Comme chaque année à Noël, l’heure est à la traditionnelle bénédiction du pape « urbi et orbi », c’est-à-dire à la ville de Rome et au monde. François s’est adressé aux catholiques de tous les continents depuis le Vatican. Il a imploré la paix, jugeant que trop de larmes coulent.
Avec notre correspondant au Vatican, Antoine-Marie Izoard
Comme le veut la tradition, le souverain pontife est apparu à la loggia centrale de la basilique Saint-Pierre de Rome, avant de donner sa bénédiction « urbi et orbi ». Il a prononcé son message de Noël devant une place noire de monde, en direct sur de très nombreuses télévisions de tous les horizons.
Au cœur du deuxième message de Noël de son pontificat, le pape François a une nouvelle fois prié pour tous les peuples, évoquant ceux qui « souffrent des guerres, des persécutions, de l’esclavage ». Il a dénoncé en particulier « la persécution brutale » des minorités religieuses en Irak et en Syrie. Il a encouragé « les efforts de ceux qui s’engagent efficacement pour le dialogue entre Israéliens et Palestiniens ».
Le chef de l’Eglise catholique a souhaité la fin des « tensions » en Ukraine, invoquant la paix dans plusieurs pays d’Afrique comme au Nigeria ou en République centrafricaine. Il a aussi mentionné tous ceux qui souffrent de maladie, avec une pensée spéciale pour les victimes de l’épidémie de fièvre Ebola. Le pape François a également déploré que de « trop nombreux enfants » soient « victimes de la violence » ou « de trafics ». « Vraiment, il y a tant de larmes en ce Noël », a-t-il déploré au terme de ses vœux de paix.
RFI
Comme chaque année à Noël, l’heure est à la traditionnelle bénédiction du pape « urbi et orbi », c’est-à-dire à la ville de Rome et au monde. François s’est adressé aux catholiques de tous les continents depuis le Vatican. Il a imploré la paix, jugeant que trop de larmes coulent.
Avec notre correspondant au Vatican, Antoine-Marie Izoard
Comme le veut la tradition, le souverain pontife est apparu à la loggia centrale de la basilique Saint-Pierre de Rome, avant de donner sa bénédiction « urbi et orbi ». Il a prononcé son message de Noël devant une place noire de monde, en direct sur de très nombreuses télévisions de tous les horizons.
Au cœur du deuxième message de Noël de son pontificat, le pape François a une nouvelle fois prié pour tous les peuples, évoquant ceux qui « souffrent des guerres, des persécutions, de l’esclavage ». Il a dénoncé en particulier « la persécution brutale » des minorités religieuses en Irak et en Syrie. Il a encouragé « les efforts de ceux qui s’engagent efficacement pour le dialogue entre Israéliens et Palestiniens ».
Le chef de l’Eglise catholique a souhaité la fin des « tensions » en Ukraine, invoquant la paix dans plusieurs pays d’Afrique comme au Nigeria ou en République centrafricaine. Il a aussi mentionné tous ceux qui souffrent de maladie, avec une pensée spéciale pour les victimes de l’épidémie de fièvre Ebola. Le pape François a également déploré que de « trop nombreux enfants » soient « victimes de la violence » ou « de trafics ». « Vraiment, il y a tant de larmes en ce Noël », a-t-il déploré au terme de ses vœux de paix.