
«Dans la mesure où le gouvernement algérien n’assure pas la protection des populations civiles mozabites de la vallée du Mzab, le CMA en appelle aux Nations-Unies afin d’arrêter les crimes dans cette région avant qu’ils ne se transforment en atrocités de masse », indique un communiqué diffusé à Paris par le CMA, appelant la communauté internationale « à prendre ses responsabilités et accorder une attention soutenue aux graves atteintes aux droits de humains en Algérie ».
Depuis le début de l’année 2014, les affrontements ont fait « cinq morts jusqu’à présent, le dernier en date du 7 février, et des centaines de blessés dont certains resteront handicapes à vie », indique un communiqué du CMA, ajoutant que des « dizaines de maison et de véhicules ont été saccagés ou incendiés, des tombes et des mausolées mozabites millénaires ont été profanés». Selon le CMA, « Ces actes d’une haute gravité motivés par la haine raciale ont été perpétrés sous les yeux de nombreux policiers qui n’interviennent que pour défendre la population arabe et pour tirer des bombes lacrymogènes sur les manifestants mozabites.
Et lorsque certains criminels sont arrêtés, la justice les libère aussitôt, encourageant ainsi la spirale de la violence ». Dénonçant le fait que « le gouvernement algérien n’a pas pris aucune mesure sérieuse susceptible d’arrêter les violences et de protéger efficacement les populations », le CMA « exprime sa plus vive indignation face au comportement du gouvernement algérien qui a laissé la situation pourrir puis dégénérer ». « Les autorités algériennes endossent l’entière responsabilité de ces graves violences qui ont endeuillé des centaines de familles », accuse le CMA dans son communiqué.
Depuis le début de l’année 2014, les affrontements ont fait « cinq morts jusqu’à présent, le dernier en date du 7 février, et des centaines de blessés dont certains resteront handicapes à vie », indique un communiqué du CMA, ajoutant que des « dizaines de maison et de véhicules ont été saccagés ou incendiés, des tombes et des mausolées mozabites millénaires ont été profanés». Selon le CMA, « Ces actes d’une haute gravité motivés par la haine raciale ont été perpétrés sous les yeux de nombreux policiers qui n’interviennent que pour défendre la population arabe et pour tirer des bombes lacrymogènes sur les manifestants mozabites.
Et lorsque certains criminels sont arrêtés, la justice les libère aussitôt, encourageant ainsi la spirale de la violence ». Dénonçant le fait que « le gouvernement algérien n’a pas pris aucune mesure sérieuse susceptible d’arrêter les violences et de protéger efficacement les populations », le CMA « exprime sa plus vive indignation face au comportement du gouvernement algérien qui a laissé la situation pourrir puis dégénérer ». « Les autorités algériennes endossent l’entière responsabilité de ces graves violences qui ont endeuillé des centaines de familles », accuse le CMA dans son communiqué.
Source:Atlasinfo