Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Monthly Archives: April 2020

8eme cas de coronavirus

altLa Mauritanie enregistré mercredi, son 8éme cas de coronavirus(COVID-19), a annoncé le Directeur de la Santé, au Ministère de la Santé et des affaires sociales, le Dr Sidi ould Zahaf.
« Il s’agit d’une dame de nationalité étrangère, âgée de 68 ans qui a été aussitôt isolée et placée dans une structure sanitaire pour recevoir les premiers soins appropriés. Des démarches sont entreprises par les autorités sanitaires en vue de retrouver et isoler toutes les personnes avec lesquelles cette dame serait éventuellement entrée en contact, afin de les tester au COVID-19 et prendre les mesures qui s’imposent en pareilles circonstances ».
En l’absence de déplacement de la malade depuis plusieurs mois et sans contact connu avec un porteur de la pathologie, ce dernier cas découvert dans la banlieue de Nouakchott, apparait comme un véritable casse-tête, avec l’éventualité de la présence du virus au sein de la communauté.
Le ministère de la santé invite les populations à rester mobilisées en respectant les gestes barrières.
Depuis le début de la pandémie mondiale du coronavirus (COVID-19) à ce jour, la Mauritanie enregistrait 7 cas positifs dont un décès et 6 patients déclarés guéris.

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Des organisations féminines réclament une loi réprimant les violences à l’égard des femmes

altUn collectif regroupant une cinquantaine d’organisations féminines a réclamé, ce mercredi 29 avril, devant l’assemblée nationale, l’adoption d’une loi criminalisant les viols et toutes les agressions contre les femmes.Durant leur sit-in, elles ont brandi une banderole sur laquelle on pouvait lire : « Nous femmes mauritaniennes disons: Non! Non aux violences faites aux femmes/filles(Viols +meurtre)! Pour une loi qui nous protège !»
L’une des initiatrices, Mme Sy née Lalla Aiché Ouedraogo, estime que « les femmes mauritaniennes subissent beaucoup de violences, en particulier les viols. Une chaîne macabre des atrocités commises par des délinquants sexuels serpente notre quotidien depuis quelques années : le viol de quatre fillettes à Tevragh Zeïna par le monstre français, le viol à Sélibaby la semaine dernière d’une femme mariée, l’agression sexuelle suivi d’assassinat à Tiguent de Kadijetou Omar Sow, Penda Sogue, 20 ans, violée et mutilée à mort dans la nuit 27 au 28 mars 2013 à Tarhil, Kadji Touré, 6 ans, enlevée dans le quartier Kouva, violée, tuée, jetée sur une plage en octobre 2013, Zineb mint Abdallah, 10 ans, violée et immolée par le feu, elle succombe à ses blessures, décembre 2014 à Arafat, Roughya mint Ahmed, 8 ans, violée et pendue en février 2016 à Arafat, Zeinabou, 15 ans, violée et malmenée à Arafat en août 2017. Une liste pourtant non exhaustive ! »
« Pour tous ces viols, nous réclamons une loi qui protège les femmes mauritaniennes. Nous voulons une loi spéciale de protection contre toutes les formes de violences particulièrement le viol. Les violeurs ne doivent pas s’en tirer après leurs actes en n’écopant que cinq ans de prison. Que vaut une peine de cinq ans après la disparition d’une jeune fille de 16 ans, de 14 ans, six ou quatre ans ? Nous voulons que la loi soit plus conséquente par rapport à l’acte répréhensible commis par un délinquant », sollicite-t-elle.
A la fin de leur action, elles ont accroché une banderole où leurs revendications et photos sont accolées devant la façade de l’Assemblée nationale, en signe de protestation contre les violences subies par leurs sœurs. On notait aussi la présence des proches de la défunte Khadjetou Sow qui ont réitéré leur exigence de justice.
Rappelons qu’une pétition ayant recueilli de nombreuses signatures exigeant l’adoption d’une loi criminalisant les viols est en ligne.

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|Libre Expression| Le général Mohamed Ould Abdel Aziz: Incontrôlable ou incompris? (suite et fin)

|Libre Expression| Le général Mohamed Ould Abdel Aziz: Incontrôlable ou incompris? (suite et fin)Ely Ould Krombelé-Mais au paravent j’ai connu le sous-lieutenant Mohamed Ould Abdel Aziz en 1980 au Secteur Autonome de Kaédi,, et un peu plus tard en 1984, le lieutenant Mohamed Ould Cheikh Ghazwani au sous-groupement 41 à Fdérik, et que, si depuis le contact n’a jamais été rompu entre nous, ce qu’Allah ne fait rien par contingence.

Au contraire Allah a tout crée par nécessité, car l’ordre de la nature est constant quand le monde, a priori chaotique, est rationnellement régis par le principe de causalité, un déterminisme liant ainsi tous les phénomènes par un caractère prédictif. L’éminent physicien Albert Einstein, géniteur de la théorie de la relativité (espace-temps), n’a-t-il pas dit : je cite “ce qui est incompréhensible, est que ce monde soit compréhensible ” ?.

Ainsi c’est par un déterminisme psychologique ordonné par une puissance qui nous transcende que le chef du 1er Bureau (Etat-Major National) d’alors a muté le sous-lieutenant Ely Ould Krombelé à Kaédi afin de rencontrer le sous-lieutenant Aziz, pour que 40 années plus tard (alhamdoulillah) je puisse témoigner.

Quarante ans pour nous ici sur la planète-terre c’est beaucoup mais dans l’au-delà cela équivaudrait peut-être à une seconde (théorie de la relativité). Si à l’époque j’avais été muté à Néma ou Nouadhibou, peut-être que je n’aurais jamais connu Mohamed Ould Abdel Aziz et que ces lignes que je suis en train de produire n’auraient pas existé.

Toujours est-il qu’en décembre 1984, Aziz est désigné aide de camp de Maawiya, juste après le coup d’Etat contre Ould Haidalla. Certains disent que c’est par l’entregent du cousin germain, le capitaine Ely Ould Mohamed Vall, alors commandant de la 6ème Région Militaire; d’autres prétendent que c’est le beau-père Malainine Ould Nour, homme bien respecté dans le milieu tribal des Smacide, avec l’aide du richissime Abdou Maham.

Moi je dirais plutôt que c’est la conjonction des deux interventions. Qu’importe? C’est à partir de cet instant que les beaux-parents d’Aziz vont se croire tenus de jouer désormais un rôle prépondérant, de par leur proximité consanguine avec le président Maawiya Ould Taya.

Attention, Mohamed Ould Abdel Aziz n’est pas le genre d’homme qui met au devant les relations matrimoniales!!! Bien au contraire…., d’ailleurs il était en désaccord total avec toute une kyrielle d’officiers Smacide qui ont toujours porté à son égard un clin d’oeil soupçonneux. Et croyez-moi il a pu leur tenir tête, aidé il est vrai par deux de ses fidèles compagnons d’armes,surtout à partir du début de l’ an “2000”.

Rien à craindre de ce côté, Aziz est un homme coriace, même si l’Histoire donnera raison un peu plus tard aux cousins de Maawiya (suite au coup d’Etat du 3 Août 2005). C’est ce climat constant de mésentente,doublé de méfiance réciproque qui a été à l’origine de son départ du Basep pour le BCS en 1991, avant l’élection présidentielle de 1992.

Au BCS, il évoluait également en milieu hostile, le chef d’Etat-Major National le détestant et puisque que son caractère d”insoumis”le desservait. Franchement Mohamed Ould Abdel Aziz n’a qu’un seul hobby après l’argent , c’est vivre dans l’adversité.

Plus l’adversaire est important, mieux il se porte. S’il n’a pas d’adversaire de taille, eh bien il le créera lui-même par ses propres agissements. Aziz contre le pouvoir exécutif, c’est du déjà vu : du temps de Maawiya, de Ely Ould Mohamed Vall, de Sidi Ould Cheikh Abdallahi et maintenant de Mohamed Ould Cheikh Ghazwani.

C’est plus fort que lui, ou bien c’est lui le chef ou bien il s’oppose au chef. Personne ne doit être au-dessus de Ould Abdel Aziz. Il est conçu comme ça et on n’y peut rien.

Toujours est-il que pour sortir de cet “enfer”du BCS, un stage pour le cours d’Etat-Major au Maroc était le bienvenu (1993-94). Ainsi à son retour du Maroc de 1994 à l’an 2000, il rongeait son frein, muté à la 6ème Région militaire comme adjoint aux opérations. A l’époque mieux vaut être un vendeur de poulets que de tenir ce poste.

Son retour au Basep en l’an 2000 était un appel du destin et c’est suite à la tentative avortée du 8 Juin 2003 des cavaliers du changement, que l’ambition de jouer un rôle politique de premier plan, germa dans l’esprit d’Ould Abdel Aziz.

Vraiment il n’était pas le seul à caresser cette aventure. Le nouvel homme fort de l’Etat-Major National, après la mort de Mohamed Lemine Ould Ndeyane et l’éviction de son successeur, le colonel El Hadi Ould Sedigh, je veux nommer le colonel Arbi Ould Jedeïn, amadoué aussi par un staff d’officiers, pensait également que Maawiya était fini et que le fruit était “mûr pour la cueillette”.

Mais le trio Aziz et Ghazwani, sans oublier l’acquisition du colonel Cheikh Ould Bayé, que j’appelle le clan des colombes, a dégainé avant le clan des faucons . Ainsi Django a tiré le premier. Ce jour du 3 Août 2005, “les colts ne chantèrent pas la mort et ce ne fût pas le temps du massacre”, heureusement pour nous, contrairement au 8 juin 2003.

Auteur de deux coups d’Etat, ayant exercé deux mandats présidentiels à sa guise, voilà Ould Abdel AZIZ encore aujourd’hui au devant de la scène. Cette fois pas en position de force, encore moins en héros mais plutôt en perturbateur patenté.

Il faut remettre les faits dans leur contexte avec le maximum d’objectivité historique, ce qui est un exercice délicat. Pourquoi Aziz agit-il de la sorte? Continuons pour l’instant d’éplucher son parcours en essayant de déceler les causes de son “naufrage” après son départ de la présidence, l’été dernier.

3/ La “balle amie”du mi-mandat en 2012 ou l’influence néfaste des proches:

Les images qui nous parvenaient du président Aziz après l’attaque de 2012, nous montraient un homme exsangue au regard hagard. La convalescence qui dura des mois, a été sans doute l’occasion pour sa petite famille d’édifier un mur de protection autour de lui.

Toujours est-il qu’Aziz est devenu vulnérable, poreux à certains souffles qu’il rebutait jusque là, pour des raisons que nous ignorons encore. Au même moment où on lui faisait probablement croire qu’il bénéficiait d’une baraka sans commune mesure. Lui qui n’a jamais supporté les caprices de beaux-parents, commençait à tolérer ceux des beaux-fils, mais également des enfants.

Ce qui sera fatal à sa notoriété et à l’exercice de la bonne gouvernance. Ainsi la vague d’assauts sur le patrimoine foncier surtout, “ces quelques arpents de terre” disait Voltaire jadis quant à l’actuel Canada, a laissé des boursouflures livides dans l’inconscient collectif des mauritaniens.

Aussi la chasse aux postes juteux, bref les manoeuvres frauduleuses qui dépassent l’entendement peuvent commencer. L’influence de la famille sur un homme diminué, certes culpabilisé a permit d’échafauder des projets destinés à bâtir un gigantesque empire financier. Je suis sûr que si Aziz jouissait de toutes ses facultés mentales, il n’aurait jamais accepté l’ingérence manifeste de ses proches, à ce point.

Mais à force de dire à un homme “tu es le meilleur, tu es courageux, tu n’as rien à craindre; le peuple t’est acquis pour toujours” etc.., il se croirait tout permis…. Vous vous souvenez sans doute du rôle néfaste de la première dame tunisienne Leïla Ben Ali sur son mari ? Ainsi un président mal conseillé à domicile, mal conseillé au bureau,entouré d’une pléiade de courtisans qui ne le contrarient jamais , au contraire qui flattent son orgueil, se croit-il sans doute sur le bon chemin.

Au moment de sa convalescence en 2012, qui lui a maintenu son pouvoir?, c’est Ghazwani. Cependant que tout le monde était acquis au changement donc à un coup d’Etat ” médical”, sauf Ghazwani et quelques proches de Aziz.

A-t-on réellement apprécié à sa juste valeur le rôle olympien du chef d’Etat-Major National Mohamed Ould Ghazwani en 2012? Non…à mon sens ni Aziz ni ses proches n’ont eu de la compassion pour ce général loyaliste.L’arrogance de certains les poussent souvent à croire que la sagesse mesurée des autres est une faiblesse congénitale.Or il est dit qu’il ne faut jamais réveiller le chat qui dort.

4/La commission parlementaire : épée de Damoclès et couteau suisse

Ne dit-on pas que pour enterrer un projet il faut lui désigner une commission? Je pense qu’il est inadmissible de faire porter le chapeau de la gabegie au seul Mohamed Ould Abdel Aziz.D’ailleurs pourquoi ne pas confier ce problème à la justice? Certes Aziz est le premier responsable de par son statut de chef de la magistrature suprême.

Et que s’il avait mis son génie créateur d’empire financier au service de la promotion de son pays, la Mauritanie aurait probablement été de nos jours le “Dubaî” de la sous-région.

Mais voilà que nous sommes le seul pays de la zone sahélo-saharienne où l’on voit encore des ânes tirer des charrettes pour la distribution de l’eau, ou encombrant nos artères principales. Je défie quiconque de voir dans les rues de Bamako ou Dakar des ânes tirant des charrettes.Les jeunes ruraux maliens ne montent les charrettes qu’une fois en Mauritanie, même si ce sont les maliens qui sont les premiers exportateurs et constructeurs de charrettes de tous les pays du Sahel.

Cette paupérisation où le ministère du transport est incapable de réguler le trafic routier; le ministère de l’hydraulique incapable à son tour de ravitailler en eau une population de moins de 4 millions d’habitants et ce, depuis l’indépendance, est une lourde responsabilité symbole de la défaillance de tous les pouvoirs successifs.

Celui de Ghazwani fera-t-il exception? Je ne parle pas des secteurs non moins importants que sont l’éducation et la santé, qui elle semble sortir la tête de l’eau.

Enfin ceux qui ont rendu le détournement des deniers publics possibles, qui ont collaboré avec Aziz et les proches de Aziz sont aussi comptables autant que lui. Certes la commission parlementaire est un instrument destiné à canaliser les agissements d’Ould Abdel Aziz, elle se pose en une épée de Damoclès.

Car l’homme est incontrôlable et il faut toujours le “surveiller comme le lait sur le feu”.Cette commission n’a pas qu’un rôle dissuasif, c’est aussi un semblant de couteau suisse. En effet son énergie stabilisatrice peut dévier pour cause de vents contraires et déstabiliser ainsi sa propre rampe de lancement.

Voilà une première que de vouloir auditionner un ancien président de la république en Mauritanie sans la maîtrise pourtant de tous les leviers juridiques par les parlementaires eux-même. A supposer que pour tout essai il y a souvent des ratés.

Quand Aziz président, voulait la lune on la lui décrochait; maintenant Aziz sans le Basep ne représente aucun danger, il est comme tous les anciens présidents nostalgiques du pouvoir et qui prennent du temps à vociférer avant de se calmer.

Si aujourd’hui Ghazwani demandait à vouloir habiter les étoiles, ses conseillers,ses ministres et autres parlementaires s’empresseront de lui dérouler le tapis rouge en lui disant que le vaisseau spatial est prêt … Personne ne pourra lui dire face à face que la Mauritanie n’a pas la possibilité de l’envoyer dans l’espace.Cette comédie du mensonge et de la trahison perpétuels va durer jusqu’à quand?

Et si nos braves parlementaires étaient à leur tour manipulés par des groupuscules politiques ou des feudataires qui détestent les militaires depuis 1978 ? Et si encore leur objectif était de créer la discorde entre Aziz et Ghazwani, ce qui est fait, et que désormais ils veulent marginaliser voire auditionner également le président du parlement Cheikh Ould Bayé.?

Alors que restera-t-il du magique trio des colombes, quand Aziz et Cheikh Ould Bayé auront été mis à la touche? Que Ghazwani….. Plus sérieux, je doute que l’agenda des parlementaires n’en cache un autre au dessein fangeux afin de venir à bout de la “dynastie des militaires”? Attention au retour de manivelle car, l’Histoire, toujours elle, nous apprend qu’en pareils moments, le tout ou son contraire peuvent se produire. Il ne faut jamais prendre ses désirs fantasmagoriques pour de la réalité./.

Ely Ould Krombelé, France


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Politique : L’ancien président épinglé par la Somelec pour 162 millions Mro de fraude

Politique : L'ancien président épinglé par la Somelec pour 162 millions Mro de fraudeMauriweb– L’ancien président, Mohamed Ould Abdelaziz, a été épinglé par les services de la Somelec (société nationale d’électricité) pour une fraude sur son réseau estimée à plus de 160 millions d’ouguiyas anciens, révèlent mardi nos confrères de alakhbar.

Les relevés de consommation d’énergie produits par la Somelec dans un rapport sur cette affaire indiquent que trois usines, à Nouadhibou, Rosso et Benauichab ainsi que plusieurs demeures appartenant à l’ancien président étaient frauduleusement branchés sur le réseau de la société sans aucun paiement en retour. Sur les neufs cas indexés par la Somelec certains remontent à l’année 2016.

La société qui indique avoir rompu ces branchements frauduleux en mars et avril 2020 aurait mis en demeure l’ancien président de régler ses arriérés. Ce dernier aurait mandaté certains de ses proches pour négocier avec l’entreprise.

Notons que cette affaire révélée par nos confrères intervient alors que l’ancien président devrait être entendu par la commission parlementaire en charge de l’enquête sur la gestion des affaires publiques lors de la décennie de sa gouvernance.

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Kaédi : Levée de la quarantaine

La quarantaine imposée à la ville de Kaédi, suite à la découverte d’un cas positif de covid-19, a été levée, samedi 25 avril, par les autorités administratives et sécuritaires du Gorgol, suite à la guérison du seul cas enregistré.
Ainsi, les routes et les points de passage vers les villages et les communes relevant du département central mais aussi vers les trois autres départements ont été rouverts au grand soulagement des populations des différentes agglomérations. Les unités des forces armées et de sécurité se sont retirées des points de contrôle qu’elles occupaient, suite à l’arrêté du ministère de l’intérieur et de la décentralisation.
Toutefois, les points de contrôle qui existaient avant la mise de la ville en quarantaines restent maintenus, précise-t-on.

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