Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

LE DIALOGUE NATIONAL : Je dialogue, tu fais semblant, il fait le sourd

Résultat de recherche d'images pour Pour effectuer son entrée dans l’Académie Mauritanienne des « Amours impossibles », le dialogue national a encore quelques formalités à accomplir. D’abord trouver la définition qui convient aux différents prétendants.Pour la majorité, bouillante, des minorités regroupées au sein de la majorité Aziz-Hyène, le dialogue est un machin qui permet aux « rectificateurs » de marquer le pas en attendant de savoir quoi faire.

Pour l’opposition, dans sa majorité plurielle, forte de son droit, il faut laisser parler ses avocats. Et elle en a !

Entre Bettah, qui appelle à une rencontre (rien de plus!), Maroufa, dont le parcours est « Marouf » (connu), Gourmo, dont la robe est à Bordeaux et Bouhoubeyni, que Aziz confondait avec « Bou-Houb-Eydi » (embrasse ma main), par déformation due à la proximité des « sujets », on n’a que l’embarras du choix.

Et le dialogue dans tout ça ? Quel dialogue ? Cette grande fiesta dont les préparatifs font vivre, depuis plus de deux ans, les plus riches des anciens pauvres?

Pas exactement. Le dialogue, tel que testé par Messoud et ses co-équipiers, serait un système qui permet de délester, par étape, l’opposition de ses différents étages, avant l’alunage.

Alors que, ceux auxquels l’idéologie interdit de rêver, persistent à croire qu’il n’y aura pas d’alunage. Restent ceux qui, en toute dialectique bien pesée, estiment que sans l’alunage promis à la CAP, une catastrophe pourrait conclure la prochaine étape.

En toute sagesse, d’autres pôles de l’opposition, préfèrent, à cet alunage à risques, conserver leur atterrissage, bien ancré et plus sage.

Le dialogue tel que la majorité le souhaite, c’est-à-dire sans l’opposition, est-il vraiment possible ? Peut-être, mais seulement avec ceux, que l’attraction terrestre attire ou ceux qui n’envient pas les martyrs.

OULD EHLOU

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