Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Daily Archives: 18/10/2019

Communiqué

Communiqué

A la suite de la publication d’un soit disant communiqué sanctionnant les travaux du conseil des présidents de la CVE le 17 courant, le président de l’AJD/MR , au nom du Bureau Politique,tient à faire les précisions suivantes:

1)L’AJD/MR, fidèle à ses dispositions légales ne peut pas faire partie d’une coalition durable avant la remise en cause de ces dispositions.

2)Les militantes et les militants du parti ne sont pas prêts à saborder une organisation qu’ils ont bâtie laborieusement et qui est officiellement reconnue .

3). L’AjD/MR serait plutôt favorable à la même formule qui a permis à la CVE d’aller aux dernières élections présidentielles.

Nouakchott le 18 octobre 2019.

Ibrahima Moctar Sarr

CVE : COMMUNIQUE

La CVE condamne fermement le recrutement discriminatoire de 47 élèves officiersLa CVE répond à la volonté exprimée par sa base et affiche ses ambitions Le Conseil Présidentiel de la Coalition Vivre Ensemble (CVE) s’est réuni les 03, 10 et 17 octobre 2019, à l’effet d’examiner les perspectives post-électorales de la CVE. Tenant compte de la volonté mainte fois exprimée par la base, à l’unanimité, le Conseil Présidentiel s’est accordé sur l’impérieuse nécessité de maintenir, de renforcer et de consolider la Coalition Vivre Ensemble. Répondant à ce souci, le Conseil Présidentiel a redéfini ses objectifs, ses structures, son mode de fonctionnement et son domaine de compétences. Parmi les objectifs retenus, la CVE œuvrera au renforcement de l’unité nationale et de la cohésion sociale, dans le respect de la diversité culturelle, à travers la recherche d’un nouveau pacte de confiance dans le cadre d’un Etat multinational. Les structures majeures de la CVE comprendront une Présidence à mandat, renouvelable une fois, assurant l’Exécutif et un Comité de pilotage. Une charte et un règlement intérieur en fixeront les rôles et les responsabilités de chaque organe. Prenant acte de la nécessité d’impliquer tous ses sympathisants, le Conseil Présidentiel a décidé que l’organisation se fera à la base, à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, dans le cadre d’une implantation, afin d’asseoir la légitimité des représentants de la CVE. Par ailleurs, le Conseil Présidentiel s’est accordé pour confier à la CVE l’exclusivité en matière de dialogue politique et/ou national, ainsi que la gestion de toute consultation électorale. Enfin, le Conseil Présidentiel de la CVE lance un appel pressant à l’ensemble des mauritaniens, sans distinction aucune, qui partagent l’idéal du Vivre Ensemble, à se retrouver dans les meilleurs délais afin de sauver notre pays avant qu’il ne soit trop tard !

Le Conseil Présidentiel de la CVE.

Fait à Nouakchott, le 17 octobre 2019

Mauritanie : UPR, “un coup d’Etat” politique

Mauritanie : UPR, Mauriweb – L’Union Pour la République, parti créé par l’ancien président, Mohamed Ould Abdelaziz, sur les décombres du PRDS de Taya, inaugure sa mue. Les caciques de l’ancien régime en font les frais. Est-ce le début de la fin ?

Le parti de l’Union pour la République (UPR) est dans tous ses états. Ses animateurs ne savent plus de quoi demain serait fait ; d’autant que la rumeur accorde au président Mohamed Ould Cheikh Ghazouani l’intention de vouloir créer son propre parti. Même si ce n’est pas encore un coup de pied dans la ruche, le parti tente un toilettage qui «élimine » ses dirigeants les plus « mouillés » sous l’ancien régime.

Mardi, en tout cas le président du comité directeur de l’UPR, Seydna Ali Ould Mohamed Khouna, a rassemblé autour de lui les principaux membres du directoire du parti pour annoncer la couleur du changement.

Un changement qui n’était pas du goût de certains membres présents à la réunion. Il faut bien dire que ces divergences d’appréciation de la situation politique au sein de ce parti ne datent pas de cette réunion. Leur racine remontent à l’avant-présidentielle et au dispositif placé pour tenir en cage le président Ghazouani.

Le premier en faire les frais est l’ancien président du groupe parlementaire, le député Mohamed Yahya Ould Kharchi, instigateur de la tentative de parlementaires de violer la Constitution pour permettre à l’ancien président de se représenter, une troisième fois. Il est remplacé à la tête de ce groupe par un homme discret et affable, le député de Monguel, Habib Brahim Diah.

Présentée comme une démission, la chute du président du groupe parlementaire est perçue comme un « aveu de fidélité » à l’ancien président qui l’a économiquement et politiquement hissé pour se retrouver président du groupe parlementaire de l’UPR. Il serait d’ailleurs en tête d’une fronde politique animée contre l’actuel président, Ghazouani.

Mais il n’est pas seul et certains de ses « complices » ne voudraient pas se plier à l’exigence de changement qui appelle à couper des têtes dans ce parti pour repartir sur des bases politiquement plus saines. Ce serait donc fonction de cette « résistance » opposée par les caciques de l’ancien régime que l’actuel président décidera, dit-on, de créer ou non une nouvelle formation qui porterait son programme politique.

Mais on révèle, dans le même temps, l’immixtion de l’ancien président, qui aurait tout à perdre en suscitant une confrontation avec le nouveau pouvoir, par un appel à la retenue des rares hommes qui lui seraient restés fidèles dans cette formation. Il semble en tout cas clair avec cette démission que le courant ne passe plus entre la majorité de l’UPR qui soutient le président Ghazouani et une minorité décidée à lui rendre la vie difficile.

A ce titre, le président Ghazouani n’entendrait plus s’en faire compter par des hommes et des femmes qui se sont servis du pays au lieu de le servir. Il serait prêt, dans cette logique, à déterrer toutes les haches de guerre avec les survivances d’un régime auquel il n’a jusqu’à présent pas voulu demander des comptes sur sa gestion abracadabrante du pays toute une décennie durant. Lui laissera-t-on un autre choix ?

J.D (Le Quotidien de Nouakchott)

https://www.lequotidien.mr

MAEC : l’élection de la Mauritanie au CDH lui permettra de véhiculer sa voix et son noble message

MAEC : l’élection de la Mauritanie au CDH lui permettra de véhiculer sa voix et son noble messageAMI – Le Ministère des Affaires Etrangères, de la Coopération et des Mauritaniens à l’Etranger, a affirmé que l’élection de la Mauritanie en tant que membre du Conseil des Droits de l’Homme (CDH) lui permettra une participation active dans les travaux de cet organisme, de s’exprimer et de véhiculer son noble message en matière de droits de l’homme.

Dans un communiqué émis vendredi, dont une copie est parvenue à l’AMI, le ministère a fait état de sa satisfaction de ce dénouement honorable qui concrétise les directives du Président de la République, Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, dans l’adoption de tout ce qui susceptible de renforcer la présence effective du pays au sein du concert des nations, tant au niveau régional qu’international.

Voici le texte du communiqué :

“La Mauritanie a réalisé une victoire éclatante hier soir lors de la dix-septième séance de l’Assemblée Générale des Nations en sa soixante-quatorzième session, dans la mesure où la République Islamique de Mauritanie a été élue membre du Conseil des Droits de l’Homme pour la période allant de 2020 à 2022 par 172 voix sur 187.

La qualité de membre de cette agence onusienne permettra au pays de participer de façon efficiente aux travaux du Conseil et de transmettre sa voix et son noble message en matière de Droits de l’Homme.

Le Ministère des Affaires Etrangères, de la Coopération et des Mauritaniens à l’Etranger, se réjouit de cet honorable résultat, qui couronne les efforts des autorités publiques et constitue une concrétisation des instructions du Président de la République, Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani dans l’adoption de tout ce qui susceptible de renforcer la présence effective du pays au sein du concert des nations, tant au niveau régional qu’international”.

AMI

lettre de Abdoulaye Bathily à Alpha Condé

Merci beaucoup ! Le peuple de Guinee a trop souffert , trop de sang , de larmes , de déplacements forcés , trop de citoyens ont subi un séjour carcéral pour des raisons politiques qui auraient dû être évitées depuis toujours . Cette tragedie vous pouvez y mettre un terme aujourd’hui même en annonçant le retrait de ce projet de nouvelle Constitution en faveur d une concertation nationale sur la base d un engagement sollennel à ne pas briguer un troisième mandat . Une telle décision vous grandirait , vous donnerait une place exceptionnelle dans l histoire de la Guinée martyre . L Afrique vous serez reconnaissante en cette période particulièrement décisive pour l avenir de nos peuples pour lesquels vous ,nous et d autres camarades se sont engagés depuis plus de cinq décennies . C est à mon avis la meilleure voie pour une transition apaisée et durable

. Sentiments fraternels renouvelés

Abdoulaye Bathily