :

  • Un exécutif ou conseil régional qui sera dirigé par un gouverneur élu, assisté de commissaires de gouvernement issus des provinces (nombre à déterminer)
  • Une assemblée régionale qui exercera les pouvoirs législatifs. Elle sera composée de membres  élus, représentatifs des provinces

Chaque province aura à sa tête un adjoint au gouverneur.

 

 

 

Dispositions complémentaires

 

·         L’auto organisation interne pourrait être modifiée par chaque entité au –delà des grandes lignes définies ici.

 

·         Les mécanismes de régulation *: des leviers seront conçus que chaque communauté ou groupe national pourrait actionner pour bloquer toute disposition de loi en gestation qui menacerait ses intérêts.

 

·         Senat : au sénat, pour toutes les questions touchant à l’identité ou à l’équilibre entre les communautés, la décision devra être prise par consensus ou par une majorité spéciale des 4/5.

 

 

 

 

                                                                                                       

LE CONGRÈS   29 –Août -2014

La lutte continue !

Les FPC

 

Dispositions complémentaires

·         L’auto organisation interne pourrait être modifiée par chaque entité au –delà des grandes lignes définies ici.

·         Les mécanismes de régulation *: des leviers seront conçus que chaque communauté ou groupe national pourrait actionner pour bloquer toute disposition de loi en gestation qui menacerait ses intérêts.

·         Senat : au sénat, pour toutes les questions touchant à l’identité ou à l’équilibre entre les communautés, la décision devra être prise par consensus ou par une majorité spéciale des 4/5.