Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Monthly Archives: September 2014

La Mauritanie change de weekend

Le weekend en Mauritanie qui était, jusque là, vendredi et samedi devient samedi et dimanche.

Cette mesure aurait été prise aujourd’hui à la réunion hebdomadaire du gouvernement ; rapportent des sources concordantes.

Il est attendu que ladite mesure soit officialisée cet après midi dans le communiqué du conseil des ministres.

L’on note, par ailleurs, que la Mauritanie, qui préside actuellement l’Union Africaine et la Ligue Arabe, est l’un des rares pays du continent à avoir le vendredi comme journée de congé hebdomadaire.

MAURISAHEL

 

KAALDEN GOONGA reçoit le Président SAMBA THIAM

 altKAALDEN GOONGA: L’émission pulaar “Kaalden Goonga” ou “Disons nous la vérité” du journaliste Mamadou Demba Sy, reçoit le Président des  Forces progressistes pour le changement (FPC- FLAM) ce jeudi 11 septembre 2014 sur les ondes de la radio privée Mauritanid 100.5 à partir de 22h, heure de Nouakchott.
Contacts: 25025333 et 25010101.
Bonne écoute. La lutte continue!

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“Notre discours n’est pas de diviser, mais de redresser le pays”, réitère Samba Thiam

Temps Forts – Les FLAM altdevenues les Forces Progressistes du Changement (FPC) ont constamment fait l’objet d’intentions malveillantes destinées à les diaboliser et à leur endosser de faux discours dont celui de vouloir diviser à tout prix le pays. Des accusations gratuites fortement médiatisées qui sont parfois tenues par de hauts responsables censés peser le pour et le contre de leurs propos avant de s’exprimer. A chaque fois, la machine des FLAM revient au devant de la scène politique pour préciser que son message a été totalement travesti, déformé et instrumentalisé à des fins non avoués.

Après cette récente sortie publique indexant le mouvement de séparatiste, du nouveau président du parti au pouvoir, l’Union Pour la République (UPR), Me Sidi Mohamed Ould Maham, précédée d’un raz-de-marée de diffamations contre le mouvement, le leader des FLAM Samba Thiam est sorti de nouveau pour mettre les points sur les i.

« Il y a des opinions qui veulent absolument nous faire dire ce que nous n’avons pas dit, et qu’on dise que les FLAM veulent diviser les Noirs et les Blancs. Et ce n’est pas ça que nous disons, a-t-il précisé.

Quand je suis retourné au pays je suis allé voir la sommité intellectuelle arabo-berbère pour leur expliquer qui nous sommes et quel est notre discours. Notre discours n’est pas de diviser, mais de redresser le pays ».

Ces précisions qui ne sont pas les premières, puisque les FLAM ont fait l’objet de la même campagne de diffamation au lendemain de leur retour au bercail ainsi que dernièrement à l’occasion de la tenue de leurs congrès extraordinaire, interviennent au lendemain des propos du nouveau président du parti au parti relatifs au mouvement.

En effet, Me Ould Maham a qualifié de “séparatiste” le mouvement, pour avoir proposé l’autonomie de la partie sud de la Mauritanie à majorité noire. Il a tenu ses déclarations à un moment crucial de la vie du parti Etat d’où le caractère très sensible de la question, surtout, que cette autonomie dont parle le leader de l’UPRn’est pas assimilée de la même manière que chez les FLAM.

Pour le mouvement, l’autonomie n’est pas une fatalité si la Mauritanie se met réellement à corriger ses dysfonctionnements, mais demeure également une option toujours envisageable, si la stratification identitaire, politique et socioéconomique continuera à s’opérer dans l’arbitraire sans tenir compte du principe d’égalité des citoyens nonobstant leur couleur, leur région, leur tribu…

Si réellement la Mauritanie s’oppose au projet d’autonomie du Sud, elle doit avoir les moyens de ses ambitions et œuvrer dés à présent à jeter les jalons de l’Etat-Nation, un et indivisible, en tournant progressivement la page de l’Etat de groupe de communautés.

Md O Md Lemine

 

Mauritanie : Samba Thiam tacle Ould Maham

altLe président des Forces de Libération Africaines de Mauritanie (FLAM) persiste et signe en déclarant cette semaine à la presse nationale que son mouvement s’est redéployé en Mauritanie non pas pour diviser les mauritaniens mais pour redresser le pays. Une réponse au nouveau président de l’UPR, parti de la majorité Ould Maham qui avait traité le mouvement négro mauritanien de séparatiste. Cette polémique bien médiatisée relance l’unité nationale ou la cohabitation et remet devant l’actualité la politique intérieure du régime de Ould Aziz.

La guerre contre l’intoxication est déclarée cette semaine à Nouakchott par presse interposée par le président des FLAM qui répond du tic au tac au nouveau président de l’UPR, parti de la majorité Ould Maham au sujet du projet du mouvement sur l’autonomie des régions rendu public à l’issue du dernier congrés dans la capitale mauritanienne. Samba Thiam estime que les allégations de l’ancien ministre de la communication qualifiant son organisation de séparatiste est de nature à plaire à une catégorie de l’opinion maure. Et au delà ce sont des propos tendancieux qui feraient plus le jeu des extrémistes ou nationalistes étroits contrairement aux FLAM qui sont rentrées au bercail pour redresser le pays. Pour les observateurs cette polémique relance l’unité nationale ou la cohabitation écornée depuis longtemps par les différents locataires qui se sont succédés à la Maison brune.L ‘ancien prisonnier de Oualata remet les pendules à l’heure pour demander à la classe politique dirigeante et les autres leaders des partis politiques toutes tendances confondues de faire une lecture objective du document sur l’autonomie des régions qui s’inscrit dans le cadre de la réorganisation territoriale et administrative. En ciblant ses attaques contre un mouvement qui avait pris les armes pour lutter contre le régime de Ould Taya le patron de l’UPR trouve l’occasion de se payer un président réélu à la tête d’un nouveau parti( FPC) en attente de sa reconnaissance dont les idées ont toujours dérangé le pouvoir en place.

Le débat ne fait que commencer. Derrière cette bataille médiatique se cache une pré campagne de diabolisation des FLAM par le régime de Ould Aziz qui pourrait mettre en péril les différentes composantes du pays.Les années passant tôt ou tard il va falloir mettre sur le tapis la question nationale pour la stabilité du pays.

 

Yaya Cherif KANE

Journaliste-ROUEN-FRANCE

 

Les Universités Sénégalaises dans la Tourmente des Réformes

L’université sénégalaise traverse depuis quelques années une crise profonde. On se demande même si le système n’est finalement pas parvenu à s’en accommoder.

Dans son essence, cette crise provient d’une inadéquation entre les systèmes d’enseignement et les contextes économique, politique culturel et social du pays.

Pourtant, le Sénégal a toujours proposé des réformes importantes de son système d’enseignement supérieur. En effet, en l’espace de deux décennies deux séries de concertations sur l’enseignement supérieur ont été tenues : celles de 1992 avec 101 mesures consensuelles et celles de 2013 avec 78 recommandations. Les objectifs fixés lors de ces concertations, à savoir l’amélioration de l’enseignement supérieur sont loin d’être atteints. Au contraire, la situation a empiré malgré tous les remèdes classiques. 

Les affrontements récents entre forces de l’ordre et étudiants se sont soldés par la mort du jeune étudiant Bassirou Faye. Nouvelle vision africaine, avec toute la diaspora Sénégalaise, condamne vivement la répression brutale infligée aux étudiants.

Nouvelle Vision Africaine et la Diaspora invite les autorités et les étudiants au dialogue et à la retenue.  

* Si le Président de la République peut venir distribuer de l’argent à des associations de la diaspora des USA, de la France de l’Espagne et d’autres pays pour financer des projets,

* si l’Etat peut payer à toutes les épouses d’ambassadeurs 500.000 FCFA par mois sans aucune base légale,

* si le Président de la République peut remplir des avions et des hôtels en France et organiser son PSE avec l’argent du contribuable, 

* si le Président de la République peut faciliter l’achat d’un immeuble estimé à 8,300,000,000 Francs CFA, pour abriter l’ambassade du Sénégal à Washington-DC, alors que les émigrés sénégalais peinent à se faire établir une Carte Nationale d’Identité ou un passeport,

il devrait pouvoir, en toute logique, assurer le paiement mensuel des bourses des étudiants.

Lors d’une rencontre à l’hôtel JW Marriott à Washington DC, j’ai demandé au Ministre de L’enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique de faire très attention avec les projets de réformes en ce sens qu’elles restent inadaptées aux réalités sociales et économiques du pays. Les reformes, calquées sur l’occident ne sont peut être pas celles qui conviennent à notre pays, les structures socioculturelles et économiques étant totalement différentes.

Le Président Macky Sall détient le document des Assises Nationales qui consacre les conclusions d’une réflexion inclusive faite par tout un peuple et qui propose des solutions en direction de l’Education Nationale, de la formation professionnelle et de l’Enseignement Supérieur. 

Malheureusement les ruptures tant attendues tardent à prendre forme…

Bocar Moussa Ba

Ingénieur-Expert Communications Satellites

Président Nouvelle Vision Africaine

Bocar.ba@gmail.com