Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Daily Archives: 14/04/2021

LES FPC DISTRIBUENT DES KITS DE RAMADAN AUX FAMILLES DÉMUNIES.

Avec et grâce à l’appui de la Fédération FPC- Amérique du Nord, le bureau national exécutif, à travers la Fédération nationale de l’intérieur, procédera, en ce début du mois de ramadan comme chaque année, à une distribution de kits alimentaires en soutien aux militants faibles et aux familles les plus démunies de Basra de Nouakchott.

Nouakchott le 14 Avril 2021

Le département de communication des FPC.

Entretien du président Samba Thiam des FPC avec Ghazouani

Ce mardi 13 Avril 2021 sur appel de la Directrice de Cabinet à la Présidence de la République, Le Président a eu l’amabilité de m’accorder un entretien.

Cet échange a tourné autour de généralités portant sur les visions respectives et nos dispositions d’esprit communes à aborder les problèmes dans l’intérêt bien compris de la Nation. A faire de sorte que ‘’ la diversité ne tourne pas en adversité’’, étant entendu que personne n’avait l’apanage du patriotisme.

Des échanges ou la communication autour des défis nationaux entre acteurs politiques constituait, en soi , déjà une amorce de solution ; un problème débattu est à moitié résolu, dit l’adage …

En tout état de cause nous avons renouvelé les dispositions des FPC à accompagner dans la bonne direction.

Bref, cette rencontre a surtout permis de briser la glace entre Mr Ghazouani et moi-même. Quelque peu timide au début elle s’est achevée sur un climat détendu.

Samba Thiam

Pr des FPC

Gonflé à bloc !

Soumis par un juge d’instruction à un contrôle judiciaire strict, après avoir été inculpé pour : blanchiment d’argent, corruption, enrichissement illicite, obtention d’avantages indus et obstruction au déroulement de la justice, entre autres – excusez du peu… – Ould Abdel Aziz, dont une grande partie de la colossale fortune qu’il a amassée vient d’être gelée, ne s’avoue pas vaincu. Après une première tentative d’OPA sur un minuscule parti, le voilà à tenter un nouveau mariage contre-nature avec Ribat. Dirigé par Saad ould Louleïd, un membre fondateur d’IRA qui n’hésitait pas à traiter Aziz de dictateur et connut un séjour mouvementé en prison, avant de retourner sa veste contre quelques marchés substantiels, ce groupuscule fit chou blanc lors des dernières élections, ne réussissant pas à obtenir même le moindre conseiller municipal.

Se rêvant de Gaulle – Ah, la grenouille qui veut se faire plus grosse que le bœuf… – Ould Abdel Aziz cherche à enfiler la tunique du sauveur. Et de brosser, dans le communiqué annonçant ses fiançailles, un sombre tableau de la situation du pays… mais sans un mot sur la procédure judicaire qui le vise avec douze de ses anciens collaborateurs et parents, ainsi  que l’origine des montants faramineux qui ont tant choqué l’opinion publique. Florilèges de cette étonnante stratégie : « L’état de déclin et de recul que le pays connaît aujourd’hui menace l’unité nationale et les réalisations ; […] cette situation s’est traduite par un déclin significatif du niveau moral et éthique, l’abandon des principes et un net déclin de l’état des libertés individuelles et collectives. […] L’état de régression et la dégradation constatés au niveau  administratif et financier ne se sont pas arrêtés à ce point seulement, mais l’ont dépassé jusqu’à l’éviction de la simple main-d’œuvre nationale des moyens de subsistance naturels nationaux grâce aux richesses minérales, maritimes et agricoles. […] Les services administratifs sont dans une situation catastrophique car l’administration est revenue une époque antérieure marquée par le laisser aller et  la corruption […] Les marchés de complaisance et l’emploi sur des bases politiques et familiale ont refait surface […] L’opposition et l’Assemblée nationale dans le même sac, elles ne jouent plus aucun rôle ». Signé Ould Abdel Aziz.

Le ‘’président symbole’’, comme l’appellent ses rares soutiens (sans préciser de quoi au fait) n’imagine sans doute pas qu’il a brillamment décrit la situation qu’il nous a fait endurer pendant une décennie.

 Si, si, j’ai vérifié, ce n’est pas un fake new ! Vraiment gonflé, l’ex-Président ! Arrête, arrête, tu vas finir par éclater ! C’est « un peu » (beaucoup trop !) l’hôpital qui se moque de la charité.

                                                           Ahmed ould Cheikh

LE CALAME

Le Président de la République félicite le peuple mauritanien à l’occasion du mois béni de Ramadan

Son Excellence le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a félicité le peuple mauritanien à l’occasion de l’avènement du mois béni du Ramadan

Son Excellence a déclaré dans un tweet: “Chers citoyens résidents au pays ou à l’étranger, à l’occasion du mois béni du Ramadan, je vous adresse, à tous, mes sincères félicitations, en vous souhaitant un jeûne et des prières exaucé.”

Je vous invite à vous inspirer des nobles valeurs du Ramadan, à tirer profit des félicités de ce mois sacré et à incarner la tolérance et la solidarité.

Qu’Allah protège notre pays et bénisse la nation pour l’avènement du mois sacré. “

Ami

LA LETTRE DU PRÉSIDENT SAMBA THIAM DES FPC AU PRÉSIDENT DE LA COUR SUPRÊME DE MAURITANIE

Nouakchott 03 Avril 2021
                                            A Monsieur                                       le Président de la Cour suprême,
Objet : rappel de mon dossier 0052/2015, en souffrance dans vos services.
Monsieur le Président, J’ai choisi, cette fois, de rendre publique ma correspondance en même temps qu’elle vous parvient. Vous m’en excuserez, on ne m’a pas offert d’autres choix. J’ai besoin, après cinq années de patience dans la discrétion, de porter cette fois la chose devant l’opinion mauritanienne; au devant les mauritaniens honnêtes, courageux, épris de justice, soucieux de la bonne marche de notre administration, mais surtout  résolus à combattre ces  injustices, flagrantes, où qu’elles soient.Rappelons que, victime de l’arbitraire du ministère de l’interieur qui refusa de reconnaitre le Parti politique FPC, bien que toutes que les conditions prescrites par la loi fussent réunies par nous, j’avais fait recours auprès de la Cour Suprême en 2015. Depuis, j’attends toujours malgré de nombreuses lettres de rappel adressées tant au président de la Chambre administrative qu’à vous-même, restées sans suite . Dossier régulièrement  programmé , mais  toujours déprogrammé à quelques heures des séances du tribunal. Au dernier épisode, en novembre 2020, les personnes en charge on fait comprendre à mon avocat que l’affaire avait été  jugée mais qu’il ne pouvait être informé  du  verdict …
C’est ça l’image de notre République …Islamique !
Il y a, par ailleurs ,- soit dit en passant- comme une fixation sur mon parti  et un acharnement sur ma personne, en termes de droit individuel du citoyen dénié. En effet, de tout le groupe des  prisonniers politiques- civils et militaires de Walata de 1986 et par delà -, je demeure, aujourd’hui,  le seul, vivant à l’intérieur, qui se voit refusé toute indemnisation et tout  droit à pension. Pour des raisons de positionnement politique, manifestement …
 Je reviens donc, encore une fois, Monsieur le Président, vous demander de dire le Droit qui, nous en sommes persuadés mes camarades et moi,  s’il était  dit, serait  en notre faveur.  Veuillez croire, Monsieur, à nos sentiments déférents.
Samba Thiam Président des FPC