Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Daily Archives: 16/10/2012

L’exclusivité du tir par balle sur le président, minute par minute

altExclusif : Plusieurs scénarii ont été tissés Sur la tentative d’assassinat du président par erreur, dont certains ont tâté de près le terrain de la vérité alors que d’autres ont passé à côté. Après investigations et attentes, mauritanid.net publie au fidèle lecteur les détails du premier incident de son genre dans le pays, minute par minute :

– 5h 37 min GMT samedi : Le convoi du président de la république s’ébranle de Souehla sise dans le nord est de la wilaya de l’Inchiri, en direction de la capitale Nouakchott, à bord de deux véhicules, la première de marque V8 conduite par le président de la république en personne, en compagnie de son inséparable cousin Ahmed Ould Abdel Aziz et la seconde par Hama, l’un des gardes particuliers du président de la république.

– 6h 45 : Passage des deux voitures (du président et de ses gardes), à distance relativement éloignée, du pont de Libteiha, à quelques minutes de l’arrivée à la zone de la caserne militaire située à 40 au nord de la capitale Nouakchott

– 7h 10 : La place Teouila (zone de la caserne militaire). Le sous-lieutenant commandant de l’équipe d’entrainement des unités de l’aviation militaire, El Hadj Ould Ahmedou (29 ans, conduisait son véhicule de marque Avensis de couleur grise, en compagnie du soldat Dah. Ils étaient tous les deux dans une excursion, en quête de lait frais de chamelle dans les lieux de vente situés au sud de Toueila

– 7h 40 : Le sous-lieutenant El Hadj rentre de sa recherche du lait en direction de la zone militaire, vers les unités relevant de ses compétences. Brusquement, il voit les feux d’une voiture venant du Nord vers laquelle il s’est dirigé.

– 7h 47 : Les deux voient l’un l’autre, le président de la république et l’officier. Ce dernier s’assure que les véhicules dirigés par le président de la République ne sont pas militaires, mais les suspecte en raison de leur course effrénée, cherchant immédiatement à les intercepter immédiatement, alors qu’au départ, il voulait juste s’en approcher. Le sous-lieutenant a pris cette décision tout en gardant une certaine distance, immobilisant son véhicule, installant au dessus une arme, prêt à tirer.

Le président et son compagnon constatent la voiture à moins de 100 mètres, allumant sur elle les phares, voyant un homme habillé d’une chemise blanche qui est le sous-lieutenant et un autre barbu, vêtu d’une djellaba, posant sur sa tête un turban, sans couvrir son visage, brandissant son arme en direction du véhicule.

Ahmed Ould Abdel Aziz, compagnon du président de la république, prend conscience de la nouvelle impasse et conseille au président de rebrousser chemin. Le président refuse et répond à son cousin que la vitesse du véhicule et le positionnement pris d’avance par les deux agresseurs, ne permet pas de faire marche arrière, que la seule route possible est de braquer légèrement le véhicule, d’augmenter la vitesse à 180 km/h.

Le sous-lieutenant tire directement 8 balles quand la voiture du président de la république est passée latéralement de sa position avec une grande vitesse (selon la déclaration de l’intéressé) et 5 après que le véhicule de Mohamed Ould Abdel Aziz l’ait dépassé, soit 13 projectiles.

Le sous-lieutenant regarde derrière après avoir constaté la course effrénée de la voiture visée et entendu le bruit d’un second véhicule. En moins d’une minute, le président de la république ressent des douleurs. Il informe son ami Ahmed qu’il est atteint. Ahmed intervient directement pour aider le président à lever ses mains du volant de la voiture, s’appuyant avec l’une de ses mains sur la direction et de l’autre pour aider le président à s’extraire du siège du conducteur. Au cours de cette opération, le véhicule tombe dans un grand trou, ayant conduit à son stationnement immédiat.

En même temps, la voiture des gardes rejoint celle du président de la république, après que ses occupants ont échappé eux aussi au tir de 5 rafales par l’officier.

L’ami du président informe les gardes de sa blessure, les appelant à identifier qui a tiré sur eux, disant « je suffis largement. Je le conduirais en personne ». Il prend le volant, allume les signaux « danger » et se dirige à une vitesse éclair en direction de Nouakchott

– 8h05 : Ahmed arrive au bitume alors que le président de la république verse des quantités considérables d’eau sur ses plaies. Il appelle son médecin particulier présent dans la capitale, l’appelant de l’attendre à l’hôpital militaire. Il fait d’autres appels à la présidence …etc.

– 8h 50 : La voiture des gardes particuliers du président de la république part à la vitesse éclair aux lieux de l’incident, s’approche du véhicule de l’officier, qui s’est cuirassée entièrement par des voitures militaires de la caserne. L’un des gardes présidentiels appelle l’officier. « Approche, nous sommes la sécurité présidentielle. Tu as atteint le cortège présidentiel. Présente-toi. » Le sous-lieutenant répond : « Ne vous approchez pas ».

Après quelques minutes, le sous-lieutenant accepte que l’un des gardes du président avance en sa direction, à condition de déposer les armes. Hama, commandant de l’équipe des gardes présidentiels avance. Alors le sous-lieutenant se présente comme étant l’entraineur des unités de l’aviation dans la zone, racontant les détails de l’opération et du tir de balle sur le véhicule suspecté. Le commandant de la garde présidentielle l’informe qu’il a touché le président de la république. Il s’évanouit immédiatement, pleurant, regrettant son geste.

– 8h 30 : Le président de la république arrive à l’hôpital militaire pour être rejoint quelques minutes après par tous les Généraux des forces armées et de sécurité, lesquels se sont assurés sur les mesures prises pour garantir d’excellents secours. Les médecins ont trouvé le danger dans un seul projectile (dans l’abdomen). Le chirurgien Kane Yahya assisté par le Professeur Sid’Ahmed Ould Mogueya ont procédé à l’opération.

– 9h Tous les Généraux se dirigent sur les lieux du drame en compagnie de l’ami du président Ahmed Ould Abdel Aziz. A l’arrivée à la caserne, ils sont descendus de leurs véhicules. Le sous-lieutenant El Hadj a fait de même, allant dans leur direction sans présenter le garde-à-vous. Il leur demande sur le champ si le président se porte bien. Les Généraux lui rétorquent : « le président se porte bien et les choses sont normales ». L’un de ses chefs directs lui dit : « tu as commis une erreur ». Le sous-lieutenant répond : « je n’ai pas commis d’erreur. J’ai accompli mon devoir ».

Le Général de division Ghazouani : « celui qui accomplit son devoir, n’est coupable de rien ». Le Général de division Ould Ghazouani lui dit d’accompagner le Général N’Diaga Dieng, chef d’état-major de la gendarmerie nationale. Le sous-lieutenant est gagné de nouveaux par des pleurs aigues. Tous cherchent à le réconforter. Ould Ghazouani regagne directement l’hôpital militaire. Directement, après l’instruction, le président ordonne la mise en liberté de le sous-lieutenant qui souffre de stress aigus selon les sources de Mauritaned.net.

http://www.mauritanid.net/spip.php?article13125

Traduction Mohamed Ould Mohamed Lemine

تنفرد بنشر تفاصيل اطلاق النار على الرئيس بالدقيقة والساعة

 

 

altموريتانيد (خاص): خيطت حول محاولة اغتيال رئيس الجمهورية عن طريق الخطأ الكثير من القصص، قارب بعضها الصواب وجانبها البعض الآخر،موريتانيدبعد استقصاء وتحر تنشر للقارئ الكريم حيثيات وتفاصيل الحادثة الأولى من نوعها في البلد، بالساعة والدقيقة:

5:37، بالتوقيت العالمى من يوم السبت، موكب الرئيس ينطلق من منطقة “اسويهل” في الشمال الشرقي لولاية انشيري، تجاه العاصمة نواكشوط، في سيارتين الأولى من نوع V8 يقودها رئيس الجمهورية بنفسه، صحبة رفيقه الدائم وبن عمه احمد ولد عبد العزيز، والثانية يقودها (حم) أحد افراد الحس الخاص لرئيس الجمهورية.

6:45 عبور سيارتين (سيارة الرئيس وحرسه) بشكل غير متباعد، معبر لبطيحة، ولايفصلهم الكثير عن الوصول إلى منطقة الثكنة العسكرية التى تقع 40 كلم شمال العاصمة نواكشوط.

7:10 المكان أطويلة، (منطقة الثكنة العسكرية) الملازم أول قائد فرقة تدريب وحدات الطيران العسكري، الحاج ولد احمدو 29سنة، يستقل سيارته الخاصة، من نوع Aven-sis رمادية اللون، بصحبة المجند الداه، الإثنان كانا، في رحلة للبحث عن لبن الإبن في المشاريع الواقعة في جنوب “اطويلة”..

الملازم الحاج ولد احمدو قائد الفرقة يرتدي قميصا ابيض، والجندي الداه يرتدي جلابية بيضاء ويضع اللثام على رأسه.

7:40 دقيقة، الرئيس يبتعد عن سيارة حراسه بسرعة 160 كلم في الساعة، لتفصل بينهما مسافة 400 متر، عند وصول منطقة “اطويل”.

7:45، الملازم اول الحاج ولد احمد، عائد من رحلة جلب اللبن من المشاريع، إلى حدود المنطقة العسكرية (تجمع الوحدات التابعة له) وفجأة شاهد اضواء سيارة، قادمة من الشمال، فقام بالتوجه نحوها.

7:47، مشاهدة كلا الطرفان للآخر، رئيس الجمهورية، والملازم..

الملازم أول يتأكد من أن السيارات التى يقودها رئيس الجمهوية ليست عسكرية، لكنه يشتبه فيها بسبب السرعة الفائقة، ليقوم مباشرة باعتراضها بعد أن كان مارا بها.. الملازم قرر اعتراض السيارة على بعد مسافة محددة، فقام بوقف سيارته ونصب سلاحا عليها، استعدادا لإطلاق النار . الرئيس ينتبه للسيارة مع رفيقه، على بعد اقل من 100 متر ويطلق عليها ضوء سيارته الامامى فيشاهد شخصا يرتدى قميصا ابيض، وهو الملازم، أول، وأخر ملتحى يرتدى جلابية ويضع على رأسه عمامة، دون أن تغطى وجهه، ومشرعا سلاحه، تجاه السيارة.

احمد ولد عبدالعزيز رفيق الرئيس، ينتبه للوضع الجديد، وينصح الرئيس بالتراجع إلى الخلف بالسيارة، الرئيس يرفض ويجب رفيقه بأن سرعة السيارة والتمركز الذي سبق أن اتخذه المهاجمان لايسمح بالعودة، وأن الطريق الوحيد المتاح هو الإلتفاف قليلا بالسيارة، مع زيادة السرعة 180 كلم للساعة،

الملازم قام بإطلاق 8 رصاصات مباشرة عندما مرت بجانبه سيارة الرئيس بسرعة عالية حسب (تصريح المعنى)، و5 رصاصات بعد أن تجاوزتهم السيارة، اي مامجمله 13 رصاصة،

الملازم ينظر إلى الخلف بعد اسراع السيارة التى أطلق عليها النار، وسماعه صوت سيارة اخري، وفي اقل من دقيقة الرئيس يحس ببعض الألم فيبلغ احمد صديقه، بإصابته، احمد يتدخل مباشرة لمساعدة الرئيس على رفع يديه عن محرك الوقود للسيارة، بوضع إحدى يديه على مقود السيارة، والآخرى على الرئيس ليساعدة على الخروج من مقعد السائق، وأثناء عملية التبادل دخلت السيارة في حفرة كبيرة أدت إلى توقفها مباشرة، في نفس الوقت سيارة الحرس تلتحق بسيارة الرئيس، بعد سلامة افرادها هي الآخري من اطلاق 5 رشاشات عليها من الملازم.

صديق الرئيس يخبر الحرس بإصابة الرئيس، ويدعوهم لمعرفة من أطلق النار عليهم، ويضيف “انا اكثر منه سأصله بنفسى”، فينتقل مباشرة إلى مقود السيارة، ويضع علامة الخطر، وينطلق بسرعة فائقة إلى نواكشوط.

8:5 يصل احمد بالسيارة إلى ناصية الطريق المعبد، والرئيس يأخذ كميات هائلة من الماء لوضعه على الجراح، ويتصل بطبيبه الخاص الموجود في العاصمة، , ليطلب منه الإنتظار في في المستشفى العسكري ، ويجري اتصالات اخري بالرئاسة وغيرها ..

8:5 سيارة الحرس الخاص بالرئيس تعود بأقصى سرعة إلى مكان الإشتباك، وتقترب من سيارة الملازم، التى تحصنت مباشرة بعدد من سيارات الجيش بالثكنة، أحد أفراد الحرس الرئاسى ينادي على الملازم اقترب نحن الأمن الرئاسى، لقد اصبت موكب الرئيس، عرف على نفسك، يرد عليهم الملازم لاتقتربوا منى، بعد دقائق، يقبل الملازم أن يتقدم احد حراس الرئس، شريطة نزع السلاح، فتقدم حم قائد فرقة حرس الرئيس، نحوه، فقام الملازم بتعريف نفسه بوصفه مدرب لوحدات الطيران الجوي بالمنطقة، ويدخل في سرد تفاصيل عملية اطلاق النار على السيارة التى اشتبه فيها، فيخبره قائد حرس الرئيس بأنه اصاب سيارة الرئيس، فخر الملازم مغشيا عليه مباشرة، وقام بالبكاء متأسفا على فعلته..

8:30، الرئيس يصل إلى المستشفى العسكري.. ليلتحق به بعد دقائق كل الجنرالات بالجيش بالرئيس، ويطمئنوا على سلامة الإجرات المتبعة لإسعافه، الاطباء وجدوا الخطورة في رصاصة (واحدة في البطن)، فقام الجراح كان يحى وبمساعدة البروفسار سيد احمد ولد مكية، بإجراء العملية.

9 الجنرالات يعودون إلى مكان الحادث رفقة صديق الرئس مرافقه احمد ولد عبد العزيز..وعند وصول الثكنة ترجل الجنرالات عن سيارتهم وترجل الملازم الحاج، باتجاهم دون تقديم التحية، مباشرة يسألهم هل الرئيس بخير،؟؟ الجنرالات يردون عليه الرئيس بخير والامور عادية، يسأله احد قادته المباشرين لقد قمت بخطإ، الملازم يرد عليه لم اخطئ عملت واجبي، يقول له الجنرال ولد الغزواني “من عمل واجبه فلاشئ عليه” فيأمره ولد الغزوانى، بالذهباب مع الجنرال انجاك جك، قائد الدرك الوطنى، الملازم يعود للبكاء الشديد، والجميع يطمئنونه، مباشرة الجنرال ولد الغزوانى يعود للمستشىفى.

“ومباشرة بعد التحقيق أمر الرئيس بإطلاق سراح الملازم، الذي يعانى من حالة نفسية اضطرابات شديدة، حسب مصادر موريتايند

Mauritanie : le président victime d’un règlement de compte au sein de l’armée

altLe président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, blessé par balles ce samedi 13 octobre, est arrivé à Paris et a été hospitalisé à l’hôpital militaire de Percy, dans les Hauts-de-Seine. Pour l’heure, les causes de sa blessure par arme à feu restent encore floues. Même si un officiel mauritanien parle de tir par erreur d’une unité de l’armée, il pourrait s’agir d’un règlement de compte au sein de l’armée.

Mohamed Ould Abdel Aziz est sain et sauf. Le président mauritanien est sorti indemne de sa blessure par balles, survenue ce samedi 13 octobre. Pour l’heure, les causes de sa blessure par arme à feu restent encore floues. Même si un officiel mauritanien parle de tir par erreur d’une unité de l’armée, il pourrait s’agir d’un règlement de compte au sein de l’armée.

Il est depuis ce lundi hospitalisé à Percy, dans le département des Hauts-de-Seine, la banlieue ouest-parisienne. A entendre Mohamed Ould Abdel Aziz, il vient à Paris pour bénéficier de « soins complémentaires » car, selon lui, son opération à Nouakchott, la capitale de la Mauritanie, s’est déroulée avec « succès ».

D’où vient le tir ?

D’après les autorités mauritaniennes, le président mauritanien a essuyé ce samedi un tir d’une unité de l’armée. « Je veux rassurer tout le monde sur mon état de santé après cet incident commis par erreur par une unité de l’armée sur une route non pavée près de Touela. Grâce à Dieu, je vais bien », a déclaré un officiel mauritanien.

Cette hypothèse soulève pas mal d’interrogations. « D’autant que la Mauritanie a une histoire jalonnée de coups d’Etat militaires et que Aziz a été menacé de mort par Aqmi, qui l’accuse de mener pour la France une “guerre par procuration” contre ses combattants », analyse LeFigaro.fr.

Selon nos informations, on parle de règlement de compte entre factions rivales au sein de l’armée. Mohamed Ould Abdel Aziz ayant eu tendance, ces derniers mois, à piller le pays sans vergogne, et sans pour autant partager avec les autres généraux. D’où ce supposé vent de révolte et cette prétendue tentative d’assassinat. Pour l’heure, la version officielle de la présidence mauritanienne n’a pas changé.

 

PAR SÉBASTIEN BADIBANGA

Sourceafrik.com

Communiqué de Touche pas à ma nationalité

altLe président de la république a été victime, le samedi 13 octobre 2012, de tirs, qui selon la version officielle, sont de nature accidentelle. Il est évident que cette version ne convainc personne. Le peuple mauritanien a le droit d’être informé surtout quand il s’agit d’une institution aussi importante que celle du président de la république.

Une enquête doit être diligentée pour faire la lumière sur cet incident gravissime qui a ébranlé l’Etat au plus haut point. Cela doit être aussi l’occasion de faire la lumière sur l’ensemble des pages sombres de l’histoire de la Mauritanie : le génocide contre la communauté noire, l’assassinat de Lamine Mangane et bien d’autres forfaitures. En effet ; il ne faut pas s’y tromper ; la survenue d’un tel incident n’est pas fortuite. Le racisme et l’esclavagisme érigés en système de gouvernement dans notre pays ne peuvent prospérer que dans le désordre et le chaos. Il est inutile de rappeler ici les différents coups d’état qui ont ponctué l’histoire du pays et dont le dernier en date est celui qui a justement porté Mohamed Ould Abdel Aziz au pouvoir en 2008. Cette tentative d’assassinat du président, puisque selon toute vraisemblance c’est de cela qu’il s’agit, n’est qu’un énième effet pervers du système.

Touche pas à ma nationalité exige la vérité sur cet évènement sans précédent dans l’histoire de notre pays  et ose espérer que le pouvoir ouvrira enfin les yeux sur la déliquescence du système de gouvernement inique qui régit la vie des Mauritaniens et qui est inéluctablement voué à l’échec.

Nouakchott le 15 octobre 2O12

La coordination