Les Forces Progressistes du Changement (FPC) Mauritanie

Category Archives: dossiers anniversaires

Benyamin Nétanyahou:Nous allons exterminer la race Noire de notre pays

altBenyamin Nétanyahou a effectué une visite inhabituelle dans les quartiers sud de Tel-Aviv, à proximité de la gare centrale de bus. Le premier ministre israélien a voulu exprimer une soudaine empathie à l’égard des habitants de ces quartiers paupérisés. Non pas en raison du dénuement de leurs habitations, mais de la présence massive de ceux qu’on nomme les « infiltrés » : les migrants africains, originaires d’Erythrée et du Soudan. « Nous allons rendre le sud de Tel-Aviv aux citoyens d’Israël « en exterminant les races impures » de notre pays », a lancé le chef du gouvernement.

 

M. Nétanyahou ne s’est pas contenté de cette visite. Il a aussi prononcé un long monologue, dimanche, à l’occasion du conseil des ministres. Il a évoqué le sort de « Sophia, 72 ans », qui habite au 6e étage d’un immeuble exclusivement peuplé d’« infiltrés illégaux », qui ne sont pas selon lui des « réfugiés » mais des « migrants économiques ». Israël refuse d’accorder un statut de réfugié aux migrants, d’où qu’ils viennent en Afrique.

« C’est la faute du gouvernement s’ils se sont concentrés dans ces quartiers, c’est là qu’ils ont été systématiquement envoyés après leur détention, souligne Jean-Marc Liling, directeur du Centre pour les migrations internationales et l’intégration (CIMI). Dans ces quartiers de Tel-Aviv déjà pauvres, sans infrastructures, les Israéliens les plus vulnérables qui sont restés ont eu le sentiment de ne plus être chez soi. Mais les arrivants ont aussi ouvert des commerces, peuplé les écoles. »

Benyamin Nétanyahou, lui, se félicite d’être parvenu à en faire partir 20 000 sur les quelque 60 000 qui étaient entrés en Israël par le Sinaï égyptien, avant l’édification d’une barrière de sécurité à la frontière, fin 2011. Il estime qu’en initiant la construction de la clôture avec l’Egypte, il a sauvé Israël d’un péril existentiel. Sans cela, « il y avait une menace réelle pour le futur…

Source : http://www.fr.awdnews.com

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Charte de L’Unite Nationale _Forces Progressistes du Changement (FPC)

alt– Déterminées à construire une autre Mauritanie qui appartienne à toutes ses communautes dans l’égal respect de leurs diversités ;

– Intimement convaincues que la Mauritanie ne sera jamais ni stable, ni viable tant que demeureront les politiques visant à faire assimiler une Communauté par une autre;

– Persuadées que seul un Etat de droit conforme aux aspirations des Communautés peut instaurer la fraternité, garantir la Liberté, l’Egalité, et conjurer les périls du futur;

– Conscientes du fait qu’il revient, en dernier ressort, aux Communautés de décider du cadre de leur coexistence et du type d’Etat ¨qui assure leur plein épanouissement;

– Convaincues que seule une structure étatique qui donne à chaque communauté la responsabilité et les moyens de son développement intégral pourrait garantir l’unité de notre pays,

 

Nous, Forces Progressistes du Changement (FPC)

 

adoptons, en conséquence, la présente charte, et nous engageons solennellement à ne ménager aucun sacrifice pour la pleine réalisation d’une Mauritanie égalitaire et démocratique, débarrassée définitivement de l’esclavage et du racisme, unie dans sa diversité, riche de toutes ses cultures épanouies, assurant à toutes ses citoyennes et à tous ses citoyens les mêmes droits.

 

TITRE I : DES PRINCIPES GENERAUX

 

1.1- La république est une et indivisible

1.2- Elle reconnaît et garantit les Autonomies locales

1.3- Elle veille au principe de non-discrimination et au respect de la dignité humaine

1.4- Elle consacre l’égale participation des groupes nationaux à la gestion du pays

1.5- La Mauritanie est un pays multiethnique et pluriculturel, où la République garantit l’égalité de toutes les langues et cultures nationales .

1.6- La Mauritanie est un pays composé de deux (2) Communautés raciales, l’une composée de Noirs (Bamana, Fulbe, H’râtîn, Sooninko, Wolof), l’autre de Blancs (Bîdân)

1.7- Tous les groupes ethniques du pays auront intégralement les mêmes droits. Chacun aura le droit de donner son avis sur toute décision qui engagera son avenir.

 

TITRE II : DU PRINCIPE DE GOUVERNANCE

 

2.1- Tous les citoyens, sans distinction d’origine raciale , ethnique ou culturelle, auront les mêmes droits et les mêmes devoirs.

2.2- Tous les citoyens, sans distinction d’origine raciale , ethnique ou culturelle, auront des droits égaux à participer à la gestion de l’Etat et de ses institutions.

2.3- Toutes les entités nationales auront les mêmes droits dans les organes de l’Etat. Il n’y aura aucune prévalence d’une entité nationale sur l’autre.

2.4- Chaque entité nationale aura droit à utiliser dans son territoire naturel et dans son espace administratif sa propre langue et à développer sa propre culture, dans l’intérêt et pour l’enrichissement de la diversité culturelle du pays.

2.5- Les Communautés, solidaires, auront des droits égaux.

2.6- Il sera institué soit une direction collégiale à présidence tournante à la tête du pouvoir central, soit un Président élu au suffrage universel, et qui serait, alors , assisté de deux vice-Presidents tournant, issus d’ethnies differentes.

 

TITRE III : DU DROIT AUX RICHESSES NATIONALES

 

3.1- Les richesses de la Mauritanie sont un patrimoine naturel national. Elles doivent contribuer à l’émancipation sociale et économique de tous ses groupes ethniques.

3.2- Chaque citoyen aura droit aux richesses nationales, grâce à une redistribution équitable de ces richesses.

3.3- Le partage de la terre exploitable se fera sur la base d’un équilibre à trouver entre le droit naturel et inaliénable des autochtones, celui légitime des autres nationaux, et les exigences de l’ouverture à la modernité .

3.4- Les provinces (ou Regions autonomes) appliqueront le principe de complémentarité et de solidarité.

 

TITRE IV: DU ROLE DU POUVOIR CENTRAL

 

4.1- Il assure un rôle d’arbitre dans les conflits d’intérêts de tous ordres entre les provinces ou regions autonomes .

4.2- Il exerce un rôle de régulation et de compensation dans les échanges entre les regions autonomes .

4.3- Il veille à l’équilibre entre le marché, l’Etat et la société

4.4- L’Etat central dispose des attributs regaliens de souveraineté.

4.5– L’Etat central définit et conduit la politique étrangere, à équidistance du monde arabe , de l’Afrique noire et du monde arabo-musulman.

 

TITRE V : DU RÔLE DE L’ARMÉE

 

5.1- Elle est une armée au service du développement, de la sécurité, garante de la souveraineté nationale.

5.2- Elle est une armée républicaine et neutre face aux partis politiques.

5.3- Elle devra refléter les équilibres raciaux et ethniques nationaux en son sein et plus particulièrement dans le corps du commandement.

5.4- Elle devra appliquer le principe de conscription, sans discrimination, à partir de 18ans.

 

TITRE VI : DISPOSITION COMPLEMENTAIRES

 

6.1 La nouvelle constitution doit nécessairement refléter le consensus national.

6.2 La constitution ne pourra être modifiée que par une majorité spéciale.

6.3- Il sera créé un observatoire national pour les libertés et la Cohabitation.

6.4- Toute pratique avérée d’esclavage et tout acte ou propagande à caractère discriminatoire, raciste ou de mépris national, seront considérés comme crimes et punis comme tels.

6-5 Il sera crée un organisme paritaire chargé de veiller au respect des présentes dispositions . 

 

 LES FPC

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Intervention armée en Gambie : le Nigeria déploie un navire de guerre

Le président Nigerian Muhamadu Buhari a été nommé médiateur dans la crise gambienne par ses pairs de la CEDEAO.BBC Afrique – Le Nigéria a déployé son navire de guerre le plus récent dénommé « Unité NNS » en prélude à une éventuelle intervention militaire en Gambie. Une source militaire nigériane a déclaré à la BBC que le navire de guerre navigue actuellement au large des côtes du Ghana en direction de la Gambie.

Le week-end dernier, les chefs militaires des pays d’Afrique de l’Ouest se sont rencontrés pour discuter d’un plan de déploiement d’une force militaire en Gambie.

Le président Nigerian Muhamadu Buhari a été nommé médiateur dans la crise gambienne par ses pairs de la CEDEAO. Le Sénégal, pays voisin de la Gambie, qui devrait diriger une éventuelle offensive armée sous régionale prépare également ses troupes au sol.

Le président de la Cour suprême gambienne, Emmanuel Fagbenle, s’est récusé lundi de l’examen du recours porté devant cette juridiction par le président sortant contre l’investiture de son successeur élu Adama Barrow, prévue le 19 janvier.

La Gambie est plongée dans une grave crise depuis que M. Jammeh a annoncé le 8 décembre qu’il ne reconnaissait plus les résultats de l’élection présidentielle du 1er décembre, une semaine après avoir pourtant félicité M. Barrow pour sa victoire.

http://www.bbc.com/afrique/region-38656622

 

 

 

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Hillary Clinton et Donald Trump, grands gagnants du “Super Tuesday

Donald Trump et Hillary Clinton ont chacun remporté sept États lors du “Super Tuesday”. En face, Ted Cruz tente de rassembler les républicains, tandis que le démocrate Bernie Sanders, avec quatre États, ne perd pas espoir.

Certains appellent déjà ce 1er mars la journée du “Super Trump”. Le “Super Tuesday” (“Super mardi”), lors duquel les électeurs de 12 États américains étaient appelés à choisir leur candidat à la Maison Blanche, a vu la victoire écrasante de Donald Trump chez les républicains, avec sept États remportés. Côté démocrate, Hillary Clinton, avec également sept États contre quatre pour son rival socialiste Bernie Sanders, s’en sort très bien aussi.

Mais des obstacles demeurent avant que les deux favoris ne puissent atteindre la majorité absolue des délégués requise aux conventions d’investiture.

 

Trump a-t-il déjà gagné l’investiture ?

 

Pas encore. Mais “c’est vraiment quasi-inévitable”, ose Dante Scala, politologue à l’Université du New Hampshire.

Seuls 30 % des 2 472 délégués ont été attribués à ce jour, selon un système de proportionnelle, avec souvent une prime au gagnant. À partir du 15 mars, le vainqueur dans la plupart des primaires remportera la totalité des délégués. À la fin du mois, 62 % des délégués auront été distribués. Plus le temps passe, plus il sera difficile pour ses rivaux de le rattraper.

Si aucun des candidats n’atteint la majorité absolue, soit 1 237 délégués, à la fin des scrutins en juin, l’investiture sera déterminée à la convention de Cleveland, en juillet. Les délégués voteront au premier tour pour leurs candidats, sans élire de vainqueur, ce qui provoquera des tours supplémentaires dans lesquels les délégués seront libérés de l’obligation de voter pour leur candidat initial. Mais une bataille sur les règles gouvernant leur comportement pourrait envenimer la procédure.

Marco Rubio perd pied

Le meilleur espoir de l’establishment républicain a déçu mardi : le sénateur de Floride Marco Rubio a terminé deuxième ou troisième dans la plupart des primaires. Malgré le ralliement de dizaines d’élus et figures républicaines, il n’a gagné que dans le Minnesota. Sa tactique de répondre à Donald Trump dans le même registre, avec allusions et insinuations douteuses, a fait long feu.

>> À lire sur France 24 : Donald Trump met les républicains dans l’embarras

Marco Rubio promet de continuer et vise une victoire en Floride le 15 mars, mais l’argument selon lequel il est le seul capable de rassembler le parti s’amenuise avec chaque défaite.

“Une victoire en Floride est indispensable pour lui”, dit Kyle Kondik, de la lettre spécialisée Sabato’s Crystal Ball à l’Université de Virginie.

Au contraire, Ted Cruz, sénateur ultra-conservateur du Texas et ennemi juré de l’establishment, s’accroche. Il a battu Donald Trump au Texas, dans l’Oklahoma et en Alaska lors du “Super Tuesday”. Il l’a également devancé dans trois des 15 premières consultations et a appelé Marco Rubio à se retirer.

L’appareil peut-il encore arrêter Trump ?

 

De nombreux élus, dirigeants et personnalités du parti républicain ont menacé de ne jamais soutenir Donald Trump, quitte à voter Hillary Clinton. D’autres évoquent la perspective d’un candidat conservateur tiers. Mais la menace pourrait n’être que de pure forme.

“Beaucoup vont finir par soutenir sur le papier Donald Trump”, prédit Christopher Arterton, professeur à l’Université George Washington. Frank Luntz, un sondeur républicain, estime dangereux d’encourager la guerre civile au sein du parti. “Si vous essayez de le tuer, vous pourriez finir par tuer votre propre chair et sang”, a-t-il dit sur CBS.

Hillary Clinton s’installe en tête

“À la fin de cette soirée, nous aurons gagné des centaines de délégués”, a lancé Bernie Sanders à ses partisans, en notant que 35 États devaient encore s’exprimer.

Mais le message du sénateur du Vermont sur les inégalités économiques et contre la collusion entre la classe politique et les lobbys ne rencontre qu’un très faible écho chez les minorités qui forment un bloc crucial de l’électorat démocrate.

Plus de 80 % des Noirs ont voté pour Hillary Clinton dans les États du Sud, selon les sondages de sorties d’urnes. Au Texas, les deux tiers des démocrates hispaniques ont voté pour elle.

Elle remporte aussi très largement le vote des femmes, qui représentent plus de la moitié de l’électorat démocrate.

Au total, Hillary Clinton a remporté 11 des 16 primaires à ce stade et mène largement dans la course aux délégués. Contrairement aux républicains, les délégués démocrates sont attribués à la proportionnelle stricte, ce qui ralentit le calendrier. Mais la dynamique est de son côté.

Avec AFP

 

 

 

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Les autorités mauritaniennes se concertent sur l’éventuelle interdiction du parti islamiste Tawassoul

Les autorités mauritaniennes se concertent sur l’éventuelle interdiction du parti islamiste TawassoulTaqadoumy – Les autorités mauritaniennes se concertent dans la plus grande discrétion sur la procédure à adopter pour interdire le parti d’obédience islamiste Tawassoul, présidé par l’opposant Mohamed Jemil Mansour, indique-t-on.

Le Président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz aurait confié la discussion de la question à certains de ses proches, conseillers et agents de la sécurité présidentielle, rapportent des sources privées.

Le parti Tawassoul est une formation islamiste membre du courant des frères musulmans. Il est également l’un des partis de l’opposition militant au sein du FNDU, qui continue de se mobiliser pour la tenue d’un dialogue politique avec le pouvoir de Ould Abdel Aziz.

Le projet de parti de Tawassoul n’a pas été reconnu sous les Présidents Maaouiya Ould Taya et Ely Ould Mohamed Vall. Il a été autorisé par la suite sous le règne du Président civil Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, dont le pouvoir a été très vite renversé par les Généraux mauritaniens.

Traduit de l’Arabe par Cridem

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