
La source a précisé que la convocation produite par le juge d’instruction donne à Ould Waghf jusqu’à lundi prochain pour comparaitre devant le juge Ammar Ould Mohamed Lemine.
Cette convocation surprenante de l’ancien Premier ministre du président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi arrive pour confirmer la volonté des autorités à rouvrir ce dossier qui avait conduit à l’arrestation d’Ould Ahmed Waghf juste après le coup d’état du 6 août 2008. Des sources concordantes avaient lié à l’époque l’abandon des poursuites contre l’ancien Premier ministre à la sortie de son parti de la Coordination de l’opposition démocratique pour entrer dans la majorité présidentielle soutenant le président Mohamed Ould Adel Aziz. Pour bon nombre d’observateurs de la scène politique mauritanienne, ce sont probablement les propos critiques d’Ould Ahmed Waghf envers la gestion du pouvoir et l’annonce d’une possible fusion entre la coalition à laquelle appartient son parti, la Convergence patriotique regroupant Adil, le Mouvement pour la Rénovation et le Renouveau démocratique avec la Coalition pour une alternance pacifique (CAP) regroupant l’APP, Al Wiam et Sawab, qui ont poussé le pouvoir rouvrir le dossier du « riz avarié ».
Dans le même ordre d’idée, le président du parti Al Wiam, Boydiel Ould Houmeid, a rendu visite aujourd’hui à l’ancien Premier ministre Yahya Ould Ahmed Waghf au siège de son parti pour lui exprimer sa solidarité avec lui et jugeant les mesures judiciaires prises à son encontre d’injustes.
Ould Houmeid a déclaré à Sahara médias que seule la Haute Cour de Justice est en mesure d’interpeller et de juger Ould Ahmed Waghf, parce qu’il a paraphé les dossiers objets de cette affaire en sa qualité de Premier ministre. Il ajouté qu’il y a une commission chargée de l’évaluation de la question et qu’il était prévu qu’elle transfère le dossier à la Haute cour de justice, chose qui fait que la procédure suivie actuellement contre Ould Waghf est erronée, conclut Boydiel Ould Houmeid.
Cette convocation surprenante de l’ancien Premier ministre du président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi arrive pour confirmer la volonté des autorités à rouvrir ce dossier qui avait conduit à l’arrestation d’Ould Ahmed Waghf juste après le coup d’état du 6 août 2008. Des sources concordantes avaient lié à l’époque l’abandon des poursuites contre l’ancien Premier ministre à la sortie de son parti de la Coordination de l’opposition démocratique pour entrer dans la majorité présidentielle soutenant le président Mohamed Ould Adel Aziz. Pour bon nombre d’observateurs de la scène politique mauritanienne, ce sont probablement les propos critiques d’Ould Ahmed Waghf envers la gestion du pouvoir et l’annonce d’une possible fusion entre la coalition à laquelle appartient son parti, la Convergence patriotique regroupant Adil, le Mouvement pour la Rénovation et le Renouveau démocratique avec la Coalition pour une alternance pacifique (CAP) regroupant l’APP, Al Wiam et Sawab, qui ont poussé le pouvoir rouvrir le dossier du « riz avarié ».
Dans le même ordre d’idée, le président du parti Al Wiam, Boydiel Ould Houmeid, a rendu visite aujourd’hui à l’ancien Premier ministre Yahya Ould Ahmed Waghf au siège de son parti pour lui exprimer sa solidarité avec lui et jugeant les mesures judiciaires prises à son encontre d’injustes.
Ould Houmeid a déclaré à Sahara médias que seule la Haute Cour de Justice est en mesure d’interpeller et de juger Ould Ahmed Waghf, parce qu’il a paraphé les dossiers objets de cette affaire en sa qualité de Premier ministre. Il ajouté qu’il y a une commission chargée de l’évaluation de la question et qu’il était prévu qu’elle transfère le dossier à la Haute cour de justice, chose qui fait que la procédure suivie actuellement contre Ould Waghf est erronée, conclut Boydiel Ould Houmeid.
Source:Saharamedia